Vergue

(treizième édition, 1879) 8 De carrefour en carrefour, de rue en rue, Tiburce finit par aboutir sur le quai de l’Escaut par la porte du Port. Ce spectacle magnifique lui arracha un cri de surprise : une quantité innombrable de mâts, d’agrès et de vergues simulait sur le fleuve une forêt dépouillée de feuilles et réduite au simple squelette. Les guibres et les antennes s’appuyaient familièrement sur le parapet du quai comme des chevaux qui reposent leur tête sur le col de leur voisin d’attelage ; il

une grotte avide J'aime Vos yeux Les degrés sont glissants Au loin que vous devenez naines N'attirez plus aucun passant Dans l'attentive et bien-apprise J'ai vu feuilloler nos forêts Mer le soleil se gargarise Où les matelots désiraient Que vergues et mâts reverdissent Je descends et le firmament S'est changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment Oiseaux tiriez aux mers la langue Le soleil d'hier m'a rejoint

Dans une grotte avide J'aime Vos yeux Les degrés sont glissants Au loin que vous devenez naines N'attirez plus aucun passant Dans l'attentive et bien-apprise J'ai vu feuilloler nos forêts Mer le soleil se gargarise Où les matelots désiraient Que vergues et mâts reverdissent Je descends et le firmament S'est changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment Oiseaux tiriez aux mers la langue Le soleil d'hier m'a rejoint Les otelles

yeux Les degrés sont glissants Au loin que vous devenez naines N'attirez plus aucun passant LUL DE FALTENIN 56 Alcools Dans l'attentive et bien-apprise J'ai vu feuilloler nos forêts Mer le soleil se gargarise Où les matelots désiraient Que vergues et mâts reverdissent Je descends et le firmament S'est changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment Oiseaux tiriez aux mers la langue Le soleil d'hier m'a rejoint Les otelles

me regarda d'un air de défi, et me tendant le poing, me cria en bon français : — Capitaine Marius Gougourdan, commandant le trois-mâts La Bonke-Mère, du port de Mai'seille, au revoir et bien du plaisir, en attendant qu'on te pende à la grande vergue, toi et ton équipage ! • Il y avait là quatre ou cinq de mes matelots. Je LE MATELOT ÉCOSSAIS 33 les vis pâlir, serrer les dents. Ils poussèrent une espèce de hurlement sourd, et saisissant l'amarre : — Hôôôô hiss ! Hôôôô hiss ! Hôôôô

une grotte avide J'aime Vos yeux Les degrés sont glissants Au loin que vous devenez naines N'attirez plus aucun passant Dans l'attentive et bien-apprise J'ai vu feuilloler nos forêts Mer le soleil se gargarise Où les matelots désiraient Que vergues et mâts reverdissent Je descends et le firmament S'est changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment Oiseaux tiriez aux mers la langue Le soleil d'hier m'a rejoint

une grotte avide J’aime Vos yeux Les degrés sont glissants Au loin que vous devenez naines N’attirez plus aucun passant 50 Dans l’attentive et bien-apprise J’ai vu feuilloler nos forêts Mer le soleil se gargarise Où les matelots désiraient Que vergues et mâts reverdissent Je descends et le firmament S’est changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment Oiseaux tiriez aux mers la langue Le soleil d’hier m’a rejoint Les otelles

Le sexe des passions et des vertus : anthropologie culturelle, méta-fiction et rhétorique dans le roman d’Achille TatiusCollection de la Maison de l'Orient méditerranéen ancien. Série littéraire et philosophique Le sexe des passions et des vertus : anthropologie culturelle, méta-fiction et rhétorique dans le roman d’Achille Tatius Michel Briand Citer ce document / Cite this document : Briand Michel. Le sexe des passions et des vertus : anthropologie culturelle, méta-fiction et rhétorique dans le

grotte avide J'aime Vos yeux Les degrés sont glissants Au loin que vous devenez naines N'attirez plus aucun passant Dans l'attentive et bien-apprise J'ai vu feuilloler nos forêts Mer le soleil se gargarise Où les matelots désiraient - 60 - Que vergues et mâts reverdissent Je descends et le firmament S'est changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment Oiseaux tiriez aux mers la langue Le soleil d'hier m'a rejoint Les otelles

une grotte avide J’aime Vos yeux Les degrés sont glissants Au loin que vous devenez naines N’attirez plus aucun passant Dans l’attentive et bien-apprise J’ai vu feuilloler nos forêts Mer le soleil se gargarise Où les matelots désiraient Que vergues et mâts reverdissent Je descends et le firmament S’est changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment Oiseaux tiriez aux mers la langue Le soleil d’hier m’a rejoint