Une Grande Dame Paul Verlaine

siècle, est un pionnier des romans de science-fiction. Ses livres (De la Terre à la lune, Le tour du monde en 80 jours, Vingt-milles lieues sous les mers…) ont marqué ce genre littéraire et la littérature française en général. Verne vécut à l’époque de grand progrès (l’électricité, le téléphone, le télégraphe, les chemins de fer et les machines à vapeur). Ce passionné de littérature et de découvertes scientifiques mêla habilement les deux pour nous emmener dans des Voyages extraordinaires, où l’impossible

Le sujet de l'analyse littéraire est «NOCTURNE PARISIEN» des Poèmes saturniens de Verlaine. Poèmes saturniens est le titre du premier recueil de poèmes de Paul Verlaine qui était publier en 1866 chez l'éditeur Alphonse Lemerre. Roule, roule ton flot indolent, morne Seine. Sous tes ponts qu’environne une vapeur malsaine Bien des corps ont passé, morts, horribles, pourris, Dont les âmes avaient pour meurtrier Paris. Mais tu n’en traînes pas, en tes ondes glacées, Autant que ton aspect m’inspire

Texte A - Paul Verlaine : «Mon rêve familier», Poèmes saturniens, 1866. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse ? -

univers. Dans ses poèmes, Rimbaud ne transmet plus clairement un message, il invente afin de bouleverser nos représentations. Ses poèmes sont souvent brefs avec une syntaxe et une organisation décousue. Il y a là un art de fulgurance. 6) Paul Verlaine, Lassitude : ‘’Sois langoureuse, fais ta caresse endormante, Bien égaux tes soupirs et ton regard berceur. Va, l’étreinte jalouse et le spasme obsesseur Ne valent pas un long baiser, même qui mente !’’ La musicalité dans cette strophe

représentée qu'en 1896) Il publie parallèlement des poèmes tourmentés comme la Nuit de Mai et la Nuit de Décembre en 1835, puis La Nuit d'août (1836) La Nuit d'octobre (1837) Redécouvert au XXe siècle, Alfred de Musset est désormais considéré comme un des grands écrivains romantiques français, dont le théâtre et la poésie lyrique montrent une sensibilité extrême, une interrogation sur la pureté et la débauche, une exaltation de l'amour et une expression sincère de la douleur. Sincérité qui renvoie à sa vie

m’est donné de voir ma vie finir Avec la tienne Ma vie en ton pouvoir Que j’ai crue infinie Et l’avenir mon seul espoir c’est mon tombeau Pareil au tien, cerné d’un monde indifférent J’étais si près de toi que j’ai froid près des autres. Paul Eluard La Mort de Procris peint par Piero di Cosimo en 1495 et conservé à la National Gallery à Londres Préface « La mort révèle l'amour, c'est l'inconsolable qui pleure l'irremplaçable. » -Vladimir Jankélévitch L’anthologie que, vous lecteurs

auteur afin de marquer cette vision de la poésie, de la femme, bref, de l'amour. J'ai choisit afin de compléter cette anthologie des poèmes de Paul Verlaine. En effet, outre le fait que ces écrits soit judicieusement composés, ils traitent de la facette charnelle que peut avoir l'amour et nous renvoient aussitôt à notre statut animal d'être humain. Paul Éluard marque de sa différence cette anthologie par son respect presque pervers du non lieu du corps et du désir, et s'attarde sur cet amour au

poètes maudits et leurs intercesseurs Tristan Corbière : portrait d'un indapté L’appellation « poète maudit » vient de Verlaine qui publie le livre Les Poètes maudits (1884). En 1888, il publie une deuxième édition. Il y rajoute aux côtés de Corbière, Rimbaud et Mallarmé ; Marceline Desbordes-Valmore, Villiers de l'Isle Adam et Pauvre Lélian (anagramme de Paul Verlaine). Verlaine est donc le créateur de cette étiquette. Dans son Avant-Propos, il écrit que les poètes maudits sont des poètes « absolus

d'automne (1831), Les chants du crépuscule (1835), Les voix intérieures (1837), Les contemplations (1856), Les chansons des rues et des bois (1865) L'année terrible (1871), L'art d'être grand-père (1877), Les quatre vents de l'esprit (1881), Bur-Jargal (1818) Le Dernier Jour d'un condamné (1829) Notre-Dame de Paris (1831), Les misérables (1862), Les travailleurs de la mer (1866), Quatre-vingt-treize (1874), Cromwell (1827), Hernani (1830), Han d’Islande (1868), Marion Delorme (1829),

également mis en chanson des poèmes de Victor Hugo, Paul Verlaine, François Villon, Louis Aragon et même Paul Forti. Nous allons nous servir d'un poème du célèbre Pierre de Ronsard comme source de comparaison et d'éclairage des aspects de la chanson de Brassens. Il s'agit du poème IX du recueil « Les Amours », édité en 1553ii, plus de 400 ans avant la chanson de Brassens. La chanson ainsi que le poème parlent tous deux de la Dame, mais pas n'importe quelle Dame : les poètes nous décrivent une femme immensément