Vénus d'Arles

La naissance de Vénus La naissance de Vénus, peint vers les années 1485 est une œuvre de Sandro Botticelli. Pour satisfaire une demande des Médicis et orner leur maison de campagne de Castello. Une œuvre d'une telle beauté se doit d'être décrit et représentée de façon à ce qu'elle soit mise en valeur. Magnifique paysage où le peintre, exposant Vénus dans toute sa splendeur, voulant attirer le regard de tous. Elle si radieuse, son corps légèrement courbé de haut en bas, pour tromper l'œil de

Pierre-François de Medicis, cousin de Laurent le Magnifique, Le Printemps en 14825 et la Naissance de Vénus en 1484, ses deux œuvres les plus connues. Il eut comme élève Filippino Lippi, le fils de son maître, Fra Filippo Lippi. Études de tableaux « La naissance de Vénus » 1485 « La naissance de Vénus » est une allégorie : la Vénus mythologique, dans sa forme anadyomène. Le modèle de la Vénus, Simonetta Vespucci, était la femme de Marco Vespucci et la maîtresse de Julien de Médicis, et considérée

fait un tour au « Taureau rouge » : auberge située dans la lande, de façon à ce que le lecteur soit en constante interrogation. Ce récit est donc prenant du début à la fin et est une découverte ainsi qu’une évasion. On peut élargir ce texte à la Vénus d’Ille de Prosper Mérimée : Le fantastique est amené de la même façon incertaine et encore après la fin de la lecture de ce livre on n’est toujours pas certains de ce qui s’est vraiment produit.

Le corps dans l’art Quoi de plus présent dans l’Art que le corps. Des premières Vénus aux travestis de Philippe Pasqua, l'humanité semble en effet n'avoir cessé de le représenter. Une obsession légitime pour cet ensemble de tissus et de fluides, de poils et de cellules qui, héritage d'une ancestrale animalité, s'avère également être l'écrin de notre singulière conscience, et ne pouvait à ce titre qu'interroger l'homme sur ses origines comme sur sa finalité. La représentation du corps humain

n’aimait pas la peinture et l’enseignement du maître. Il trouvait que tout était faux, les ombres, la lumière… Pour se former il fit de nombreux voyages d’étude aux Pays-Bas, en Allemagne, en Italie et en Espagne. C’est à Florence qu’il copia la Vénus D’Urbin de Titien dont l’Olympia sera une insolente version. Copier les peintures des maîtres anciens était l’une des bases de l’enseignement académique. Manet utilisa par la suite plusieurs fois les œuvres anciennes comme source d’inspiration pour

dans 60 600 m2 de salles. Les œuvres du musée sont de nature variée : peintures, sculptures, dessins, céramiques, objets archéologiques et objets d'art entre autres. Parmi les pièces les plus célèbres du musée se trouvent le Code d'Hammurabi, la Vénus de Milo, La Joconde de Léonard de Vinci, et La Liberté guidant le peuple d'Eugène Delacroix (œuvre transférée au Louvre-Lensen 2012). Le Louvre est le musée le plus visité au monde, avec 8,5 millions de visiteurs en 2010. À Paris, plusieurs musées

demande des artistes, les œuvres rejetées au Salon officiel, que le Déjeuner sur l’herbe suscite de vives critiques de la part d’un public, notamment l’Impératrice, offusqué devant cette jeune femme nue. Pourtant cette même année, La Naissance de Vénus de Cabanel, à l’attitude bien plus langoureuse, lascive connait, elle, un immense succès (Napoléon l’achète). Le fait est que la représentation en est idéalisée, alors que Manet, lui, transpose son sujet dans la réalité. Les spectateurs de l’époque

développe un art particulièrement expressif : goût pour le mouvement ; attention portée au rendu de l’émotion ; mode du drapé mouillé; faste et décoration des palais via la peinture et la mosaïque; culte des dirigeants à travers l’art du portrait. La vénus de MILO 130-100 av. J.-C La statue représente une femme plus grande que nature (hauteur sans la plinthe : 2,04 mètres), debout, en appui sur la jambe droite et la jambe gauche légèrement fléchie, le pied (disparu) dépassant de la plinthe. Le

mercredi 10 novembre à 20h par Alain PASQUIER, conservateur général honoraire, musée du Louvre De la Vénus de Milo à celle de Saint-Romain-en-Gal, la déesse de l’amour fut un champ d’expérimentation et un modèle très prisé des sculpteurs gréco-romains. Alain Pasquier reviendra sur les plus belles représentations de la déesse dans la statuaire antique. jeudi 2 décembre à 20h VÉNUS par François-René MARTIN, École nationale des Beaux-Arts de Paris DANS L’ HISTOIRE DE L’ ART La déesse

DOSSIER ILLUSTRÉ: LA VÉNUS D'ILLE PROSPER MÉRIMÉE(1803-1870) Prosper Mérimée est né à Paris, en 1803. Son père et sa mère sont des peintres de talent et font partie de la bourgeoisie. Jeune, il fait des études de droit et est adepte des salons littéraires où il fréquente les grands écrivains de son époque, tel Hugo ou Stendhal qui vont fortement l'inspirer. Des ses débuts, il va révolutionner le monde de l’écriture en écrivant d'abord “Le théâtre de Clara Gazul” en 1825. Prosper affectionne le mysticisme