Une Nuit Qu On Entendait La Mer Sans La Voir

ces mâts de la cité,Et les grands ciels qui font rêver d'éternité.Il est doux, à travers les brumes, de voir naîtreL'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre,Les fleuves de charbon monter au firmamentEt la lune verser son pâle enchantement.Je verrai les printemps, les étés, les automnes ;Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones,Je fermerai partout portières et voletsPour bâtir dans la nuit mes féeriques palais.Alors je rêverai des horizons bleuâtres,Des jardins, des jets d'eau pleurant dans

du désert du Rio de Oro, chassés et traqués du Sud au Nord par les conquérants français puis impitoyablement massacrés. Mais le sang des hommes bleus a survécu en Lalla. La vie de la petite Maure, dans un bidonville d’une grande cité proche de la mer, est constamment doublée, dominée par l’épopée chantante, obstinée, orgueilleuse, de la race que les maîtres d’autrefois avaient cru vaincre. Lalla, enfant du désert, est fascinée par l’apparition d’un mystérieux homme bleu, qu’elle nomme Es Er,

Baudelaire, "L'ennemi". Connaître les thèmes récurrents de la poésie lyrique : le rapport du poète au monde. Lecture des poèmes ; On détermine la thématique de chacun d'eux ; Détail de la thématique d'après la lettre des textes ; On commence à voir comment l'agencement du poème sert le thème. Evaluations : 1. Vérification des acquis de la séance 1 : A partir du poème "Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx" de Stéphane Mallarmé, les élèves indiquent le nombre de strophes, leur nom,

la Seconde Guerre Mondiale en France. Ce roman appartient au cycle dit « de la révolte », en compagnie de l'essai intitulé L'Homme révolté (1951) et de la pièce de théâtre Les Justes (1949). Ce cycle, qui vient après le « cycle de l'absurde » fait voir des personnages conscients de l'existence comme absurdité, et qui se perçoivent

Lamartine Amour & eau symbolise le tps Paradoxe → lac tranquille ≠ mer active Dessine comme un paysage intérieur → médita° sur tps → cinfie amour en nature (omniprésente ds poème) Symbiose ac la nature. Retrouve écho à ses sentiments poème très romantique 1er strophe chaque vers «où» → sonorité ouverte → longueur, forme d'écho, prolonge vers Poème commence par «Ainsi», impression° de sentiment dja éprouvés «nuit» évoque passé, univers assez négatif → associé à la mort ? «sans retour»

À quoi bon les descriptions ? Documents A – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, 1869. B – Émile Zola, L’Assommoir, chapitre 1, 1877. C – Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. D – Jean-Marie Gustave Le Clézio, Désert, 1980. Ces quatre descriptions mettent-elles en valeur les mêmes aspects de la ville ? (3 points) m 2. Quels sentiments des personnages ces descriptions reflètent-elles ? (3 points) Après avoir répondu à ces questions, les candidats devront traiter au

jour m’advint, à Douvres sur la mer, Qu’il me souvint de la douce plaisance Que je soulais au dit pays trouver ; Si commençai de cœur à soupirer, Combien certes que grand bien me faisoit De voir France que mon cœur aimer doit. Je m’avisai que c’était non savance De tels soupirs dedans mon cœur garder, Vu que je vois que la voie commence De bonne paix, qui tous biens peut donner ; Pour ce, tournai en confort mon penser ; Mais non pourtant mon cœur ne se lassoit De voir France que mon cœur aimer doit

d’étude Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde Le sujet comprend : Texte A : Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, 1869. Texte B : Emile Zola, L’Assommoir, 1877. Texte C : Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. Texte D : Jean-Marie Gustave Le Clézio, Désert, 1980. 10FRTEME1 2/7 Texte A : Flaubert, L’Éducation sentimentale Frédéric Moreau, jeune provincial étudiant à Paris, est épris de Mme Arnoux, épouse d’un marchand d’œuvres d’art. De

Page : 2/3 EXAMEN : BEP TERTIAIRE Durée : 2 h Epreuve : FRANÇAIS Coefficient : selon spécialité Charles Bovary, médecin, rentre chez lui le soir et retrouve sa femme Emma et sa fille Berthe. 1 5 10 15 20 25 30 Quand il rentrait au milieu de la nuit, il n'osait pas la réveiller. La veilleuse de porcelaine arrondissait au plafond une clarté tremblante, et les rideaux fermés du petit berceau faisaient comme une hutte blanche qui se bombait dans l'ombre, au bord du lit. Charles les regardait. Il

jeté sur ma couchette. Je crois que j’ai dormi parce que je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage. Des bruits de campagne montaient jusqu’à moi. Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissaient mes tempes. La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée. À ce moment, et à la limite de la nuit, des sirènes ont hurlé. Elles annonçaient des départs pour un monde qui maintenant m’était à jamais indifférent. Pour la première fois depuis bien longtemps, j’ai pensé