Victor Hugo Aux Arbre

"La statistique est la première des sciences inexactes." [ Edmond et Jules de Goncourt ] "La curiosité mène à tout : parfois à écouter aux portes, parfois à découvrir l'Amérique." [ J. M. Eca de Queiros ] "Le chien a son sourire dans sa queue." [ Victor Hugo ] "Je travaille à être heureux : c'est le plus beau des métiers." [ Roland de Lassus ] "Un savant est un homme qui sait beaucoup de choses qu'il faudrait connaître mieux que lui pour savoir s'il n'est pas une âne." [ Hector Talvart ] "Je n'aimerais

lyrique: c'est ce que l'on définit par l'expression des sentiments personnels à valeur universelle: "Hélas! Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez- vous pas? Ah! Insensé qui crois que je ne suis pas toi.", avertit Victor Hugo dans la préface des Contemplations. Le "je" transparaît alors par des images, et par les visions des Surréalistes: forces du rêve et de l'inconscient qui se libère par le poème. C'est ainsi que le poète et la poésie nous révèlent à nous même: "Hypocrite

manifeste d'être cet arbre de gestes qui, un instant, ralentit les allures célestes pour y placer sa vie. » (Qu’il est doux parfois - Rainer Maria Rilke) Illustration : Rainer Maria Rilke, né René Karl Wilhelm Johann Josef Maria Rilke, est un écrivain autrichien, né le 4 décembre 1875 à Prague, mort le 30 décembre 1926 à Montreux, en Suisse. Il vécut à Veyras de 1921 à sa mort. J’ai choisi ce poème qui est très basique, l’auteur a voulu exprimer sa foi/son amour envers un arbre. Mais dans ce

auteurs préférés sont Anthony Horowitz car j'ai lue de nombreux livres de lui étant petite et Emile Zola par sa réputation qui a fait des histoires très bonnes mais compliquées c'est pourquoi je n'en ait pas encore lu. 10- Mes poètes favoris sont Victor Hugo et Jaques Prévert car ce sont des auteurs dont j'ai appris leurs poèmes en premiers étant petites. 11- Mes héros préférés sont Spider Man et Peter Pan car ils représentent toute mon enfance. 12- Je n'ai pas vraiment d'héroïnes favorites alors

d’avant-garde , se méfiant de toute étiquette et conscient que , une fois acceptée, l’avant –garde n’en est plus une. Néanmoins, il s’agit de débarrasser le théâtre de ses carcans et de ses conventions ( on peut songer à la révolution romantique avec Victor Hugo notamment ), et d’en faire un espace d’absolue liberté. Ionesco rejette la tradition réaliste et la théorie aristotélicienne ( de Aristote) de la « mimesis ».Il revendique un théâtre qui ne soit ni divertissant, ni complaisant à l’égard du public

et roula sur le plancher, la fourchette et le couteau dans le dos, jusqu’à la pauvre fille. L’allumette s’éteignit : elle n’avait devant elle que le mur épais et froid. En voilà une troisième allumée. Aussitôt elle se vit assise sous un magnifique arbre de Noël ; il était plus riche et plus grand encore que celui qu’elle avait vu, à la Noël dernière, à travers la porte vitrée, chez le riche marchand. Mille chandelles brûlaient sur les branches vertes, et des images de toutes couleurs, comme celles

L’AME ; FICTION OU REALITE ? « L’âme », Sun-Cheol Kwun. « Ce n'est pas la chair qui est réel, c'est l'âme. La chair est cendre, l'âme est flamme. », Victor Hugo. Sommaire 1. Revenons-en aux origines… P.3-4 2. De nos jours, diverses religions… P.4-5-6 3. L’âme à travers l’art et la littérature. P.6-7-8 4. Et en psychologie, alors ?

nuit » répétée deux fois (v.1 et 5) est à plus d’un titre l’expression de la passion violente et de l’amour charnel. Cette passion cache sa violence aux regards, elle se réfugie dans « le coin le plus mystérieux du parc » (v.2), « parmi l’ombre d’un arbre » (v.8) comme si elle gardait une sorte de remords. D’ailleurs l’adverbe « malignement », par son étymologie, illustre parfaitement ce paradoxe : au premier degré il signifie « par taquinerie piquante et légère », mais il possède aussi le sens profond

sur l'onde avec des rames. Ce sont des sacs pesants, d'où partent des sanglots. On verrait, en sondant la mer qui les promène, Se mouvoir dans leurs flancs comme une forme humaine... La lune était sereine et jouait sur les flots. Victor Hugo (1802-1885) Ballade à la lune C'était, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune Comme un point sur un i. Lune, quel esprit sombre Promène au bout d'un fil, Dans l'ombre, Ta face et ton profil ? Es-tu l'oeil du ciel borgne

Julos Beaucarne|Parfois on ne sait plus rien 4|Voici venu le froid radieux de septembre 22||| Pierre Béarn|Araignée 6|||| Michel Beau|Devinette 6|||| Henri Bosco|Un berger bricard 22|||| Alain Bosquet|Une graine voyageait 8|Arbre 16||| Bertold Brech|Mon général 8|||| René-Guy Cadou|Avant-Printemps 6|||| Francis Carco|L’averse 10|||| Maurice Carême|Conciliabule 14|Caillou 6|Une poule sur un mur 8|Liberté 8| |Le cheval 8|Mon petit lapin