Vague

exceptionnel par son ampleur. Ce tsunami, comme beaucoup d’autres ne fut pas caractérisé par une seule vague mais par un train de vagues d’amplitudes et de vitesses différentes. Les survivants ont décrit entre 10 et 12 vagues. La particularité du tsunami de 2004 au nord de Sumatra est sa progression dans les terres. Si les vagues du tsunami se brisent habituellement en mer ou sur la ligne de côte, la vague principale du tsunami de 2004 s’est brisée en arrière de la plage, ce qui lui a conféré la capacité

terrain Les vagues créées par l'impact de blocs rocheux dans l'eau ou de glissements de terrains aériens sont dangereux localement pour des volumes effondrés de quelques millions de mètre cube (un effondrement dans un réservoir de barrage a généré une vague tuant près de 3 000 personnes dans la vallée du Vajont en Italie en 1963). Les tsunamis d'origine volcanique sont plus rares. En Indonésie l'effondrement de la moitié du cône volcanique du Krakatoa a provoqué une avalanche de plusieurs kilomètres

L’émigration italienne au XIXème siècle. L’émigration italienne fait partis de la 3éme vague d’émigration des Etats-Unis. Les principales causes de cette émigration sont : comme il y a encore très peu de formalités, les mouvements de population sont facilités. Il y a aussi des motivations économiques. En suite la misère pousse aussi les Italiens à partir. Une motivation pour eux de partir il y a trop de bras, mais pas assez de travail. Il y a aussi le prix des produits qui augmente et les

ce qui pouvait rendre l’image intéressante grâce au temps et à la lumière qui retombe sur les vagues. Dans ce tableau, il y a trois plans. Les motifs sont deux bateaux, la mer et les nuages. La barque, la plage et la vague sont au premier plan. La barque semble minuscule face à la vague. Le ciel est en arrière-plan et la mer se trouve au second plan. Les lignes obliques traduisent le mouvement. Ce mouvement est dû à l’orage qui précède cette peinture, la mer est particulièrement agitée. Le sujet principale

la mer et ses profonds abîmes qu'on ne pourrait jamais voir. Elle descendait jusque dans les entrailles de la terre. Les marins étaient peu nombreux et considérés comme très courageux. On les représentait souvent seul sur leurs bateau face à une vague énorme ou un dragon de mer. La mer était donc entourée de récits de légendes qui entretenaient un climat de crainte. Nous avons vu beaucoup de rituels qui consistaient à mettre les morts dans une barque et à les envoyer dérive, ce rituel est attesté

de la première vignette de la planche de BD ; le bateau dépasse même du bord de la vignette, laquelle occupe la moitié de la page : c’est dire son importance. Le navire, présenté de trois quarts, apparaît en légère contre-plongée sur la crête d’une vague ; cela lui donne du mouvement, du dynamisme. Cette impression est accentuée par le positionnement de la drua, orientée vers le fond de l’image ; voguant vers le grand large, vers un horizon lointain, elle est destinée à éveiller l’imagination du lecteur

couverture et le texte qu'elle est censée illustrer). Ces deux éléments incitent-ils à la lecture du livre ? Le titre l'Écume des jours est probablement une métaphore de l'écume des vagues. L'écume des vagues est la mousse blanche qui reste lorsque la vague se casse dans l'eau, ici les vagues sont les jours, après l'annonce de la maladie de Chloé les jours sont comptés. Le mot « reste » symbolise la maison qui rétrécit, l'argent qui diminue, le nombre de jours qu'il reste à Chloé, etc... Ce ne sont

courts. Ce type de surf, davantage dans la glisse que dans la radicalité des figures, nécessite une adaptation continue de la position du longboarder (nom donné aux surfers de longboard). Lorsque celui-ci sent sa vitesse se ralentir par rapport à la vague, il doit marcher vers l'avant de sa planche afin d'augmenter la vitesse de celle-ci et vice-versa. La taille et la stabilité du longboard offrent la possibilité au longboardeur, de marcher sur la planche. À l'oral, le mot longboard désigne parfois

ressentir ces rafales d'une façon particulière. Ils avancèrent alors vers la proue, et Rose enjamba la balustrade. Elle était maintenant face à l'immensité bleue, son mari la tenant par la taille. Quelle sensation de liberté ! Mais soudain, une immense vague fit tanguer le navire et déstabilisa les jeunes époux. Ils perdirent l'équilibre. Elle tomba. Il plongea. Disparus.

coûteuses, et ensuite au mariage avec une demi-paysanne ayant du bien. S’il rencontre une femme passionnée qui s’éprenne de lui, il faudra qu’elle fasse sa conquête ; car sa prudence prend dans le monde la forme de la timidité, et il a une terreur vague des grandes passions qui mettent beaucoup de tumulte dans la vie, trop faible du reste pour ne pas se laisser aller, et comme trainer à la remorque par une passion de ce genre qui aura cru trouver en lui son objet. George Sand a rencontré dans sa vie