Unification Italie Allemagne

anticommuniste. Ces 2 régimes sont à resituer dans une plus large vague d’éclosion de régimes autoritaires dans l’entre deux guerres : Portugal de Salazar, Espagne de Franco… L A La conquête du pouvoir Un nationalisme blessé Rappel – Une unification récente L’Italie ne forme une unité territoriale que depuis 1860 avec l’annexion des Etats pontificaux ; le XIXe siècle a été un siècle imprégné de nationalisme duquel les Italiens ne sont pas sortis. L’Allemagne, le Reich, n’existe que depuis 1871

été au cœur de l’affrontement intellectuelle : Philippe Le bel se dresse contre la papauté. Selon Max Webe l’Etat moderne est celui qui va s’approprier le monopole de la violence physique légitime. Le droit va être l’instrument de cette unification. L’Etat va s’emparer de la Justice. A l’opposé du contrat qui est un acte unilatéral, acte de volonté d’une seule personne, d’une seule institution (le roi). Jean Bodin (1529-1596), en 1576 il écrit les 6 livres de la République, il distingue

pendant un temps, des unités politico-religieuse, par application du principe « A chaque royaume sa religion ». La réforme qui suivra est une affaire politique. On trouvera le calvinisme en Suisse, l’anglicanisme au Royaume Uni, la contre-réforme en Italie, Espagne et Portugal ainsi qu’en France pour une part. Finalement, les Etats-nations sont des unités économiques càd qu’ils ont des douanes nationales et des politiques économiques nationales. Elles favorisent l’émergence de marchés économiques nationaux

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/mefr_0223-5110_1978_num_90_1_2449 CHARLES LUCET EXISTE-T-IL UNE DOCTRINE DE LA MOCRATIE CHR TIENNE Certains pourront dire que le problème est mal posé La Démocratie chrétienne est en Italie un parti politique Or diront sceptiques ou réalistes un parti surtout il est au pouvoir depuis de nombreuses années ne peut avoir une doctrine dans le sens strict du mot Il agit après les nécessités du moment et les exigences de heure Il selon les

uchenne notamment. La   Gazette  de  Renaudot  constitué  d'annonces,  est   avant  tout   un   journal  de  propagande   royal   :  « journal du roi et des puissances de la terre ». − Dans les années 1720, développement de salons de lecture − unification et baisse des taxes postales − amélioration techniques d'impression et de diffusion − > multiplication des annonces, diversification des titres, des cibles de lectorat. Face à cela, le pouvoir  royal renforce son contrôle : interdiction de parl

social », parlent la même langue. Changer l'état des esprits, tel est le mot d'ordre. Une troisième tendance, que j'appelle philanthropique, s'adresse plus aux sentiments qu'au devoir et à la religion. Pierre Leroux, en France, Grün et Hess, en Allemagne, pleins d'un grand et puissant amour de l'humanité, voudraient, grâce à cet amour, remédier aux maux dont ils ont le spectacle ; ils voudraient, pour ainsi dire, noyer dans cet amour général de l'humanité les misères qui les entourent: « Aimez-vous

qu’ils vont évoluer vers l’athéisme. 2. Les grandes étapes de la marche vers le libéralisme Il ya plusieurs moments clefs dans l’histoire du libéralisme. Durant les années 1820, il y a eu des vagues de révoltes contre la restauration un peu partout (Italie, Russie, etc.). Une des premières formes libérales va naitre au sein des armées (conspirations militaires). Les soldats de Napoléon, par exemple, sont animés de l’esprit libéral, de l’idée des lumières. Le mouvement décabriste voit le jour en Russie

souverains locaux qui vont reconnaître l’autorité romaine en jurant fidélité à Rome, militairement et fiscalement. Octave veut pacifier ses régions. En Occident, les choses sont plus variées. Ce n’est pas l’Orient. Il existe plus de nuances. En Italie, Rome a imposé sa domination. L’Italie est et se sent romaine. C’est une cité qui a de l’autorité. On ressent un sentiment d’appartenance à la cité, il y a une unité politique. L’Italie soutient Octave face à Antoine, son rival, quand on le soupçonnait

C’est le secrétaire d’état aux affaires étrangères, diplomates de la vieille école mais possèdent une grande autorité pour ce congrès et c’est la Russe qui est le grand ennemi. -La Prusse, qui rêve de contregarde la prédominance autrichienne en Allemagne mais ne peut rivaliser avec l’Autriche. Elle est représentée par Fréderic Guillaume III. -L’Autriche représenté par Metternich qui est un grand personnage a l’époque, chancelier. Grande culture et finesse maitrise de soi et sang froid. Consolidé

- et plus près de nous l’histoire immédiate qui se fait sous nos yeux. C’est ainsi que l’Histoire est enseignée, en Occident, au sens large et si on regarde ces découpages on voit que cette compréhension historique est centrée sur l’Europe (Grèce, Italie, rois de France, Renaissance italienne, découvertes des Espagnols et Portugais, Révolution française… mais ce découpage fait abstraction : * de la civilisation chinoise, * des Aztèques et des Incas, civilisations disparues d’Amérique du Sud, * des