Valenod

des enfants de M. Rênal, le maire de Verrières. M. et Mme de Rênal, dont Julien tombe amoureux, subissent la jalousie de M. Valenod, directeur du dépôt de mendicité. Tout le village est au courant de cette rivalité, chacun des deux hommes voulant remporter cette «course à la gloire». Nous nous retrouvons ainsi au milieu du chapitre XXII, où Julien est invité à dîner M. Valenod, qui veut le convaincre de devenir précepteur chez lui, et de quitter les Rênal. Cette rencontre est rendue possible par l'absence

LA Dînr chez ValenodLe dîner chez les Valenod 1 « Jamais Julien n'était allé » Courte analepse. Tout le § va être centré sur le point de vue de Julien, son passé, ses impressions L'analepse permet d'insister sur le fait que c'est pour le héros l'occasion d'entrer dans un monde nouveau, une nouvelle épreuve 2 « cet homme » L'usage du déterminant possessif est à consonance péjorative Le sentiment qui prévaut est sans doute le mépris ce que confirme l'information suivante

et sociale déterminée. Bref résumé : Préceptorat dans la famille de Rênal, liaison avec Mme de Rênal, bonheur goûté à Vergy, loin de la société, mais compromis par des lettres anonymes sans doute de la main de Valenod, séparation prudente et retour à Verrières, tentatives de Valenod, d'enlever le savant et célèbre précepteur à son rival Composition de cet extrait une présentation satirique qui révèle les premières impressions un dîner insoutenable pour Julien qui le confirme dans son mépris

qui travaille pour la première fois chez M. Rênal puis après son séminaire a Grenoble, il travaille chez M. Valenod à Paris. Il est tombe amoureux par deux femmes, l’épouse de M. Rênal et la fille de M. Valenod. Monsieur Rênal  : il est maire de Verrières, mari de Mme. De Rênal et premier employeur de Julien. Il est un bourgeois et un industriel de clous dans Verrières. Monsieur Valenod : il est d’abord un directeur du dépôt de mendicité de la ville, après il est devenu le deuxième maire de Verrieres

Julien a repoussé les avances, dénonce leur liaison à Valenod. Ce précepteur des contributions, directeur du dépôt de mendicité, rival de M de Rênal, saisit l’occasion de se venger en lui envoyant une lettre anonyme révélant l'adultère de sa femme. Julien, doit quitter les Rênal et imagine un stratagème avec sa maîtresse pour la disculper. Dans le chapitre XXII, intitulé « Façon d’agir en 1830, Julien se rend à une invitation à dîner de Valenod qui songe à la prendre comme précepteur de ses enfants

ye | / | 1) L'interprétation traditionnelle que l’on donne du titre de ce roman, est que, le rouge symboliserait la carrière militaire (le rouge des uniformes des hussards), et le noir, la carrière ecclésiastique (le noir de la soutane du prêtre). Musset en fait une lecture plus littéraire : le rouge représenterait l'amour et la passion, le noir la violence et la mort. 2) Le personnage historique qu’admire Julien est Napoléon. Cette admiration lui vient des livres qui l'a lu,

l'habille avec convenance. Les enfants sont tout de suite charmés par l'érudition de ce jeune homme. Qui peut réciter des pages entières de la Bible. Chapitre 7 résumé : Le succès de Julien commence à lui valoir des inimitiés. C'est le cas avec M de Valenod qui est le directeur du dépôt de mendicité. Il fait la cour à Mme de Rênal qui n'y est pas sensible tandis qu'elle n'a que d'yeux pour Julien Sorel. L'érudition de ce dernier, sa passion pour la littérature en font un personnage loin de son monde

leur ai fait entendre qu'il dépendait d'eux de me porter à l'épiscopat. Le baron Valenod, que j'ai fait maire de Verrières, dispose entièrement de deux de ses administrés, MM. de Moirod et de Cholin. A la vérité, le sort nous a donné pour cette affaire deux jurés fort mal pensants ; mais, quoique ultra-libéraux, ils sont fidèles à mes ordres dans les grandes occasions, et je les ai fait prier de voter comme M. Valenod. J'ai appris qu'un sixième juré, industriel immensément riche et bavard libéral

VII (le début du chapitre.)Introduction Juju est engagé comme précepteur des 3 enfants des R(abréviation pour de Rênal ) Il est apprécié de M. de Rcar cela flatte sa vanité que ses enfants aient un précepteur (les enfants de Valenod n' en ont pas !) et apprécié de Mme de R. car se montre doux, indulgent avec les enfants.Dans cet extrait nous verrons les relations de juju avec la « bonne société », les notables de Verrières ; mais aussi ses relations avec sa propre famille

évolue lors de son parcours dans ces différents milieux sociaux. Extrait 1Extrait 2Extrait 3Extrait 4LieuxMilieu social Verrières-diner chez monsieur de Valenod-bourgeoisie de provinceséminaire (Besançon)-clergéarrivée à Paris, hôtel de la Mole-aristocratieParis-aristocratiePersonnages rencontrés (qui font son éducation)le sous-préfet/ monsieur Valenod/ qques notables libéraux-les Rênalséminaristes/abbé Pirard/abbé Castanède(=la congrégation)abbé Pirard conseille Julien sur l'attitude à adopter chez