Un Poème

Rahma à Booda, à Bambouland. Cher Booda, Je suis prompte car je suis en retard: j’ai une soirée! Ah, excuse-moi j’avais la tête ailleurs je ne t’ai pas expliquée ce qu’être en retard. C’est vrai nous ne pouvons pas savoir ce que cela veut dire nous autres Bamboulandais! Être en retard c’est l’humiliation pour nous! C’est être vil envers notre pays, Bambouland. Comment t’expliquer? Être en retard c’est être le dernier quoi, enfin je crois, non? Donc les français sont très souvent en retard même

CHANTEUR DECHU. La vie t’a tout donné, La carrière, le succès, Tu as les filles que tu veux, Brunes ou blondes aux yeux bleus,.....aux yeux bleus, Tout ce qu’il faut pour être heureux. T’as pas d’ennuis d’argent, T’as pas d’emmerdements, Tous les gens payent pour te voir, T’es en concert tous les soirs,.....tous les soirs, Sur ta vie y’a pas de ciel noir. Aujourd’hui tout s’envole Entre drogue et alcool,.....et

Enfermée entre quatre murs blancs, tapissés de posters de Guns n' Roses, je m'ennuie... La radio joue des airs récents à l'allure de vieux hits, tandis que ma tête espère des chansons romantiques car je m'ennuie... J'aimerais sortir mais j'aime mieux rester dans ma solitude. Seule ici ou ailleurs, on est quand même seule alors je m'ennuie... Malgré le thermostat bien réglé, je souffre dans la froideur de ma chambre et je m'ennuie... Mon amour est au loin et je sombre dans l'ennui, dans

- Le Pianiste - Roman Polanski - 2002 - adaptation du récit aubiographique de Wladyslaw Szpilman. - César et Oscar du meilleur film, Palme d'Or à Cannes ( 13 récompenses en tout) - Coproduction France / Pologne / Allemagne / Angleterre - Interpréte principal / Adrien Brody (César et Oscar du meilleur acteur) Il réussit, avec son regard triste et abattu, à faire passer toute l’émotion et la sensibilité du personnage. Bio graphie très rapide de Roman Polanski - Naissance à Paris (1933) puis

Je me souviens de ce jour Je me souviens de cette larme Que j’ai versé en t’observant de loin Le brouillard dans ma tête chuchotait C’est en pleurant éternellement Que j’ai accepté l’existence de ces mots Pourquoi le ciel pleurait? Surement parce qu’il souffrait tout comme moi Quand en ce jour sombre J’entendis ces mots entre deux souffles Un jour je te perdrais Et ce jour… C’est aujourd’hui Je la vois qui gigote sous l’effet de la chaleur Le regard

COMMENT ANALYSER UN POÈME Remarque préliminaire Avant toute analyse, on lira plusieurs fois (et si possible à haute voix) le poème à étudier - le rythme, les sonorités, la musicalité de la langue faisant, ici plus que dans tout autre texte, partie intégrante du sens. De plus, on sera particulièrement attentif à la disposition du texte sur la page. Quelle impression générale (subjective) vous suggère la lecture de ce poème? Qu'est-ce qui vous émeut, vous frappe, vous touche? Le contexte (Vous

mon phoon mdr vai re rentrer chez moi jai oublier mon phoon mdr vai re rentrer chez moi jai oublier mon phoon mdr … aussi appelé le Poème Sans Fin ! Et c’est vous qui l’écrivez, dans les commentaires attachés à cet article. Chacun de vos commentaires est une strophe de ce poème ! Consignes : - Ecrivez votre commentaire/strophe à partir du dernier commentaire/strophe posté ! - Pas de limite de mots/signes dans votre strophe (restez raisonnable

de fait, à l'échelle du poème les notions de contraste et de mélange sont cruciales. L'ambiguïté est au cœur de ce poème à la forme inhabituelle mais aux thématiques bien connues. Nous étudierons la notion d'ambiguïté en montrant d'abord que ce poème est à la fois unique dans « Spleen et Idéal », isolé et parfaitement inclus dans un tout cohérent; nous montrerons ensuite qu'il y a ambiguïté dans l'énonciation et la destination de ce poème; nous montrerons enfin que ce poème est à la fois ouvert et

Pauca Meae poème 1 : bénédiction poème 2 : // poème 3 : douleur d'Hugo poème 4 : nostalgie du passé poème 5 : // poème 6 : // poème 7 : // poème 8 : interrogation sur la mort poème 9 : nostalgie du passé poème 10 : interrogation sur la mort poème 11 : douleur d'Hugo poème 12 : interrogation sur la mort poème 13 : douleur d'Hugo poème 14 : // poème 15 : // poème 16 : interrogation sur la mort poème 17 : bénédiction Le livre s'ouvre et se clôture

plus belles, T'infuser mon venin, ma soeur !Fil et aiguille Le poème est un quatrain. Le dessin, réalisé en 1937 à Lans (vraisemblablement Lans-en-Vercors ou Villard-de-Lans), montre, passant par le chas d'une grande aiguille, un fil dessinant une silhouette apparemment féminine. Cette silhouette est creuse et laisse transparaître, en le dominant, un paysage inhabité, formé de montagnes et de bosquets. La toile blanche Le poème est composé d'un distique et d'un monostiche. Le dessin est daté