Vautour

qui seront d’ailleurs inversés par la suite -ce qui est drôle c’est que ce n’est pas son combat et son désir de vengeance qui renverseront la situation, mais le sort et l’orgueil trop grand du vainqueur : « Tout cet orgueil périt sous l’ongle du vautour » -une dernière petite touche d’humour de l’auteur est le fait qu’il emplois le registre burlesque en comparant cette dispute à l’épopée raconté dans L’Iliade, où Hélène est rapprochée de la poule. Ainsi, ce récit a pour but de plaire et instruire

de ces traits formulaires. Y sont privilégiés la répétition (« Jeunes filles, chantez, chantez »10), l’anaphore (« Feu qui brûles… Feu qui voles…Feu transparent… Feu des sorciers… » ; « Laisse-moi… Laisse-moi… » ; « Je chante Manson… Je chante le vautour…)11, les parallélismes (« Tu es ton père, tu es ta mère », « oiseau sans aile, matière sans corps »)12, les oppositions symétriques (« Feu qui brûles et ne chauffes pas, feu qui brilles et ne brûles pas », « Esprit des eaux inférieures, esprit des

Bec-croisé des sapins, le Cassenoix moucheté, la Chouette hulotte, la Chouette effraie et la Chevêche d'Athéna51,52. L'Aigle royal et le Vautour fauve, notamment à la suite de leur réintroduction dans le Glandasse au-dessus de Die à partir des années 199035,53, vivent dans les falaises54. Ce dernier a été suivi par le Grand Corbeau, le Vautour moine, le Vautour percnoptère et le Gypaète barbu54. Le Faucon pèlerin et le Hibou grand-duc partagent également cet habitat54. Le Tétras lyre, autre symbole

lorsque l’on souhaite inviter le lecteur à la réflexion. Le poète pratique ainsi une sorte d’esthétique de la gaieté. Dans la fable Les Deux Coqs il n'y a pas de gravité dans l'évocation du combat fratricide des deux Coqs ou dans l'intervention du Vautour , mais une moquerie joyeuse. La Fontaine utilise le mécanisme employé par les auteurs de comédies: le renversement de situation qui fonctionne lorsque le résultat est l'inverse de celui escompté. Le lecteur souri quand le personnage est pris à son

découvrir, il veut faire violence à Léto. Mais il en est empêché par Apollon et Artémis, qui le criblent de flèches. Selon d'autres versions, il est frappé par la foudre de Zeus. Il est ensuite condamné à avoir le foie éternellement rongé par deux vautours dans le Tartare. (Ce supplice est à rapprocher de celui que subit Prométhée.)

l'est du Tibre. Arrivé sur ce site, les jumeaux se sont demandés ou créer la nouvelle ville. Pour répondre à cette interrogation, ils ont consultés dieu. Romulus décide de se rendre au mont palatin, en guise de présage voit passer dans le ciel 12 vautours tandis que son frère n'en voit passé que 6. Dès lors, comme favorisé par les dieux, les prêtres décident qu'il revient à Romulus de décider ou fonder la ville nouvelle. Cela sera fondé sur le Palatin. Ainsi Romulus va t-il tracer les limites de la

comme lui. Sa réflexions de la mort ne s’arrête pas là. C’est une vision péjorative, mais totalement vraie. Dans le texte, tous les rituels de la mort sont abordés : « Qu’on m’embaume […], qu’on me brûle […], qu’on m’enterre […] qu’on me donne aux vautours ni aux fauves ». La façon dont ces rituels sont abordés est crue, mais réelle. Tellement réelle, que ceci nous fait réfléchir sur ce que l’on devient après la mort : on ne disparaît pas seulement mentalement, ce n’est pas seulement le fait de ne

l’animal (« la terre n’appartient qu’aux hommes »). Les hommes doivent vivre en harmonie avec la nature pour se sauver et sortir de leur condition d’esclave du travail. Cependant la nature reste hostile à l’ouvrier comme les « corbeaux » et les « vautours » qui désignent les chefs d’entreprises et l’Etat qui les exploitent, qui les « saigne le malheureux ». Le « matin » désigne le renouveau et la naissance d’une nouvelle condition pour les travailleurs, le futur employé dans le vers suivant « brillera »

lors de nombreuses guerres navales du 17eme siècle. Le troisième acteur est l’alliance Asie/Afrique, l’Egypte d’Ibrahim Pacha, mise en évidence de son impérialisme. Ibrahim Pacha est une figure animale, champ lexical de la cruauté, barbarie (loup, vautours, faucons –> carnivores, rapaces, hostilité). Il y a une dévalorisation de la Turquie «Console toi plus de Tyrans», l’alliance turquo-egypsienne («Cette Asie/Africaine»), six années de conflits, croissant symbole musulman. Les tyrans, les bourreaux:

pourtant passionnante qui nous instruit sur l’Afrique et ses conflits, la foi, qui nous fait rire et nous émeut. Pendant tout le spectacle, on attend quelque chose de spectaculaire qui ne vient que deux minutes avant la fin : un orage retentissant, un vautour porté jusqu’au pupitre, un léopard mort, des chaises… Cette fin inattendue et ouverte à l’interprétation contraste fortement avec le prologue. Ce teste, même s’il mêle le documentaire et l’anecdotique, le comique et le pathétique, le tragique et