Valérien

nous sommes en première littéraire et notre professeur d'Histoire nous a inscrit en début d'année au concours nationale de la résistance. Afin de réaliser notre TPE et de concretiser notre projet, nous avons fait plusieurs sorties, notament au Mont Valérien et au Musé de la résistance, puis, rencontrer un ancien résistant: Jacques Bloc, vennu témoigner et nous raconter son parcours. Notre sujet a été soutiré du thème "Contraintes et libertés". Il est aussi en rapport avec notre programme d'Histoire

déroule devant le tribunal militaire allemand du Grand-Paris, du 17 au 21 février 1944. 22 des 23 membres du réseau (Olga Bancic, la seule femme du groupe, étant décapitée le 10 mai) sont condamnés à mort et fusillés le 21 février au fort du Mont-Valérien. Réalisée par les services de propagande allemands en France Des libérateurs? La libération par l'armée du crime ! (appelée aussi l’Affiche rouge) est placardée à Paris et dans certaines grandes villes françaises au moment du procès ou juste après

allemand responsable du STO en France...). En 1944, suite à une trahison, le réseau est neutralisé par une vague d’arrestations. Cette affiche fut réalisée suite à leur arrestation. Les 22 hommes seront fusillés le 21 février 1944 au fort du Mont-Valérien. Olga Bancic, la seule femme, sera décapitée un peu plus tard, en application du manuel de droit criminel de la Wehrmacht interdisant de fusiller les femmes. Les portraits forment comme une flèche qui cible Manouchian, le chef du réseau, et qui

L’affiche rouge • • • le 21 février 1944, les murs de Paris se couvrent de grandes affiches rouges. Elles font état de l'exécution au  Mont Valérien de 23 «terroristes» membres d'un groupe de FTP (francs-tireurs partisans), qualifiés d'«armée du crime». Le chef de ce groupe de résistants s'appelle Missak (Michel) Manouchian. Il est né en Arménie 36 ans plus tôt et a perdu son père dans le génocide arménien. Les objectifs de l’affiche : persuader que ces hommes sont des terroristes, et non des

de France ; elle est aussi reproduite sur des tracts distribués dans les rues.. Cette affiche, vite appelée « l’Affiche rouge », présente les portraits de dix résistants parmi les 23 membres du « groupe Manouchian » qui vont être fusillés au Mont-Valérien le 21 février 1944. Cette affiche, commanditée par les nazis, vise à démontrer à la population française, que ces hommes ne sont pas des libérateurs mais des terroristes, que la résistance n’est pas une armée de libération pour la France mais un

4/Le 24 octobre 1940, Philippe Pétain, chef de l'État français, rencontre Hitler dans la petite gare de Montoire-sur-le-Loir. 5/Le 21 février 1944, les murs de Paris se couvrent de grandes affiches rouges. Elles font état de l'exécution au mont Valérien de 23 «terroristes» membres d'un groupe de FTP (francs-tireurs partisans). 6/La mort inutile des terroristes des affiches rouge est associé au sacrifice d’Antigone. (=> Rapport avec la bêtise des hommes.) 7/Le pouvoir qui est obligé de tuer

entièrement résistante. Les consensus résistancialiste. Le discours officiel forgé l'image d'un pays unis conte l'occupant : le résistancialisme. Entre 1945 et les années 60, de nombreu monuments sont érigés à la gloire des résistants comme le Mont Valérien. Des stations de métro parisien sont rebaptisée pour rappeler le souvenir de résistance. Exemple : Jacques Bonsergent, Gabriel Péri, Guy Moquette. En 1964, cendres de Jean Moulin, résistant, créateur du centre national de résistance (CNR) sont

rue Saint-Martin. C’est mon ami, c’est mon copain. Il a disparu un matin, Ils l’ont emmené, on ne sait plus rien. On ne l’a plus revu dans la rue Saint-Martin. Pas la peine d’implorer les saints, Saints Merri, Jacques, Gervais et Martin, Pas même Valérien qui se cache sur la colline. Le temps passe, on ne sait rien. André Platard a quitté la rue Saint-Martin. Robert Desnos, États de veille, 194 Jean-Pierre Rosnay, France Ils disaient tous Ma France ou la France éternelle Et chacun te prenait un

du 3e corps de l'Armée du Rhin. Il reçoit autorité sur les armées des généraux Frossard et Ladmirault ainsi que sur la Garde impériale. Le général Chabaud-Latour est chargé de la défense de la capitale. Des travaux sont entrepris au fort du Mont-Valérien, aux forts de Montrouge, de Bicêtre, d'Ivry, de Vanves, d'Issy, puis le 3 août aux forts de l'Est, et à Saint-Denis ; plus d'une vingtaine de redoutes sont construites. Le 17 juillet, lors d'un rassemblement populaire d'étudiants et d'ouvriers à

eux, 10 sont sélectionnés pour la composition de l'Affiche rouge, où apparaît l'expression « l'armée du crime ». Le tribunal prononce 23 condamnations à mort. Le 21 février 1944, les 22 hommes du groupe des condamnés à mort sont fusillés au Mont-Valérien, en refusant d'avoir les yeux bandés. Dans la foulée de ces exécutions, la propagande allemande placarde 15 000 exemplaires de ces fameuses affiches rouges portant en médaillons noirs les visages de dix fusillés. Au centre, la photo de Manouchian