Un Roi Sans Divertissement Malheur

peine pouvez-vous dire comme il se nomme, Votre chaleur, pour lui, tombe en vous séparant, Et vous me le traitez, à moi, d'indifférent. Morbleu, c'est une chose indigne, lâche, infâme, De s'abaisser ainsi, jusqu'à trahir son âme: Et si, par un malheur, j'en avais fait autant, Je m'irais, de regret, pendre tout à l'instant. PHILINTE Je ne vois pas, pour moi, que le cas soit pendable; Et je vous supplierai d'avoir pour agréable, Que je me fasse un peu, grâce sur votre arrêt, Et ne me pende

.......................................................................... 17 VII. CONTRARIÉTÉS ......................................................................................................................................... 19 VIII. DIVERTISSEMENT ................................................................................................................................... 23 IX. PHILOSOPHES............................................................................................

commerages car cour se sent humilié et lésé de sa seule raison de vivre: L'étiquette (acceder au appartement du roi et de la reine, etc...) Les pamphlets nourris par une cour « aussi méchante que celle de Versailles(...) cherche sans cesse à savoir quelles compensations érotiques peut s'accorder MA. » Nuire à la réputation de la reine en arrangé certains (ex: comte de Provence voulant être roi, et il met en doute la paternité des enfants de Louis XVI.) Les detracteurs s'arrangent pour que le peuple soit

fini, ça va finir, ça va peut-être finir. Les grains s’ajoutent aux grains, un à un, et un jour, soudain, c’est un tas, un petit tas, l’impossible tas.» « La fin est dans le commencement et cependant on continue.» «Rien n’est plus drôle que le malheur... C’est la chose la plus comique de monde.» « CLOV. — A quoi est-ce que je sers ? HAMM. — A me donner la réplique.» « J’emploie les mots que tu m’as appris. S’ils ne veulent plus rien dire apprends-m’en d’autres. Ou laisse-moi me taire.»

de Saint Gengoux le National (71) le metteur en scène à souligné l'importance de la représentation dans cette adaptation de la Flûte Enchantée le texte étant en alexandrins la mise en scène très expressive a permis une bonne compréhension et le divertissement de tous les publics. Le caractère spectaculaire du théâtre est latent à la représentation, la théâtralité est la phénomène qui rend le spectacle plus agréable, divertissant, selon R. Barthes « c'est le théâtre moins le texte ». La théâtralité

de Sainte Colombe a) Passé « Monsieur de Sainte Colombe ne se consola pas de la mort de son épouse. » (p. 9) « Il ne pouvait contenir le regret de ne pas avoir été présent quand sa femme avait rendu l'âme » (p. 11) « Il avait été présenté au feu roi dans sa jeunesse et de ce jour, sans qu'on sût pourquoi, n'avait plus mis les pieds au Louvre ni au château-vieux de Saint-Germain. » (p. 15) b) Comportement « Le caractère de Monsieur de Sainte Colombe et son peu de disposition au langage le rendaient

de Tencin chez qui elle a commencé sa vie mondaine. Elle se montre généreuse envers les peintres, leur commande des toiles et leurs verse des dons ; ainsi les Van Loo, Vien, Vernet, et autres Boucher ont-ils ses faveurs. • Les salons et le divertissement des aristocrates       Le rôle des femmes. Après la compagnie de Mme Geoffrin, il faut se rendre chez sa fille devenue la marquise de la Ferté-Imbault, visiter les salons de Mme du Deffand et de Julie de Lespinasse, de la maréchale de Luxembourg

traversée. (Deux ans plus tard) De passage à Calais, Renoncour reconnaît le jeune homme au Lion d’Or ! Il accepte de raconter son histoire. — Monsieur, vous en usez si noblement avec moi, que je [...] veux vous apprendre, non seulement mes malheurs [...], mais encore mes désordres et mes [...] faiblesses. C'est une analepse (un retour dans le passé). Mais sans délai de réflexion : Des Grieux revient tout juste d'Amérique, on saura plus tard qu’il vient d’apprendre la mort de son père

« Tartuffe » (= pièce qui dénonce l’hypocrisie religieuse) qui sera interdite. Ses succès s’enchaînent avec « Don Juan », « Le Misanthrope » et « L’Avare ». A 40 ans, il épouse Armande Béjart et ils auront trois enfants. Sa troupe devient la troupe du Roi Louis XIV et jouera au Palais-Royal. En 1670, il crée des comédies-ballets avec la collaboration du musicien Lully. Il crée aussi « Le Malade Imaginaire » et joue le rôle d’Argan. Molière, souffrant depuis longtemps d’une maladie des bronches, meurt

« demande l'heure », « baille vingt fois » (v. 30-31) et le champs lexical de la souffrance accentue la notion « d'épreuve » à passer en la compagnie de Bélise : « sa visite assez insupportable », « il faut suer », « souffre le martyre » (v. 21-29). Le malheur d'Adraste est de ne pas être reconnu par la cour et d'avoir toujours été rejeté par elle. Il se croit capable d'exécuter une charge, mais ne s'est cependant jamais vu confier une tache importante. Le champs lexical de l'orgueil lui est attribué :