Veine jugulaire

du  pancréas)  depuis  quelques  heures,  on  « installe »  un  pancréas  en  le  raccordant  à  la  circulation  sanguine  de  la  région  du  cou  (l’artère  pancréatique  reçoit  le  sang  de  l’artère  carotide  et   la  veine  pancréatique « se jette » dans la veine jugulaire).      Chez  un  chien  ainsi opéré, des prélèvements sanguins répétés permettent de suivre l’évolution  de la glycémie pendant toute la durée de l’expérience.  Après quelques heures, le pancréas est « débranché ».     

nous allons nous intéresser a son rôle dans la détoxification de l’organisme via filtration du sang et excrétion par l’urine, de plus cela gère aussi l’homéostasie. Pour pouvoir observer cela, nous allons effectuer une pose de cathéter dans la veine jugulaire, afin d’injecter en intraveineuse différente solution (NaCl, urée, mannitol,). Grâce a cela on va constater une variation de la de la diurèse (volume d’urine ou aussi débit urinaire). De cette façon nous pouvons mieux comprendre les différents

l’organisme, et d’en évacuer les déchets (du métabolisme par exemple).  II. Principe des manipulations  On utilisera des techniques opératoires : le cathétérisme de la veine jugulaire et de l’artère carotide.   Après la pose des cathéters, on injecte une solution d’héparine à 1% (anticoagulant) par la jugulaire  pour, d’une part éviter la formation de caillots, et d’autre part pour l’analyse du sang : en effet il est  nécessaire que le sang ne coagule pas pour réaliser les mesures. 

émis en 24h) osmotiques chez le rat par injection de diverses substances telles que une solution saline (NaCl 2,5%) d’une part, et une solution de mannitol (10%) d’autre part. Toutes ces injections se font dans le liquide plasmatique via la veine jugulaire où la solution inoculée pourra se mélanger rapidement avec le sang circulant . Ces effets seront comparés à la diurèse du rat dans les conditions normales à travers une première expérience qui nous servira de témoin. Ces substances peuvent

le volume sanguin total est d'environ 10mL, on devrait trouver pour notre rat un total de sang circulant un volume de 20 mL. III) Matériel et méthode : Lors de ce TP, on utilise des techniques opératoires qui sont le cathétérisme de la veine jugulaire et de l’artère carotide. Tout d'abord, on anesthésie les rats avec une solution à base d' « Acépromazine + Xylazine + Kétamine ». Une fois l'anesthésie complète, on pèse le rat (ici m= 216,2g), puis on le positionne sur le dos sur une planche

l’aponévrose profonde pré-rachidienne pour laisser place à un espace rétro pharyngien. Latéralement, on va retrouver par rapport aux lobes de la thyroïde, les artères carotidiennes et les veines jugulaires d’accompagnement, également dans une gaine profonde reliée à la précédente. Entre la carotide et jugulaire = 10ème paire de nerfs crâniens : nerfs vague car au niveau cervical. Les nerfs qui innervent les cordes vocales, sont les nerfs laryngés inférieurs, sont eux déjà latéraux par rapport à l’œsophage

diabétiques. Dans ce TP, nous analyserons les effets de plusieurs substances injectées par intraveineuse sur la diurèse d’un rat de 300g. II – Matériel et méthodes. Sur un rat préalablement anesthésie, nous mettons en place un cathéter dans la veine jugulaire ainsi qu’un autre dans la vessie. Nous compterons le nombre de gouttes d’urines fabriquées au cours du temps, après injection de produits tel que du NaCl a 9‰, une solution de glucose à 30%, et de l’ADH (vasopressine). III – Résultats et interprétations

niveau des mb inférieurs cause la + fréquente : post op de chir ortho, le plus souvent au niveau du mb opéré risque maximal les 2premières semaines post op mais persiste pendant 3mois physiopathologie : obstruction plus ou moins complète d'une veine profonde par un thrombus -triade de Virchow : stase veineuse : immobilisation prolongée, paralysie lésion de la paroi veineuse : ponction, cathéter... hypercoagulabilité : période post-op, inflammation, grossesse, post-partum -thrombus mixte :

Lorsque l'animal baisse la tête au sol, les valvules de la jugulaire sont fonctionnelles et empêchent le sang de retomber vers le cerveau (ce qui conduirait à un « voile rouge »). La veine jugulaire de la girafe est la plus longue et la plus droite du monde animal et possède 9 valvules. En 1993, à Vincennes, son endoscopie confirma que les constituants anatomiques d'une veine sont orientés en fonction de son axe d'aplatissement et donc qu'une veine a bien deux faces et deux bords. En bas des jambes où

les artères hypophysaires supérieures soit directement vers l’adénohypophyse soit par des artérioles de la tige pituitaire Par l’artère hypophysaire inférieure vers la posthypophyse Le sang veineux repart par les veines hypophysaires vers la veine jugulaire interne. Hormones de la posthypophyse : L’ocytocine et l’ADH sont synthétisées par l’hypothalamus puis acheminées le long des axones des cellules nerveuses jusqu’à la neurohypophyse. ADH (hormone antidiurétique) agit au niveau du tube rénal