Union chrétienne-sociale en Bavière

modernes des textes antiques transcrivent « atheos » en « athée ». Il existait aussi le terme ἀθεότης (atheotēs), « athéisme ». Cicéron traduisit le mot grec en un mot latin, atheos. Le terme est fréquemment utilisé au cours du débat entre les premiers chrétiens et les hellénistes, chaque camp accusant l'autre d'être « atheos » dans le seul sens péjoratif qui existait à l'époque[4] , qui n'est pas celui d'incroyance ou d'hérétique, mais d'impiété ou de vanité. En français e Le mot athéisme apparaît au

Partie I: la fin de la domination du monde Européen Section 1: La domination européenne au début du XX ème siècle Section 2: La guerre de 1914 à 1918 et ses conséquences Section 3: La crise économique et sociale : les incertitudes économiques et sociales de l'entre- deux- guerres Partie II: l'impossible stabilité de l'entre-deux- guerres et la naissance du monde contemporain Section 1: La mutation politique et crise des régimes Section 2: L'impossible sécurité

loi salique est donc là pour réconcilier les romains et les germaniques. Mais la tarification est très inégalitaire ; le crime qui porte sur un proche du roi est plus onéreux, le vergelt est établi en fonction de la hiérarchie sociale, ethnique, ou aussi hiérarchie sociale en fonction de l’âge, du sexe. Toutes les valeurs germaniques sont ainsi résumées, la fidélité : celui qui est fidèle au roi, et le lignage : la protection de la vie. b) L’institution des tribunaux francs Dans ces tribunaux

l’union en 1383 de Philippe le Hardi avec Marguerite de Male, héritière de Flandre. La maison de Bourgogne tentait par ce pied mis en Flandre, réaliser à son profit l’unification de tous les Pays-Bas. Ainsi dès 1428 Philippe le Bon, força sa cousine de Bavière à lui céder les provinces de Hollande, de Zélande, et de Frise, et fit donner la province d’Utrecht à son fils légitime. Son successeur Charles le Téméraire réussi quant à lui à acquérir le duché de Gueldre, en 1477. A la mort du téméraire, la Gueldre

sagesse des années n'aura pas étouffé le génie de la jeunesse * La vie que j'avais menée jusqu'alors à la maison était sensiblement celle de tous les jeunes gens de mon âge : j'ignorais le souci du lendemain et il n'y avait pas pour moi de problème social. L'entourage de ma jeunesse se composait de petits bourgeois, c'est-à-dire d'un monde ayant fort peu de relations avec celui des véritables travailleurs manuels. Car, si étonnant que cela puisse paraître à première vue, le fossé qui sépare cette

pouvoir au seul champ étatique. D’autres formes d’influences ou de dominations existent ou ont existé, qui sont largement extérieures à l’Etat (Eglise, conscience collective, leaders d’opinion, classe sociale, etc.) Au total, donc, une histoire juridique qui est aussi, largement, une histoire sociale et une histoire politique, au sens large. difficulté de cette étude : * porte sur la longue durée : de la chute de l’E.R (476) à la codification révolutionnaire et napoléonienne.

structures stables, politiques, économiques et parfois juridiques. On est en face de société structuré et de plus en plus inégalitaire. Passé d’une société communiste égalitaire à une société inégalitaire est une révolution. Il y a des classes sociales qui sont entrés en contact ou chacune cherche à défendre ses intérêts. Le développement de ces premières sociétés d’agriculteur au proche orient est facilité par le climat qui y règne. Tout est vert. En Syrie, en Arabie, en Egypte… Le développement

« barbares » de l’Orient, les Perses Achéménides. Il faudrait sans doute remonter à l’Empire romain, pour avoir le plus ancien model d’unification européenne sous une autorité centrale. Selon le géographe Strabon, qui écrivit peu avant l’ère chrétienne, les Romains «tiennent presque toute l’Europe, excepté la partie qui se trouve au-delà de l’Ister [Danube] et les parties bordant la Baltique entre le Rhin et le Tanaïs [Don]». Les Romains ne pourront jamais conquérir la Germanie (désastre de Tautebourg

même être vue comme un obstacle à la comparaison… (EXEMPLE : D’après Moore, les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne diffèrent de l’Allemagne et de l’Italie sur base de trois séries de variables : le développement économique, la structure sociale et le rôle de l’Etat. De plus, l’auteur note le rôle 1 Régime de la communauté politique en quête du bien commun. Opposée à la démocratie, forme dévoyée de ce régime au sens où elle s’organise au profit de la foule. 2 D’après Almond et Powell

Austro-hongrois, ont profité de la croissance économique des pays neufs. Les nouveaux migrants sont sans éducation politique et sont dénués de qualifications professionnelles. Ils ont de nombreuses lacunes qui leur empêchent d’avoir une insertion culturelle et sociale plus délicate et une stimulation de la croissance des pays. De plus, l’Europe est aussi une puissance coloniale. Puissance par laquelle, elle peut structurer des espaces coloniaux, a la volonté d’imposer des règles internationales. En 1884-1885