Veillée Funebre

3 jours avant la mise en bière et d’être enterrée avec un gant qui se trouvait dans une boîte en acajou. Ces dernières exigences suscitèrent aussitôt des interrogations de sa seule proche parente ainsi que du narrateur. Trois jours après la veillée funèbre, un homme vêtu de noir, un personnage solennel inquiétant, sorti de nulle part, se présenta à la villa Circé avec une carte de visite royal ainsi que le deuxième gant avec lequel Emma avait souhaité être enterrée. Cette fin inattendue se présente

le poème livre le récit d'un jeune enfant tué par balle. Ce poème est un des plus célèbres des Châtiments, réputé pour sa puissance pathétique et son ironie qui frôle le cynisme. Cet épisode toucha particulièrement Hugo car il participa à la veillée funèbre le 4 décembre 1851. Le  « nous » employé est donc autobiographique. De cet événement tragique, il a fait d'abord un récit Histoire d'un crime, IV,1, avant de le réécrire en vers. Hugo a composé ce poème à Jersey, le 2 décembre 1852, le jour où

 contraste  le  sort  des  Numance,  coloré  la   ruine  et  la  mort,  malgré  leur  générosité,  avec  la  fraîcheur  de  Thérèse  malgré  ses  aveux  lors  d'une  veillée   funèbre.  Nous  pouvons  aussi  reprendre  l'exemple,  issu  de  Macbeth,  de  l'assassinat  de  Lady  Macduff  et   de  ses  enfants  :  voyant  sa  fatalité  approcher,  elle

n'avait plus les moyens de la gerder chez elle. Il a une entrevue avec le directeur, se rend à la morgue, où il refuse de voir le corps de sa mère, a une conversation avec le concierge, accepte une tasse de café au lait et fume. Il participe à la veillée funèbre en compagnie des vieillards. Le lendemain matin, le cortège se met en route vers le cimetière sous un soleil de plomb. Meursault fait la connaissance de Thomas Pérez, l’ami de sa mère. Après la cérémonie à l’église puis l’enterrement au cimetière

Le roman met en scène un personnage-narrateur, Meursault, vivant en Algérie française. Le protagoniste reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir. Il se rend à l’asile de vieillards de Marengo près d’Alger et assiste à la veillée funèbre, puis à la mise en bière et aux funérailles sans prendre l’attitude de circonstance que l’on attend d’un fils endeuillé. Le héros ne pleure pas, ne veut pas simuler un chagrin qu'il ne ressent pas. Après l'enterrement, Meursault décide d'aller

à ft symbolique. - vision poétique et presque fantastique de l'autodafé des livres p 219, où l'on a l'impression de voir brûler les persges des romans sacrifiés (Mme Bovary fumant au lit avec son jeune amant à Rouen) + le violon qui joue un chant funèbre… tte la p 220 est très poétique. Le feu et le violon st la métaphore de la mort de l'amour entre la PT et Luo, et de la souffrance de ce dernier. 21. Qu'est-ce qui, dans ce roman, vous semble être une admirable leçon d'espoir en la vie, malgré

souligne le comportement libertin et les intentions lubriques du personnage auprès des femmes, comprend que certains mots ont ici un double sens: «un homme qui ne se ménage point» (l.17) peut faire allusion aux efforts spirituels du personnage (ses veillées de prière, ses retraites, etc.) mais également à ses ébats sexuels. Le terme « édifié » (l. 24) est tout aussi ambigu: il renvoie à l’exemplarité morale apparente du personnage (il offre un modèle de piété aux autres, son comportement est édifiant)

laveuses de linge […] parfois des comtesses impertinentes, des actrices admirées », la diversité de sa personnalité est bien soulignée. Joséphine, « femme de chambre » (p.119) de Madame Jules. Elle est assez proche d’elle, et assistera à la veillée funèbre le jour de la mort de sa maîtresse. Comme avec la description du mendiant, Balzac part du général pour arriver au cas particulier. Ainsi il explique que « portier concierge […] est toujours conforme au quartier dont il fait partie » (p.166)

l’habille. On étend ensuite le corps sur un canapé-lit du salon. Près de celui-ci on allume une lampe à huile et des bougies. On y dépose un plateau contenant de la cendre, de l’argent et du camphre et un vase rempli d’eau safranée. Ensuite a lieu la veillée : les femmes veillent à l’intérieur près du mort. Parfois l’épouse fait le "oparli" c’est-à-dire qu’elle parle en pleurant en racontant la vie du mort. A l’extérieur on a dressé des bancs et tréteaux où les hommes jouent aux cartes et aux dominos

Le roman met en scène un personnage-narrateur, Meursault, vivant en Algérie française. Le protagoniste reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir. Il se rend à l’asile de vieillards de marengo près d’Alger, et assiste à la veillée funèbre, et aux funérailles sans prendre l’attitude de circonstance que l’on attend d’un fils endeuillé. Le héros ne pleure pas, ne veut pas simuler un chagrin qu'il ne ressent pas. Après l'enterrement, Meursault décide d'aller nager, et rencontre Marie