Verdun 843

Nicolas de Verdun ; L’Ambon de Klosterneuburg Nicolas de Verdun ; L’Ambon de Klosterneuburg Table des matières : I. Introduction p.3 II. Nicolas de Verdun p.3 III. L’œuvre p.4 A. Son histoire p.4 B. Description générale p.5 C. Programme p.6 D. Technique, Style & Iconographie p.7 IV. Sens théologique p.11 V. Conclusion p.12 VI. Bibliographie

Verdun 1- Présentation: Artiste: Félix Vallaton (1865-1925) Félix Edouard Vallotton est né le 28 décembre 1865 à Lausanne. En 1882, Félix part pour apprendre la peinture. Il passe le concours d'entrée à l' École des Beaux Arts où il est reçut dans les premiers, en Mars 1883. Il se passionne d'abord pour les portraits puis, il retourne en Suisse, en particulier dans le pays de Vaud où il peint des paysages. Félix est également l'auteur pendant la Première Guerre

Bataille de Verdun : C'est le 21 février 1916 que débute l'une des batailles les plus sanglantes que l'histoire ai jamais connue. Les conditions dans lesquelles se sont déroulés les combats sont horribles, dès le 1 jour un million d'obus sont tombés, ont se bat dans un paysage dévasté ou les arbres ne sont plus que des troncs noircis par la fumée des obus, le champs de bataille est un vaste charnier, les blessé sont souvent condamnés à rester dans la boue sur place. Certains d'entre eux meurent

La bataille de Verdun fut une bataille de la Première Guerre mondiale qui eut lieu du 21 février au 19 décembre 1916 près de Verdun en France, opposant les armées françaises et allemandes. Conçue par le général von Falkenhayn, commandant en chef de l'armée allemande, d'après la version qu'il en donna dans ses mémoires, comme une bataille d'attrition pour « saigner à blanc l'armée française »3 sous un déluge d'obus dans un rapport de pertes de un pour deux, elle se révélera en fait presque aussi coûteuse

La mémoire de la Grande Guerre à Verdun Aujourd'hui, la notion de devoir de mémoire est devenue le thème dominant des discours officiels repris abondamment par la presse... Des historiens de renom tels Philippe Joutard, Jean-Pierre Rioux... réagissent à ce discours dominant et répliquent en insistant sur la nécessaire prééminence du devoir d'histoire. Avant de réfléchir sur les rapports dialectiques entre histoire et mémoire, il est sans doute important de bien distinguer la mémoire - toujours porteuse

L’enfer de Verdun 1. Le déroulement de la bataille Le lundi 21 février 1916 vers 7 heures, un obus de 380 explose dans la cour du palais épiscopal de Verdun. Ces obus ravage la zone, les allemands profitent de ce carnage pour passer à l’assaut sur les lignes françaises. Certain soldat possèdent un lance flamme. Les poilus résistent à la première attaque, la riposte est organisé par Philippe Pétain (Qui sera plus tard Maréchal).Les allemands vont continuer leurs attaques pendant plusieurs mois

», rappelle la résistance victorieuse des soldats français. -analyse de l’œuvre : Description de la bataille de Verdun : La bataille de Verdun a lieu en 1916, Verdun se situe alors sur le front à l'est de la France, les armées françaises et allemandes vont s'y livrer bataille pendant 300 jours. Ce monument évoquent de manière différente ce qu'a été la bataille de Verdun, c'est à dire une bataille Ces pays sont en guerre depuis début août 1914. Deux camps et leurs alliés respectifs s'affrontent

l'Ordinatio Imperii que naîtront les premiers désordres du règne de Louis le Pieux avec par exemple la révolte de son neveu Bernard ou encore les prétentions de la nouvelle femme de Louis 1er pour leur enfant Charles le chauve, qui mèneront au traité de Verdun en 843.[pic][pic]

lui reprochait d’avoir été responsable d la rupture de la paix et donc d’avoir manqué à sa mission royale, il fut rétabli dans sa fonction en 844 mais le pouvoir royal s’en trouva affaibli. Ces difficultés de succession conduisent au Traité de Verdun de 843 qui partage l’Empire en trois Etats: Charles le Chauve reçoit la Francie Occidentalis, Lothaire la Francie Médiane et Louis le Germanique la Francie Orientalis. L’étendue de l’empire contribue également à l’affaiblissement du pouvoir impérial

sous tutelle germanique en 925 (cf : traité de Verdun : Charlemagne partage son royaume en 3). Ce « regnum » de Lothaire éprouve les pires difficultés au 10e a conserver son autonomie. Tantôt ils vont chercher des protecteurs chez les germaniques, tantôt chez les francs. Aristocratie interne à la Lotharingie qui est tentée de basculer du côté germ ou franc. C’est l’épiscopat (évêchés importants) qui solidifient la Lotharingie (surtout Metz et Verdun). Relais en Francie (familiaux : branches