Victor Hugo Tas De Pierre

Devenu étudiant, il fait, avec son précepteur, Epistémon («le sage» en grec), le tour des universités françaises : Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Valence, Bourges, Poitiers, Orléans, Paris. À Poitiers, pour réjouir les étudiants, il édifie la «Pierre levée» en plaçant une roche sur quatre piliers. À Orléans, il rencontre un «écolier limousin» qui, pour l’éblouir, lui conte la vie des étudiants parisiens en un français écorché de latin, commençant par : «De l'alme, inclyte et célèbre académie

un style très souple (on passe de la comédie noble, à la farce). Ce système des genres est essentiel pour comprendre la représentation intellectuelle que l'on donne des systèmes dramatiques. Ce système est dominant de manière écrasante jusqu'à Victor Hugo. Même si à partir du 18ème siècle il est contesté par un grand nombre de théoriciens. Système qui va être contesté progressivement. On va inventer un genre nouveau, intermédiaire : le drame bourgeois (entre la muse de la comédie et la muse de

Mainiaux ! Puis des cliquetis, sabres contre sabres, et, coup sur coup, d’effroyables décharges tuant tout. La torche accrochée au mur éclairait vaguement toute cette épouvante. Victor Hugo, Quatre-vingt-treize, troisième partie, IV, 9. Relevez trois mots appartenant au champ lexical du bruit. * Comment V. Hugo rend-il son récit vivant ? Quel type de phrase utilise-t-il ? * Relevez trois mots appartenant au champ lexical de l’orage. * Ce texte est un récit ……………………………………. Quels procédés

fois), de (quatre fois), la (deux fois). 2. Le sens de ces mots grammaticaux est très large : un peut signifier une unité (un et pas deux), La non-précision (un quelconque), etc. de est une préposition qui peut indiquer : la possession (le chapeau de Pierre), la matière (une table de bois), la provenance (il sort de la cuisine), etc. Remarque : Ces mots grammaticaux sont courts, ils dépassent rarement une syllabe. Ils sont à la fois fréquents, peu précis et courts. Il est intéressant de constater que

(quatre fois), la (deux fois). 2. Le sens de ces mots grammaticaux est très large : un peut signifier une unité (un et pas deux), La non-précision (un quelconque), etc. de est une préposition qui peut indiquer : la possession (le chapeau de Pierre), la matière (une table de bois), la provenance (il sort de la cuisine), etc. Remarque : Ces mots grammaticaux sont courts, ils dépassent rarement une syllabe. Ils sont à la fois fréquents, peu précis et courts. Il est intéressant de constater

l'excellence d'un art sublime à force de noblesse et de spiritualité. Elles suscitèrent toute une littérature, de Chateaubriand et Hugo à Proust et Claudel, en passant par Huysmans et Péguy, s'il nous est permis de n'en citer que les coryphées. Quoi de plus français que ces deux chefs-d'oeuvre de l'architecture gothique, et quoi de plus universellement humain que ces deux oraisons de pierre lancées de la glèbe vers le ciel? Car, fruit exquis du terroir français, l'art gothique naît dans le Domaine Royal d'Île-de-France

et facunde. Seul fasché suis, seul n’ay a me fascher, Car de vertu feix la plante arracher: C’est la premiere, où prendrons la seconde? Plaindre devroient l’air, la mer et la terre Le genre humain:qui, comme anneau sans pierre Est demeuré, ou comme ung pré sans fleurs: Le monde l’eut sans la cognoistre à l’heure. Je la cogneux, qui maintenant la pleure: Sy feit le ciel, qui s’orne de mes pleurs. (Marot, Six sonnets de Pétrarque, 3). * Interditte

propre n'y est nullement banni: «ci joint une pièce pour Amour», écrit-il à Vanier (9 juillet 1887), «vous y remarquerez le mot dol (« dol » est le mot propre pour ces sortes de saletés)»: parfois, c'est à regret qu'il est employé : (parlant de Victor Hugo) : « le point culminant de son physique, dans le sens un peu vulgaire que je suis bien forcé, pour être très français, d'employer ici » (OC I, p. 563). Un bon exemple illustrant cette recherche du sens réside certainement dans l'utilisation verlainienne

baise éperdument l'extrémité d'une branche pendante. Roxane Oui, je tremble, et je pleure, et je t'aime, et suis tienne ! Et tu m'as enivrée ! Cyrano Alors, que la mort vienne ! Cette ivresse, c'est moi, moi, qui l'ai su causer ! 40 Texte 2 - Victor Hugo, Hernani (1830), acte II, scène 4, extrait Doña Sol veut fuir avec Hernani, menacé de mort par le roi, mais Hernani refuse de lui faire courir ce danger. DOÑA SOL. Hernani! Dieu! Je tremble! Eh bien! Hâtons-nous donc alors, fuyons ensemble

CXI. Femmes damnées CXII. Les Deux Bonnes Sœurs CXIII. La Fontaine de Sang CXIV. Allégorie CXV. La Béatrice CXVI. Un Voyage à Cythère CXVII. L’Amour et le Crâne 145 146 147 149 150 151 152 153 154 156 RÉVOLTE CXVIII. Le Reniement de Saint Pierre CXIX. Abel et Caïn CXX. Les Litanies de Satan 157 158 159 161 LA MORT 164 165 167 168 169 170 171 CXXI. La Mort des Amants CXXII. La Mort des Pauvres CXXIII. La Mort des Artistes CXXIV. La Fin de la Journée CXXV. Le Rêve d’un Curieux