Venez Voir Le Sang Dans Les Rues

FILLE Tu penses ! C’est le jour de son mariage. TROISIÈME PETITE FILLE Le voilà, monsieur, votre d’Agamemnon ! L’ÉTRANGER Curieuse façade !... Elle est d’aplomb ? palais 8 PREMIÈRE PETITE FILLE Non. Le côté droit n’existe pas. On croit le voir, mais c’est un mirage. C’est comme le jardinier qui vient là, qui veut vous parler. Il ne vient pas. Il ne va pas pouvoir dire un mot. DEUXIÈME PETITE FILLE Ou il va braire. Ou miauler. LE JARDINIER La façade est bien d’aplomb, étranger ; n’écoutez

Elle étudiait aux Beaux Arts de Nancy. * Vous savez c’était sa combientième année, lui demandai-je * Deuxième année mais je ne suis pas sûre. Tout le monde l’aimait beaucoup et elle n’avait d’ennuis avec personne. Ses parents venaient la voir de temps à autre lorsqu’ils avaient le temps je pense. Tous les deux habitent sur Paris. Je ne sais pas leur métier, on entend dire qu’ils ont des places très hautes placées au Ministère des Finances. * Ensuite ? * Manuéla revenait le soir

disparaît dans la salle de bains. Marie se précipite devant un miroir pour retoucher rapidement sa coiffure. Marie (fort) : il vous manque quelque chose ? Walter : venez avec moi sous l’eau. Marie : je n’ai jamais aimé ça (Curieuse, elle regarde vers la salle de bains) Marie : en revanche, j’ai très envie de vous voir vous laver. Walter off (sous le jet d’eau) :… je ne préfère pas, j’ai une érection et je crains d’avoir l’air ridicule… P176 Si elle savait que son parfum me vrille les

avait dû se lancer avec ardeur sur une nouvelle affaire. Je sonnai, et je fus conduit à l’appartement que j’avais jadis partagé avec lui. Il ne me prodigua pas d’effusions. Les effusions n’étaient pas son fort. Mais il fut content, je crois, de me voir. A peine me dit-il un mot. Toutefois son regard bienveillant m’indiqua un fauteuil ; il me tendit un étui à cigares ; son doigt me désigna une cave à liqueurs et une bouteille d’eau gazeuse dans un coin. Puis il se tint debout devant le feu et me contempla

psychologue pour la fillette, mais même le spécialiste ne réussis pas à faire parler Estelle. Puis surgis des évènements étranges. Estelle, était seule recroquevillée sur elle-même. Elle regardait les murs les jambes croisées. Une infirmière a même cru voir Estelle parler au mur. Elle ne sortait plus, elle avait perdu 4 kilos. Des enfants tombaient malades. Le médecin ne put diagnostiquer la maladie. Deux enfants sont décédés. Monsieur Pennington était très inquiet. Une épidémie s’était abattue sur l’orphelinat

PETITE FILLE. – Tu penses ! C’est le jour de son mariage. TROISIÈME PETITE FILLE. – Le voilà, monsieur, votre palais d’Agamemnon ! L’ÉTRANGER. – Curieuse façade !… Elle est d’aplomb ? PREMIÈRE PETITE FILLE. – Non. Le côté droit n’existe pas. On croit le voir, mais c’est un mirage. C’est comme le jardinier qui vient là, qui veut vous parler. Il ne vient pas. Il ne va pas pouvoir dire un mot. DEUXIÈME PETITE FILLE. – Ou il va braire. Ou miauler. LE JARDINIER. – La façade est bien d’aplomb, étranger ; n’écoutez

PETITE FILLE. – Tu penses ! C’est le jour de son mariage. TROISIÈME PETITE FILLE. – Le voilà, monsieur, votre palais d’Agamemnon ! L’ÉTRANGER. – Curieuse façade !… Elle est d’aplomb ? PREMIÈRE PETITE FILLE. – Non. Le côté droit n’existe pas. On croit le voir, mais c’est un mirage. C’est comme le jardinier qui vient là, qui veut vous parler. Il ne vient pas. Il ne va pas pouvoir dire un mot. DEUXIÈME PETITE FILLE. – Ou il va braire. Ou miauler. LE JARDINIER. – La façade est bien d’aplomb, étranger ; n’écoutez

derrière le dos.--Ah! j'espère que dans ce cas-là j'aurai du moins un carrosse drapé de noir.--Non, madame; de plus grandes dames que vous iront comme vous en charrette et les mains liées comme vous.--De plus grandes dames! quoi! les princesses du sang?--De plus grandes dames encore....» Ici, un mouvement très sensible dans toute la compagnie, et la figure du maître se rembrunit. On commençait à trouver que la plaisanterie était forte. Madame de Grammont, pour dissiper le nuage, n'insista pas

goût admirable. Ses bonnes qualités et la faveur du calife attiraient chez lui les fils des émirs et des autres officiers du premier rang ; sa maison était le rendez-vous de toute la noblesse de la cour. Mais, parmi les jeunes seigneurs qui l’allaient voir tous les jours, il y en avait un qu’il considérait plus que tous les autres, et avec lequel il avait contracté une amitié particulière. Ce seigneur s’appelait Aboulhassan Ali Ebn Becar, et tirait son origine d’une ancienne famille royale de Perse.

dans la ville, victorieux. Je pense qu’il aura son mot à dire. Quand il est parti, voilà trois mois, il m’a juré que cette guerre était la dernière. CASSANDRE C’était la dernière. La suivante l’attend. ANDROMAQUE Cela ne te fatigue pas de ne voir et de ne prévoir que l’effroyable ? CASSANDRE Je ne vois rien, Andromaque. Je ne prévois rien. Je tiens seulement compte de deux bêtises, celle des hommes et celle des éléments. ANDROMAQUE Pourquoi la guerre aurait-elle lieu ? Pâris ne tient