Verlaine Et Baudelaire

mais d'évoquer ». Le symbolisme touche une forme sensible. Ce mouvement apparaît pour la première fois dans la publication de Paul Verlaine (« Art poétique ») en 1882 et s'étend jusqu'à la fin de ce siècle. Les plus grands noms de ce mouvement sont : Paul Verlaine, Arthur Rimbaud ainsi que Stéphane Mallarmé. Biographie de ces trois poètes : • Charles Baudelaire est né en 1821 à Paris, et est mort en 1867. A l'âge de six ans il perd son père. Il fait des études à Lyon, puis au lycée Louis

à Bruxelles, Douai et rentre à Charleville en novembre. En 1871, il rencontre Verlaine et participe aux réunions parisiennes du « Cercle Zutique. En mars, Rimbaud repart dans les Ardennes et revient à Paris en mai à la demande de Verlaine. Ils partent tous deux à Bruxelles, puis, en septembre, à Londres. Verlaine et Rimbaud regagnent Londres mais connaissent de nombreuses querelles et ruptures. En Belgique, Verlaine tire même deux coups de feu sur son ami et est condamné par la justice belge à deux

Les Fleurs du Mal (1857-1861-1868) Baudelaire (cf fiche biographique) Titre : oxymorique ; Fleurs= beauté, esthétisme. L’objectif de Baudelaire est de convertir la souffrance quelle quelle soit en un bel objet. Fonction cathartique. Ouvrage composé de 6 sections : * Spleen et idéal (le poète lutte entre ces deux extrême et tente d’éviter de tomber dans le Spleen) * Tableaux Parisiens (portrait de la ville de Paris) * Le vin (paradis artificiels) * Les fleurs de Mal

suggère et retrouve l'unité originelle du monde en tissant des liens entre le visible et l'invisible, au moyen de symboles qui font de la nature un réseau de « correspondance » (Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Correspondance »), et en faisant du paysage un miroir de l'intériorité du poète. → la musique y est essentielle (Verlaine, L'Art poétique : « De la musique avant toute chose... ») et le vers, libéré, épouse le rythme de la pensée en privilégiant harmonie et sensations. → la poésie dépasse la notion

de Guillaume Appolinaire Page 5 & 6 : "L’Horloge" de Charles Baudelaire Page 7 & 8 : "Le Lac" de Alphonse de Lamartine Page 9 & 10 : "Le Ballet des heures" de Gérard de Nerval Page 11 & 12 : "Assied toi sur le bord" de Jean Baptiste Chassignet Page 13 & 14 : "Soleils Couchants" de Victor Hugo Page 15 & 16 : "Chansons d'automne" de Paul Verlaine Page 17 & 18 : "L'Ennemi" de Charles Baudelaire Page 19 & 20 : "Le Temps..." d'André Laugier Page 21 à 24 : Biographie

on travaille les métaux en feu Plan de commentaire composé Introduction Le poème " Charleroi " emprunte son titre au nom d'une ville belge, située dans une région minière et industrielle. Parmi les champs et les usines, un train emmenant Verlaine et Rimbaud roule à toute allure. Au rythme haletant de sa course le poème se présente comme une succession rapide et discontinue d'impressions jetées à la face du voyageur. Dans ce chaos de sensations brutales et d'impressions fulgurantes le voyageur

réplique aux déclaration de Lamartine qui avait prétendu avec les romantiques faire « descendre la poésie du Parnasse », c'est-à-dire la remettre en contact direct des émotions de l’individu et des enjeu de l’Histoire. Quelques modernes (comme Baudelaire ou Mallarmé) se laissèrent un moment tenter par cette démarche qui trouvait également des encouragements du côté des théories réalistes et positivistes de l’époque. Mais le gros de la troupe parnassienne se compta parmi les amis de Leconte de Lisles

mélancolie, nature reflète les sentiments, fuite du temps, mal du siècle, mal des passions. * Poésie en prose par Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit. * Rimbaud et Verlaine prennent des libertés. Rimbaud se dit voyant. * Le Parnasse avec Heredia. Esthétique et beauté. L’art pour l’art. * Le symbolisme avec Baudelaire. * 20ème, poésie reflète le monde moderne. * Apollinaire, vers libres, suppression ponctuation, parle de la ville. Emile Verhaeren fait de même. * Surréalisme (rêve

française. Ce texte est un poème en prose, intitulé l'Éclair, extrait d'une Saison en enfer, écrit en 1873, à la suite de sa dispute avec Verlaine, dispute qui amena ce dernier à tirer sur son ami. Dans un premier temps, nous nous pencherons sur la question de la lumière, puis dans un deuxième temps, nous étudierons les sens issus des correspondances de Baudelaire contenus dans ce texte. 1ère partie La lumière est une des composantes majeures du poème. L'éclair est un phénomène lumineux qui

jaunes qui paraît en 1873. Son auteur, Tristan Corbière est un symboliste français et fait partie des Poètes maudits de Verlaine : il était mal aimé, laid,DIFFORME   et avait beaucoup de problèmes de santé (rhumatismes artiAu milieu du XIXème siècle, quand Baudelaire fait son apparition, deux grands mouvements sont présents dans poésie : le Romantisme et le Parnasse.  Baudelaire se situe donc dans une génération « reliant » des auteurs comme Hugo (1802-1885), l’un des plus grands écrivains romantique