Valenod

Rênal tente de faire pencher le procès en faveur de Julien en écrivant aux jurés que ce serait une faute de le condamner, et qu'elle lui pardonne volontiers son geste « maladroit » Malgré une opinion publique acquise à la cause du jeune Sorel, M. Valenod (qui fait partie du jury) parvient à faire condamner Julien à la guillotine, notamment à cause d'un discours provocant dénonçant les castes et l'ordre établi. À l'issue de la sentence, Mathilde et Mme de Rênal espèrent encore un recours en appel,

l’histoire. Une chronique qui prend pour cadre la France, de la province à Paris. L'épaisseur historique n'est pas anecdotique. L'opposition entre M. de Rênal et M. Valenod, opposition à partir de laquelle se dessine dans un premier temps le destin de Julien, est d'ordre politique et historique (« M. de Rênal est l'homme ministériel, [...] M. Valenod est le jésuite de robe courte »). En fait, le roman de Stendhal repose indéniablement sur des éléments du réel objectif : la position sociale, le milieu familial

de la maison fait courir le bruit qu’il est le fils naturel du marquis de la Mole. Celui-ci est favorable et invite J. a se frotter d’avantage au beau monde. Chapitre 7 : Le marquis envoi Julien en Angleterre pour fréquenter l’ambassade de FR. Valenod devient le maire de Verrière au remplacement de Mr de Rênal et vient à Paris pour se présenter au marquis. Julien réclame alors la place de directeur du dépôt de mendicité pour son père. Chapitre 8 : Mathilde demande a Julien d’assister au bal

mari est un bourgeois grotesque (on ne plante que des arbres qui donnent du “revenu”, tout ce qui est bâti ou planté fait référence à l’argent) différence avec le pur plaisir des âmes nobles. Julien est né trop bas. Il y a aussi le personnage de Valenod et toutes ses prétentions de bourge ignoble qui affame les pauvres dont il a la charge. Cette scène où il est à table et où Julien s’aperçoit qu’on fait taire les pauvres malheureux qui chantent est significative. Autre exemple lorsque M. de Rênal

de plus imprudent. Ils furent sur le point d’être aperçus. Mme de Rênal le crut fou. Elle fut effrayée et surtout choquée.’’ Sans suivis des histoires de dénonciation de couple de Julien avec Mme de Rénal à son mari de la part d’Elisa et de M. Valenod. Ils s’en sortirent grâce à un plan de Mme de Rênal consistant à innocenter Julien par le biais d’une autre lettre anonyme. Après cela Julien (comme prévu par Mme de Rênal ) entra au Séminaire (dirigé par l’abbé Pirard ) avec dégoût. ‘’ IL vit

théâtre, et publié en 1830, se présente en partie comme une violente satire des milieux bourgeois provincial et parisien. Dans cet extrait (1re partie, chapitre XXII), le héros Julien Sorel qui rêve d’ascension sociale a été invité à un dîner chez les Valenod. Le percepteur des contributions, l’homme des impositions indirectes, l’officier de gendarmerie et deux ou trois autres fonctionnaires publics arrivèrent avec leurs femmes. Ils furent suivis de quelques libéraux riches. On annonça le dîner. Julien

Rênal tente de faire pencher le procès en faveur de Julien en écrivant aux jurés que ce serait une faute de le condamner et qu'elle lui pardonne volontiers son geste « maladroit ». Malgré une opinion publique acquise à la cause du jeune Sorel, M. Valenod (qui fait partie du jury) parvient à faire condamner Julien à la guillotine, notamment à cause d'un discours provocant dénonçant les castes et l'ordre établi. À l'issue de la sentence, Mathilde et Mme de Rênal espèrent encore un recours en appel,

mesure où aucun des membres du jury qui l'accuse n'est du même milieu social que lui. 2. Identité des « hommes qui voudront punir en [Julien]... ». Par cette périphrase, Julien désigne le président des assises, l'avocat général et les jurés dont Valenod (les autres sont ses amis Moirod et Cholin). OBSERVATION 3. Motivation de la prise de parole de Julien. La conscience d'un « devoir » envers sa classe sociale pousse Julien à consentir à prendre la parole pour sa défense. Le texte utilise un oxymore

peut-être soit une mort naturelle ou tragique. Reprenons l’exemple du Rouge et le Noir de Stendhal. À cause de son ambition, Julien Sorel est jugé à la fin du roman puis exécuté. Bien que l’opinion opinion publique soit acquise à sa cause,le juge M. Valenod parvient à faire condamner Julien à la guillotine, notamment à cause d'un discours dénonçant les castes et l'ordre établi. Julien se résigne à la mort. Cette sentence prononcée par les juges, marque alors la fin du héros, choquant le lecteur, par

contrecarrer l’opposition de M. de Rénal. Lorsque le sentiment amoureux se précise, le jeu des personnages secondaires se modifie pour faire contrepoids. Dans cette recherche de l’équilibre des forces, certains personnages adoptent positive ou négative : Valenod, Elisa, Mme Derville, l’abbé Chelan, les enfants de Mme. De Rénal dont Stanislas Xavier qui tombe malade au cours de l’histoire. L’héroïsme de Julien Sorel est ici remis en question : D’une part, le fait qu’il ai surmonté une enfance difficile