Valeur nominale et valeur réelle

compte 500€ ; calculez la valeur acquise par tous ces versements le 31.12.2007 au soir (ou le 1.1.2008 au matin). II-Escompte commercial à intérêts simples II-1 Monsieur Pierre doit à monsieur Paul la somme de 5000€, payable le 31/5 (le taux est t = 12%). a) Le 16/5, monsieur Paul demande “ report ” d’échéance au 30/6. Déterminez le nominal du nouvel effet. b) Le 16/6, monsieur Paul aurait pu demander de substituer à l’ancien effet un nouvel effet de nominal 5200€ ; déterminez alors l’échéance

des valeurs ajoutés auxquelles on ajoute les impôts gérant la production (ex : TVA) et on ajoute ou soustrait les droit de douanes). Le PIB nominal (€ courant et volume) c’est le volume en euros des productions et le PIB réel (€ constant et valeurs) c’est la valeur en euros de ce qu’ont peut acheter avec le PIB nominal après l’évolution de l’inflation. Plus l’inflation est constante, plus la valeur entre le PIB nominal et le PIB réel sera

priori pertinente en économie. Qu'est ce qui donne de la valeur à un bien ? Cette question est la première que se sont posés les économistes au XVIIIème siècle. C'est la question du fondement de la valeur. Et elle est étudié par les théories de la valeur. Le premier à étudier cette théorie est Adam Smith en 1776 « Recherche sur la nature est les causes de la richesses des nations » Pour Smith, la valeur d'un bien ne repose pas sur la valeur d'usage qui est la satisfaction que l'on retire de son utilisation

effets de l'inflation, celui-ci mesure le prix actuel de tous les biens et services produits par rapport à une année de référence. On peut le calculer de la sorte : Déflateur du PIB = ( PIB nominal / PIB réel ) * 100 PIB nominal : valeur des biens et services mesurée à prix courants (moment t) PIB réel : valeur des biens et services mesurée à l'année de référence Le déflateur ne tient compte que des prix des biens et services produits sur le territoire national. On parle d'indice de Paasche ou

consommation et au logement. • Innovation financière (1926) : prêts aux courtiers (brokers’ loans). L’achat de titres financiers pouvait être financé par l’emprunt permettant de profiter de l’effet de levier (leverage). • Forte croissance des valeurs mobilières (bulle spéculative). • Forte croissance du PIB aux Etats-Unis. 3 La crise de 1929 • Krach boursier : Le « jeudi noir » (jeudi 24 octobre 1929), l’indice Dow Jones perd 22,6% à midi provoquant la panique. Le marché se

qu'une pièce ne peut être réalisée de façon rigoureusement conforme aux dimensions fixées au préalable. Le contrôle nous permet de s'assurer que les dimensions des valeurs réelles sont comprises entre deux limites dites : la cote maximum et la cote minimum (fig.23). Fig.23 Donc il faut, par un contrôle, s'assurer que la cote réelle se situe entre les deux limites définies par la tolérance.Unités de longueur : L'utilisation du millimètre (mm) et du micron (µ) pour l'écriture des cotes permet de

S(Y) = I(i) Cette condition signifie que pour tout taux de l’intérêt donné, il existe une seule valeur du revenu Y (ou de la production qui lui correspond) pour laquelle S et I sont égaux : Y devient donc une fonction du taux de l’intérêt. On peut aussi dire l’inverse (i devient une fonction du revenu Y) car l’intervalle de variation du taux de l’intérêt ne correspond pas à toutes les valeurs positives possibles : un taux d’intérêt trop élevé ne correspond à aucune situation économique concevable[1]

pour équilibrer leur trésorerie. Le marché obligataire porte sur les obligations c'est-à-dire des valeurs mobilières représentatives de créances à long terme. Ouvert à un large public d’épargnants, il se tient obligatoirement à l’intérieur des bourses de valeurs. Le marché des actions lui aussi est ouvert à un large public, il se situe à l’intérieur des bourses de valeurs, ici les capitaux ne s’investissent pas en titre de créance mais en participation au capital d’une entreprise

monétaire (ici entendue comme le contrôle du stock monétaire) qui constitue, en économie fermée, un autre instrument privilégié de politique économique. La monnaie remplit trois fonctions macroéconomiques (moyen d’échange, réserve de valeur et étalon de valeur). Plus l’activité est importante, plus il faut de la monnaie pour permettre les échanges. Plus la demande de monnaie est forte, moins les agents placent leur argent en actifs (une augmentation de la demande de monnaie traduit une diminution

que les ménages et les entreprises. Dans un schéma aussi simple: • Deux marchés – flux réel et flux monétaire. • Le marché des biens et services : les ménages versent des recettes (flux monétaire) aux entreprises en échange des biens et services (flux réel) qu’elles produisent. • Le marché du travail : les entreprises versent des revenus (flux monétaire) aux ménages en échange des services productifs (flux réel) que ceux-ci leur rendent. Revenu agrégé = revenu des ménages = coûts des entreprises