Val-d'Or

Guy de Maupassant écrit que la neige à une « clarté blafarde », et je trouve qu’on retrouve cette clarté dans le tableau. 2ème poème : « Le dormeur du val », Arthur Rimbaud C’est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D’argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c’est une petit val qui mousse de rayons. Une soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l’herbe

stations à des fins uniquement touristiques villes dont le tourisme n’est pas l’activité principale ces stations ne vivent pas uniquement du tourisme forte saisonnalité fort équipées en commerce hébergement de toutes taille Ex : les sables d’or (Bulgarie), Pattaya (Thaïlande) … Type 3 : stations polyvalentes Ex : Barcelone, cannes le tourisme n’est qu’une des activités motrices de la ville qui est organisée en plusieurs pôles : touristique, industriels. Cohabitation difficile entre les

Histoire des Arts Artiste : Arthur Rimbaud Titre : Le dormeur du Val Date : Octobre 1870 Technique : Poésie, écriture Contexte : Arthur Rimbaud a écrit ce poème très jeune, à 16 ans. Il parle de la guerre Franco-Prussienne de 1870, mais parle plus encore de la bataille de Sedan, causant la défaite des Français le 3 septembre 1870, tout près de Charleville, le village où il a vécu. Ce poème raconte l’indignation et l’horreur de Rimbaud vis-à-vis de la guerre, et plus particulièrement

fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ; - Pauvres morts ! Dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie, Nature ! ô toi qui fis ces hommes saintement !... - Il est un Dieu, qui rit aux nappes damassées Des autels, à l'encens, aux grands calices d'or ; Qui dans le bercement des hosanna s'endort, Et se réveille, quand des mères, ramassées Dans l'angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir, Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir ! Arthur Rimbaud (1854-1891) Est un des plus

Objectifs: le sonnet, cours, la poésie engagée, Rimbaud, histoire  littéraire suite Support, « Le Dormeur du val », Rimbaud 1/ cours :Le sonnet, origine, histoire Sonnet :     Originaire   d'Italie   (XIIIe siècle),   où   Pétrarque  l'illustra   (1470),   le   sonnet   gagna   au   XVIe siècle   la   France  (Mellin   de   Saint­Gelais,   Clément   Marot),   où   la   Pléiade   le   tint  très en honneur, puis le Portugal et l'Espagne. Les vers étaient  alors   répartis   en   deux   quatrains  

ici de la meilleure série de poèmes, assez troublants d’ailleurs. Le soldat C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il

suggère le catholicisme, cf. 1er tercet) est présenté par opposition avec le tableau de la guerre qui précède, et ceci constitue la proposition principale de la phrase. Il est caractérisé par sa richesse: “nappes damassées”, “encens”, “grands calices d’or” qui s’oppose à la misère du peuple suggérée dans le deuxième tercet (étudier les oppositions richesse/pauvreté). Il est caractérisé par son indifférence: “il rit aux nappes damassées des autels” qu’il ne quitte pas car il semble étrangement absent

soit âpre, fière et cruelle ; Théodore Agrippa D’Aubigné 7 Le mal ; Arthur Rimbaud 8 Le déserteur ; Boris Vian 9 Après la bataille ; Victor Hugo 10 Bêtise de la guerre ; Victor Hugo 11 Les larmes se ressemblent ; Louis Aragon 12 Le dormeur du val ; Arthur Rimbaud 13 Développement 14 Conclusion 16 Introduction Une anthologie est un regroupement de texte. Son principal intérêt est d’établir une cohérence dans un thème ou style précis à l’aide de différents textes choisis. Nous

victoire de Sarrebrück » ou encore dans « Rages de Césars » et « Le Châtiment de Tartufe ». Il se montre contre la guerre dans sa lettre à Izambard : « ne remuez pas les bottes ! c’est mon principe » ou encore dans les poèmes « Le Mal », « Le Dormeur du Val » ou encore « Morts de quatre-vingt-douze… » et également anti-militaire en se moquant du « patrouillotisme » de ses compatriotes. Rimbaud montre donc dans ses lettres comme dans ses poèmes un goût prononcé pour la liberté, la lecture et la politique

de la Sorbonne. La première école normale des institutrices portera son nom. Sa santé se déclina : une courte maladie l’enleva à Villiers-le-Bel, dans le Val d’Oise, le 31 juillet 1878. À cause de sa disparition, elle n’a pu être récompensée pour son long dévouement à l’éducation de la première enfance par le jury international d’une médaille d’or.