Vautrin

personnages 1 - Les personnages principaux dans ce livre sont Le père Goriot, ancien vermicellier ruiné, ses deux filles qui appartiennent à l'aristocratie parisienne, Eugène de Rastignac, jeune provincial qui part à la conquête des salons parisiens, et Vautrin, ancien criminel, qui est prêt à atteindre ses objectifs à tout prix. 2 - Le père Goriot, ancien vermicellier à la retraite et ruiné, est d'apparence pitoyable. Il a environ 69 ans, a de l'embonpoint, est de taille modeste. Il ne vit que pour ses

Eugène de Rastignac[modifier] Venu de Charente pour étudier le droit à Paris. À la maison Vauquer, sise rue Neuve-Sainte-Geneviève, il rencontre Jacques Collin, alias Vautrin, qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime une fille du père Goriot, Delphine de Nucingen, dont il sera l’amant dans Splendeurs et misères des courtisanes. Très vite il fait son chemin

Rastignac rencontrera Vautrin, pensionnaire également qui est un homme curieux et un ancien forçat qui se fait passer pour un commerçant et dont les activités nocturnes l’intriguent. Le Père Goriot est un homme retraité qui a fait fortune avec la fabrication de vermicelles (pâtes) et qui s’est ruiné pour ses deux filles. Il a pour elles un amour paternel démesuré qui lui fait perdre la raison. Il leur a donné une belle éducation et les a marié correctement grâce à une dot. Vautrin veut aider Rastignac

Goriot ». LES PERSONNAGES PRINCIPAUX sont : le père Goriot ; Rastignac, un étudiant pauvre; Vautrin, bagnard sous le nom de Trompe-la-mort; Victorine, une riche héritière; Poirot et Michonneau, pensionnaires; Anastasie, fille de Goriot, et Delphine, maitresse de Rastignac et fille de Goriot. L’histoire se développe dans la pension Vauquer, où vivent parmi les pensionnaires deux mystérieux personnages: Vautrin et le père Goriot. 1 WWW.MIRABELLI.IT Rastignac apprend, grâce à sa cousine Beauséant (qui

s’affirmer, c’est le pourquoi, selon Vautrin, « la fortune est la vertu ». A travers le personnage Vautrin, Balzac dénonce les injustices sur lesquelles se fonde l’ordre social. L’argent ici est lié au mal ; le baron Taillefer dépouille sa famille au profit de son fils, s’octroyer l’héritage de cette dernière. L’argent n’aurait peut-être pas été ce pouvoir de séduction dans la société fondée sur des valeurs les plus élevées ; or la société, selon toujours Vautrin, n’accorde d’estime qu’au « si je réussis

présence d’un guide, d’un initiateur. Rastignac a connu une expérience humiliante qui lui a fait comprendre qu’il fallait qu’il apprenne les règles de la société parisienne. Deux personnes vont se prendre de sympathie pour lui et l’instruire : Vautrin et Mme de Bauséant. Mme de Bauséant, elle est une dame de la haute noblesse, c’est une reine de Paris, elle habite au faubourg St-Germain (le sommet de la société parisienne à l’époque de Balzac) et sa connaissance de la haute société parisienne

proie à de grands malheurs. En effet, lorsque Vautrin à eu vent de la fortune familiale de la pauvre Victorine il s’est empressé de construire le plan qui intégrait la séduction de cette dernière par le nouveau venu Rastignac. Vautrin comptais ainsi en retirer un certain profit. Il semblerait donc que être à la tête d’une énorme fortune susciterai d’énorme convoitise allant jusqu’au danger de mort. Par contre, il est vrai que le gain auquel Vautrin aspire sera utilisé dans sa totalité dans un voyage

noblesse qui est en décadence, mais qui désire à tout prix rester au pouvoir; la haute bourgeoisie qui est en ascension et qui désire prendre la place de la noblesse; la petite bourgeoisie qui rêve de grandeur, mais vit mal; le peuple, les gens du fond (Vautrin), les paysans.. De manière plus générale, l'on peut dire que dans la société il n'y a pas de morale, mais seulement une lutte pour la survie. Le moteur principal est l'argent: on assiste à la dégradation morale de la plupart des hommes sous l'emprise

Mme Vauquer. C’est une femme grosse, ses vêtements sont vieux, troués, elle a connue des malheurs dont elle ne veut parler. Enfin on décrit les pensionnaires, d’après les étages. Premier étage : Mme Vauquer et Mme Couture ; 2nd étage : Mr Poiret et Vautrin ; 3ème étage : Mlle Michonneau et Mr Goriot (45F/mois). Les personnages principaux vivent dans des chambres et sont caractérisés par leur pauvreté. Madame Vauquer est associée à sa pension : elle n’est pas pauvre. Le narrateur est omniscient : il

dit-il, d'un fait divers, et met au point alors, pour la première fois, à l'occasion de ce roman, le principe de récurrence des personnages de La Comédie humaine. Mme de Bauséant, qui fut jadis La Femme abandonnée, réapparait ici, et Rastignac et Vautrin, nouveaux venus de l'univers balzacien, reviendront fréquemment dans les romans ultérieurs. cc Un brave homme, - pension bourgeoise, 600 fr. de rente, - s'étant dépouillé pour ses filles qui toutes deux ont 50.000 fr. de rente, mourant comme un