Vautrin Et La Paternité

avec 91 romans et nouvelles parus de 1829 à 1852. II) Résumé Jeune aristocrate de province, Rastignac décide d'étudier le droit à Paris mais doit pour cela habiter dans la sinistre pension Vauquier. Il y rencontre l'énigmatique et ancien forçat Vautrin, la jeune orpheline Victorine Taillefer, mais surtout Goriot. Celui-ci s’est quasiment ruiné pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen qui le tiennent à l’écart de leur vie. Elles mènent grand train auprès de leurs maris aristocrates

prête ; bourgeois enrichi par le commerce ruiné par ses filles = honte sociale pr ces aristocrates D’un personnage à l’autre, une double mort La mort pathétique d’un personnage attachant Figure du sacrifice pr ses filles « Christ de la paternité » ici mort du Christ ap son calvaire, fig mythique du père (Christophe = en grec « celui qui porte le Christ ») Filles absentes (enterrement) et omniprésentes (socialement : voiture armoriées ; photo qui créé l’illusion d’une famille retrouvée)

retrouve dans d’autres volumes. Collection Série Eugène de Rastignac, fils du baron de Rastignac, La Fille aux yeux venu de Charente pour étudier le droit à Paris. À la Précédé par d'or maison Vauquer, il rencontre Jacques Collin, alias Le Colonel Vautrin, qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Suivi par Chabert Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime Delphine de Nucingen, fille du père Goriot

 Pour commencer balzac a pu choisir ce titre pour de nombreuses raisons. On peut ici en citer quatre. Tout d'abord ce choix peut ce justifier par le terme de la paternité omniprésente. En effet, le titre le père Goriot aborde déjà ce thème avec le mot « père ».Puis tout au long de la lecture on découvre toute sorte de père dont Goriot en ai l'image pour la plupart. Il est un père bien aimant pour ses filles mais aussi un père de coeur, d'adoption pour Rastignac. Ce roman nous donne aussi l'image

son temps créant des archétypes comme celui du jeune provincial ambitieux à la conquête de Paris, Eugène de Rastignac, de l'avare tyran domestique, Félix Grandet, de l'icône du père, Jean-Joachim Goriot, ce « Christ de la paternité », ou du bagnard reconverti en policier, Vautrin. Il a influencé directement des auteurs comme Gustave Flaubert dont le roman L'Éducation sentimentale est directement inspiré du Lys dans la vallée, et Madame Bovary de La Femme de trente ans. Le cycle romanesque de La Comédie

Certains de ses personnages sont tellement vivants qu'ils sont devenus des archétypes, tels Rastignac, le jeune provincial ambitieux, Grandet, l'avare tyran domestique, ou le père Goriot, icône de la paternité. Il accorde une place importante aux financiers et aux notaires, mais aussi au personnage de Vautrin, le hors-la-loi aux identités multiples. Son œuvre compte une énorme proportion de courtisanes et de grisettes, à côté de femmes admirables et angéliques. L'importance qu'il donne à celles-ci et

principaux du roman sont : Paris sous la Restauration Relations père-filles / hypocrisie des filles = les filles du père Goriot ne s'intéressent qu'à la fortune de leur père le drame de la paternité l’ambition des jeunes (Rastignac) le pouvoir La vengeance dans la société après avoir été rejeté (Vautrin) L'amour L'argent  = Rastignac souhaite faire fortune le sacrifice le malheur la misère Le mensonge  Jacques Collins qui se fait passer pour un bourgeois et donc menant ainsi beaucoup

société de son temps et créé des personnages devenus des archétypes comme le jeune provincial ambitieux à la conquête de Paris (Rastignac, Rubempré), l'avare tyran domestique (le père Grandet), le « Christ de la paternité[8]» (Jean-Joachim Goriot) ou le bagnard reconverti en policier (Vautrin). La Comédie humaine influencera directement les auteurs de son siècle comme Gustave Flaubert, ou Émile Zola qui reprendra le principe du cycle romanesque et des personnages reparaissants dans sa fresque des Rougon-Macquart

constitue un épisode pathétique, aussi bien par son sujet, donc, que par la perspective narrative où il s’inscrit. Impliquant fortement l’émotion du lecteur, il contribue à ennoblir la figure de Goriot, que Balzac évoquait comme «  un Christ de la paternité ». Mme Vauquer intervient à plusieurs reprises dans la scène. Sa conduite est tout entière dictée par l’avarice. Ses mentions de sommes précises, « cent quarante-quatre francs », traduisent son souci exclusif de l’argent. De même que le rappel

pensons que son œuvre peut être qualifiée de réaliste ! Résumé Le roman débute à Paris, en automne 1819, dans une pension minable de la rue Neuve-Sainte Geneviève où se côtoient plusieurs résidents dont le jeune Eugène de Rastignac, Vautrin et le père Goriot. Rastignac est un jeune étudiant en droit, venant d’une famille provinciale modeste, qui s’émerveille devant la vie parisienne. Eugène préfère rejoindre la haute société à l’aide de sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, aux