Une Monnaie Forte Favorise T Elle La Croissance

aujourd’hui beaucoup de problèmes dans l’économie mondiale. La question porte principalement sur la  « Guerre des monnaies » qu’il subsiste entre les Etats-Unis, la Chine et l’Europe. Dans un premier temps, nous tenterons de faire un état des lieux actuel sur la situation monétaire mondiale et il nous faudra ensuite s’interroger sur les alternatives possibles à cette guerre des monnaies afin de connaitre les enjeux monétaires mis en place. L’état des lieux de la situation monétaire actuelle

Comment expliquer l'instabilité de la croissance ? ***** Les quatres phases de la croissance : La théorie des cycles économiques a pour objectif d'interpréter les fluctuations de l'activité économique, marquée par la hausse puis la baisse de certaines grandeurs caractéristiques ( production ; niveau de l'emploi ; prix ) Un cycle économique se déroule sur quatres phases : - L'expansion (Période de croissance éco généralement forte donc le taux de variation du PIB est positif ) - La crise

Fiche de lecture L’ouvrage que nous allons étudier s’intitule : Monnaie et politiques monétaires, publié en 2006 chez Bréal, et écrit par Michel Voisin. Ce livre commence par une courte introduction, nous allons donc faire de même. La monnaie est tout d’abord un moyen d’échanger, et elle ne se limite pas à ce simple rôle d’outil : elle permet de se livrer à une activité marchande, et donc à une activité sociale. De plus, la définir par sa fonction ne suffit pas : elle a en effet une dimension

1. Général 2. Etats-Unis 3. Chine 4. Europe et guerre des monnaies 1. Général: * Après la crise financière de 2008, les Etats ont du relancer l’économie par des ‘aides de l’Etat’ des aides publiques. Différents secteurs ont été soutenus comme les banques, automobile, … augm. Dettes publiques … * Cela a mis encore plus en évidence les problèmes liés aux dettes publiques et finance publiques qui pour certains Etat étaient déjà dans un mauvais état. ( cfr Grèce , Irlande

d’intégration ZLE : abaissement des barrières douanières, pas de tarifs extérieur commun (ex : ALENA) Tarif Extérieur Commun (même droit de douane) Libre circulation du travail, capital main d’œuvre Coordination des politiques économiques Monnaie commune Une constitution politique originale Document 3 p 117 Commission européenne : proposition exécution Pouvoir législatif, codécision entre le conseil des ministres et le parlement européen Niveaux de compétences : Compétences nationales

banques centrales sont dans une mauvaise passe, coinc'es entre la remont'e des risques inflationnistes et les incertitudes autour de la croissance. La Banque centrale europ'enne (BCE) a choisi son camp, celui de son mandat : d'fendre la stabilit' des prix par une politique mon'taire restrictive visant ' r'duire la cr'ation de monnaie au risque d'affaiblir la croissance. Aux 'tats-Unis, les craintes de r'cession l'emportent sur ceux de l'inflation, ce qui s'est traduit par la multiplication des baisses

Keynésianisme comme solution à la crise ? II- Politiques d’après crise : Un point de vue Keynésien 1) Une relance par la consommation - Politiques monétaires et budgétaires expansives, baisse des taux d’intérêt, hausse de l’investissement, croissance… (Exemples : Plans de relance américains et européens de l’année dernière) - Propension marginale à consommer 2) Des politiques difficiles à mettre en place ? - La BCE a un objectif non national - Pacte de stabilité de l’UE et théorie de Mundell

Le contrôle des changes aux frontières a été supprimé. 7 février 1992 : signature du Traité de Maastricht : la Communauté européenne devient une véritable union économique et monétaire. Le traité marque le début du processus d'introduction de la monnaie unique. 1er juin 1998 : naissance officielle de la Banque Centrale Européenne Jusqu’au début 1998 : les Etats de l’Union européenne préparent activement le passage à l’euro. Ils essaient de répondre aux "critères de convergence" : • inflation

généralisée et durable des prix des biens et des services. Cette situation correspond à une baisse du pouvoir d’achat de la monnaie. En clair, avec la même somme d’argent, on peut acheter moins de choses qu’auparavant. Au, début du XIXe siècle, David Ricardo théorise pleinement la relation causale entre quantité de monnaie en circulation et inflation : les émissions massives de papier-monnaie pour financer les guerres apparaissent alors comme étant, de toute évidence, responsables des très fortes hausses

Les économistes s'opposent sur la question de l'impact de la monnaie sur les flux réels, autrement dit sur le volume de la production, de la consommation, de l'emploi. 1 L’analyse libérale Doc. 15 poly la vision des quantitativistes 52 L’approche présentée dans ce texte est dite « quantitativiste » car elle attribue un rôle clé à la quantité de monnaie en circulation dans l’explication de l’inflation. 53 Émission de monnaie nouvelle ➞ hausse de la demande > Offre = hausse des prix