Une Vie Cadre Spatio Temporel

Éléments de l’introduction * L’œuvre, Zola, 1886. Roman naturaliste, cycle des Rougon-Macquart. Vie de Claude Lantier, de jeune adulte à mort. Vision de l’homme et du onde pessimiste, qui se veut aussi réaliste que possible. * Zola, figure emblématique du naturalisme. Mvt littéraire et artistique du XIXè siècle qui est affilié au réalisme. Volonté de peindre sans idéalisation ni exagération le monde et les hommes grâce à l’Art. Rapprochement méthodes scientifiques et Art. * Incipit

problématique, nous nous attacherons tout d’abord (axe 1) au cadre spatio-temporel qui est certes réaliste mais qui demande d’être interprété en tant que symbole. Nous soulignerons ensuite (axe 2) la banalité extrême des personnages, banalité qui les transforme en personnages étranges… Enfin (axe 3), nous terminerons sur un aspect primordial de cette scène d’exposition à savoir le dysfonctionnement du langage. Axe I. Un cadre spatio-temporel réaliste MAIS symbolique ® Traditionnellement, une exposition

lassitude. En quoi ce poème exprime-t-il la lassitude et le malheur du poète. Tout d’abord par un cadre spatio-temporel défini puis par des personnages caractéristiques. I/ un cadre spatio-temporel défini 1) Le temps (dans les deux sens du terme) - période de la journée : le matin. On n’a pas envie de se lever « dormaient », « sommeil », « rêves ». Vie dure « la diane » . Réveil pénible, vie dure, comme les soldats. On a l’impression que personne ne bouge, comme si le temps s’était arrêté

l'univers réaliste qui entoure ce roman puis dans une seconde partie nous verrons le traitement réaliste du personnage de George Duroy. Tout d'abord, l 'auteur situe l'histoire dans un cadre très réaliste. En effet, l'histoire de Bel Ami se déroule dans un cadre spatio-temporel précis : nous sommes « le 28 juin » dans la ville de Paris , de plus beaucoup de noms de quartiers , de boulevards « la rue notre dame de lorette » sont mentionnés dès la première page

Enumération : les deux dernières strophes. Le poète énumère tout ce que le prisonnier a eu le temps de faire durant sa fuite. Le temps de voir, le temps de boire l’eau du ruisseau, de porter à sa bouche deux feuilles gorgées de soleil (symbolise la vie), le temps d’atteindre l’autre rive, le temps de rire, de courir vers la femme, il a eu tout simplement le temps de vivre. E. La mise en page * Les deux dernières strophes nous donnent la réponse à la question que l’on se pose durant tout le

l’histoire d’un homme à la vie paisible alors bousculé par l’irruption du surnaturel qui le pousse vers une profonde réflexion personnelle. Nous pouvons ainsi nous demander, comment, à travers une description minutieuse et rassurante, Maupassant instaure, dans cet incipit, une atmosphère angoissante et fantastique. Si le cadre est réaliste et serein, il peut être propice à l’irruption du fantastique. Dans cet incipit, Maupassant plonge le lecteur dans un cadre réaliste et sécurisant au travers

le lendemain matin = la place est occupé. Toute la journée = la tension monte entre le couple Renard et le couple Flamèche. Conséquence= les femmes se battent. Conséquence= les hommes interviennent = Flamèche tombe à l’eau et se noie. --Ellipse temporelle = omission (passer sous silence) d’une période de la narration qui produit une accélération du récit= témoignages des témoins. --Acquittement de l’accusé.  La structure de la nouvelle = 2récits enchâssés. (Imbriquer l’un dans l’autre) Point

texte manque d’informations. Un manque d'informations sur le cadre narratif Le cadre spatio-temporel manque de précisions. L’incipit donne quelques indications spatio - temporelles mais qui sont très flous. « Aujourd’hui », « hier », « demain ». Le narrateur ne sait pas exactement quand est morte sa mère « Aujourd’hui

LA NARRATION 1) Caractéristiques de la narration  Présence dans un cadre spatio-temporel.  Présence d’un narrateur : extérieur au récit ou narrateur personnage (=statut du narrateur). Cas particulier : narrateur=auteur=personnage (autobiographie). Ubiquité : possibilité d’être à plusieurs endroits à la fois.  Focalisations ou points de vue: qui voit?qui sait?qui est sujet des pensées? -omniscient : le narrateur témoigne d’une connaissance parfaite des évènements présents et passés, des

littérature nous fait plutôt réfléchir. Mais chacun s’évade à sa façon. N’importe quand et n’importe où, du moins il suit le cadre spatio-temporel de l’histoire. Rare sont les livres où il n’y a pas de cadre spatio-temporel. D’une place de village à une région paradisiaque, qu’on le veuille ou non, on voyage quand on lit. D’autant plus si ce lieu est fantastique ou fantaisiste. Le cadre de l’histoire est libre : en effet, on peut librement s’imaginer un lieu ou plusieurs lieux bien qu’ils soient « axés