Une saison en enfer

compromet sa santé par l’alcool et la débauche. | | |Blessé par Verlaine, Rimbaud termine une sorte d’autobiographie en prose poétique : « une | | |saison en Enfer  | | |En 1874, Rimbaud réunit des morceaux distincts sous le titre Illuminations (au sens | |

fleurs du mal propose donc une échappatoire. « au lecteur » ne constitue pas un poème à proprement parlé et n’est pas numéroté, mais c’est une sorte d’intro. Il provoque le lecteur cette créature soumise au spleen, à l’hypocrisie… « le monde est un enfer » dès le début6 PARTIES :· Spleen et idéal (85 poèmes, plus grande section du recueil) « comment échapper au spleen »:Rempli d’antithèse, contradictions, ect…Les 6 premiers poèmes expriment la grandeur du poète (ex : Albatros, élévation) et les 6 suivant

heures sous des meules ;Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellementDans la même prison le même mouvement.Accroupis sous les dents d'une machine sombre,Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre,Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer.Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue.Aussi, quelle pâleur ! La cendre est sur leur joue. La Rose et le réséda (Aragon)Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Tous deux adoraient

Rimbaud, publié en 1870. Ensuite, le corpus nous offre Lettre à Mr. Théodore de Banville, publié en 1870 par le même auteur. Le troisième document s’intitule Aube, poème de Rimbaud, paru en 1873. Le quatrième document, quand à lui, s’intitule Une Saison en Enfer, texte d’Arthur Rimbaud, publié en 1873. Enfin, le corpus nous propose le texte de René Char intitulé La fontaine narrative publié en 1948 dans Fureur et mystère. Le corpus exprime, à la fois les ambitions littéraires de l’auteur, autant que ses

Verlaine tire sur Rimbaud et le blesse légèrement. Rentré chez lui, Rimbaud compose sa dernière œuvre, Une Saison en enfer, sorte de confession autobiographique qu'il publie à compte d'auteur. La deuxième partie de la vie de Rimbaud commence. Les voyages le mènent successivement en Italie, en Hollande, en Afrique, en Suède, au Danemark, à Chypre. Mais Rimbaud revient assez régulièrement passer la saison d'hiver à Charleville. En 1891, il est obligé de rentrer à Marseille parce que son genou droit est atteint

l'Olympe et récupérer Perséphone. Zeus tranche : elle passera un tiers de l'année en enfer avec son mari puis le reste de l'année avec sa mère : c'est le cycle des saisons ! Le mythe d'Orphée Jeune homme vivant dans une contrée hostile, la Thrace au Nord-Est de la Grèce (Bulgarie actuelle). Avec sa flûte, il charme les animaux et les plantes. Après la mort de sa fiancée, il décide d'aller la chercher en enfer. Or, on ne peut franchir les enfers grâce au passeur (l'homme qui conduit la barque

qu’au mal être du poète. Ce même procédé est retrouvée au vers 9-10 cette fois ci avec le son [she]. * Le chant est donc a la fois rythmé, sonore saccadé, afin de recomposer le son du bois B° L’Automne * c’est une saison intermédiaire qui ne semble exister que par rapport à la saison qui la précède ou qui la suite (été, hivers) on retrouve au vers 15 «  C’était hier l’été ; voici l’automne ! » il s’agit dons d’une arrivée brutale et assez surprenante. L’expression «  bientôt nous plongerons dans

intitulé "Spleen et Idéal". On pourra analyser comment, dans la première partie de ce poème lyrique, qui touche parfois au fantastique, Baudelaire se livre à une description transcendée par une réflexion qui unit intimement le thème de cette saison finissante avec celui du spleen obsessionnel.COMPOSITION Forme :4 quatrains d'alexandrins très réguliers, aux rimes croisées dont le rythme est parfois rompu par des syncopes significatives. Fond : Pas de construction rhétorique, mais un jeu constant

poète ne cesse, à travers ses textes, d’exalter les sentiments humains. Il cherche à définir ce qu’il ignore et ce qui échappe à la raison de l’Homme. En effet, Arthur Rimbaud à travers son poème « Alchimie du verbe », extrait du recueil Une saison en enfer, nous raconte « l’histoire d’une de ces folies ». Il commença par assimiler une couleur à une lettre, par écrire « des silences et des nuits » ou encore « l’inexplicable » et finit par se retrouver dans un état d’hallucination extrême qui ira

vous désire. » À Paris, puis à travers l’Europe, se lie entre les deux hommes une relation qui scandalise la bourgeoisie. Au cours d’une querelle, Verlaine blesse Rimbaud, et est conduit en prison.             Rimbaud achève alors, en 1873, Une saison en enfer, qui semble un adieu aux « folies », à la révolte et à la poésie. Il poursuit aussi ses Illuminations. Mais il commence alors une nouvelle carrière d’aventurier à travers l’Europe, l’Asie et l’Afrique. Il vit d’expédients et de trafics douteux