Veolia Traitement Des Eaux

L’impact des actions de communication engagées par Redal sur le Grand Public 1 Remerciements Avant d’entamer ce rapport, nous tenons vivement à remercier toute personne qui a participé directement ou indirectement à la préparation de ce projet. Pour cela, nous tenons à exprimer notre profonde reconnaissance à notre Professeur et encadrant Monsieur ZERRAD Jaouad pour son encadrement, son orientation et son aide inestimable, et sans lesquels ce projet n’aurait pas pu voir le jour. Nous adressons

bulles. Traitement biologique La pollution dissoute dans l’eau est assimilée en présence d’oxygène par des micro-organismes. L’association bactéries et pollution forme des flocs marron clair appelés « boues ». - Le bassin d’anoxie de 600 m3 traite la pollution azotée. - Le bassin d’aération de 1700 m3 traite la pollution carbonée. Deux turbines de 37 KW régulées par sonde d’oxygène apportent l’oxygène nécessaire au développement des bactéries. Clarificateur Les boues produites par le traitement biologiques

Les principaux acteurs mondiaux 1. Lyonnaise des eaux (Groupe Suez Environnement) Avec un chiffre d’affaires de 14,8 milliards d’euros et environ 80 410 salariés au 31 décembre 2011, le Groupe SUEZ ENVIRONNEMENT est un acteur de référence dans le monde sur le marché de l’environnement (l’eau et les déchets). Le Groupe est présent sur l’ensemble des cycles de l’eau et des déchets, ce qui lui en assure la maîtrise. Il exerce son activité aussi bien pour le compte de collectivités publiques

situation où les disponibilités moyennes en eau sont inférieures à 2 000 m » par an. Des ressources mal réparties dans l’espace et dans le temps Les régions arides ne recoivent que 6% des précipitations et il ne s’y forme que 2% des écoulements des eaux de surface de la planète. Les régions tempérées humides et une grande partie des terres des basses latitudes se partagent la quasi-totalité de l’écoulement. La disponibilité régionale est aussi fonction des pluies et de la chaleur. Ainsi sont favorisées

de mettre en pratique les connaissances que j’ai acquises durant mon cursus scolaire. Ainsi, j’ai effectué mes deux stages au siège social de la Sade C.G.T.H (Compagnie Générale de Travaux Hydrauliques), une société anonyme, filiale de Veolia Environnement qui est spécialisée dans les travaux hydrauliques. Mon stage s’est déroulé en huit semaines. Partager en deux périodes la première du 1 Octobre au 26 Octobre 2012, et la seconde … Enfin, je présenterai dans une première

ósmosis inversa, medio ambiente 2 TABLE DES MATIERES Introduction _______________________________________________________________________ 4 Généralités sur le dessalement ______________________________________________________________4 Les eaux saumâtres _______________________________________________________________________4 L’eau de mer ____________________________________________________________________________4 Marché du dessalement ______________________________________________________________

1 % de croissance par an, contre 1,8 % au niveau national entre 1997 et 2003. Néanmoins, ces « éco-activités » relèvent majoritairement de technologies dites « end-of-pipe », c’est-à-dire réparatrices des activités polluantes (déchets, récupération, eaux usées, réhabilitation des sols…). La croissance de ce secteur est donc plutôt révélatrice d’une augmentation des nuisances que d’une transformation en amont de l’économie. Le secteur énergétique Le rapport MITRE de 2004 compare les impacts environnementaux

en France seulement 48%. Dans les pays développés, le pourcentage de l’industrie est de + de 20% (ex : E.U +45% ; Allemagne +70%). Chaque année en France on prélève 36milliards de m3 d’eau dont 18% viennent des eau souterraines. Et 82% viennent des eaux superficielles (=rivières, fleuves, lacs). 6milliards de m3 ne sont pas restitués. 34milliards de m3 sont restitués. 1) Une agriculture assoiffée d’eau. Pour produire 1kg de viande boeuf > 15.500 L d’eau. Pour produire 1kg de poulet > 3.900

les pollutions accidentelles, mais aussi les rejets domestiques chinois dans les fleuves, liés à la croissance exponentielle du Xinjiang. Une inquiétude que même les améliorations qu’apportera le groupe Veolia, qui a signé en 2005 un contrat pour moderniser et exploiter une usine de traitement des eaux en Urumqi, ne pourront véritablement apaiser. A travers la construction d’ouvrages titanesques pour répondre à son manque d’eau, comme le projet PAESN pour réalimenter le fleuve jaune

de régions et de culture sur la question de la gestion de l'eau car chaque bassin hydrographique est différent (composition de l'eau, localisation des différents fleuves...). Ce sont avant tout certains préfets qui ont les «clés» de la gestion des eaux surtout depuis la loi de 1992 puis celle de 2010 où celui-ci a non seulement plus de pouvoirs mais aussi plus de moyens pour contrôler la qualité et intervenir en cas de problèmes. Par exemple le contrôle des crues, garantir l'alimentation en eau potable