Vautour

figea pendant une demi seconde avant de se retourner avec toute la rapidité dont elle était capable. Mais il était trop tard. Le vautour appuya sur la détente et Grace, le corps criblé de balles, fut projetée plusieurs mètres en arrière. » Situation du passage: Ce passage, c'est lorsque Grace et Sam veulent sauver Jodie et que Grace se fait tirer dessus par le Vautour. Justification du choix: J'ai choisis ce passage, car à nouveau, c'est un moment avec à la fois de l'action et du suspense

du coq (v13), là il chante sa victoire au moment où son heure sonne : quand il s’attribue sa victoire, elle lui échappe. • V21 : Manière de souligner que le coq en fait trop, son orgueil est sanctionné. La vautour prend en charge l’intervention du sort. Mais pas de description. Vautour = représentation de la Fortuna Parataxe entre V21 et V22 • V22 : Ce vers réfère au vers 12 « sa gloire et ses amours » . Ici c’est « les amours et la gloire »  inversion qui marque la réversibilité des

en Normand. (La Cour du Lion) Il plut du sang ; je n’exagère point. Si je voulais conter de point en point tout le détail je manquerais d’haleine. (Les Vautours et les Pigeons) Tenez toujours divisés les méchants ; la sûreté du reste de la terre dépend de là : semez entre eux la guerre, ou vous n’aurez avec eux nulle paix. (Les Vautours et les Pigeons) (…) certaines gens faisant les empressés s’introduisent dans les affaires : ils font partout les nécessaires ; et, partout importuns, devraient

structure du récit, nous avons une fragmentation des corps, le vieillard assassiné n'est qu'un œil au début « un œil bleu pâle avec une taie dessus », « ressemblait à un œil de vautour » et un cœur sur la fin de la nouvelle. Il est en quelque sorte réifié car un œil n'a pas de vie propre, il est aussi animalisé car comparé à un vautour. Mais ne ressemble pas à un être humain, trop peu d'éléments. Une fois mort l'homme sera aussi une tête, des bras et des jambes, mais découpés, séparés du corps. La maison

traîtres appas.Le las était usé : si bien que, de son aile,De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin :Quelque plume y périt : et le pis du destinFut qu'un certain vautour à la serre cruelle, (8)Vit notre malheureux qui, traînant la ficelleEt les morceaux du las qui l'avaient attrapé,            Semblait un forçat échappé.Le vautour s'en allait le lier ,quand des nuesFond à son tour un aigle aux ailes étendues.Le pigeon profita du conflit des voleurs,S'envola, s'abattit auprès d'une masure,           

homme avec lequel il vit a un « œil bleu pâle, avec une taie dessus », un œil de « vautour », qui cause tant de souffrance au narrateur qu'il décide de l'assassiner. Le narrateur insiste sur la prudence avec laquelle il a commis le meurtre pour montrer qu'il ne peut être fou. Pendant sept nuits, il ouvre la porte de la chambre du vieil homme, action qui lui prend une bonne heure. Toutefois, à chaque fois, l'œil de vautour du vieil homme demeure fermé, ce qui l'empêche « d'accomplir l'œuvre ». La huitième

Le las était usé : si bien que, de son aile, De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin : Quelque plume y périt : et le pis du destin Fut qu'un certain vautour à la serre cruelle, (8) Vit notre malheureux qui, traînant la ficelle Et les morceaux du las qui l'avaient attrapé, Semblait un forçat échappé. Le vautour s'en allait le lier ,quand des nues Fond à son tour un aigle aux ailes étendues. Le pigeon profita du conflit des voleurs, S'envola, s'abattit auprès d'une masure

bien et le mal, en parlant du Créateur, qui représente, la paix, le bien, généralement, au germes du chaos. Il vient même à s'en approprié les paroles ''Va dit-il'' (v.7) ou encore ''il dit'' (v.13), il vient aussi à le comparer à un vautour '' Comme un vautour qui plonge sur sa proie '' (v.13). De plus, dans le discourt qu'il rapporte, il fait du Malheur un personnage à part entière, en le personnifiant, qu'il représente comme un être cruel et fou de rage. Il vient ensuite '' le Créateur'' →

appas. Le las était usé ! si bien que de son aile, De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin. Quelque plume y périt ; et le pis du destin Fut qu'un certain Vautour à la serre cruelle Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle Et les morceaux du las qui l'avait attrapé, Semblait un forçat échappé. Le vautour s'en allait le lier, quand des nues Fond à son tour un Aigle aux ailes étendues. Le Pigeon profita du conflit des voleurs, S'envola, s'abattit auprès d'une masure

appas. Le las était usé : si bien que de son aile, De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin. Quelque plume y périt : et le pis du destin Fut qu'un certain vautour à la serre cruelle, Vit notre malheureux qui, traînant la ficelle Et les morceaux du las qui l'avaient attrapé, Semblait un forçat échappé. Le Vautour s'en allait le lier(9), quand des nues Fond à son tour un aigle aux ailes étendues. Le Pigeon profita du conflit des voleurs, S'envola, s'abattit auprès d'une masure