Vide quantique

Activité 1 : Histoire de la lumière (Support : texte suivant + dictionnaire) Dès l’antiquité les philosophes et savants se sont interrogés sur la nature de la lumière : comment la lumière se propage-t-elle ? Sous forme d’onde (théorie ondulatoire) ou de particule (théorie corpusculaire) ? Pour Démocrite (460-370 av. J.-C.) et Aristote (384-322 av. J.-C.), la lumière est un jet de particules « se détachant de la surface des corps, s’élançant dans l’air et nous permettant de voir ces corps… ». Il

Feynman reste la première discussion scientifique sérieuse sur ce sujet. Le développement des nanotechnologies a été permis grâce à l’invention du microscope à effet tunnel en 1981 qui permet de parcourir la surface des atomes grâce à un phénomène quantique pour déterminer la morphologie et la densité des surfaces que le microscope explore. La seconde invention et le microscope à force atomique qui lui permet de mesurer l’interaction entre la pointe du microscope et la surface étudiée. La première

complète que possible des lois régissant les phénomènes, y compris ceux impliquant des processus mentaux (intentionnels, finalisés). Mais on sait déjà qu'une connaissance rationnelle complète des processus physiques est impossible (selon la Mécanique Quantique). La plupart des phénomènes sub-macrosccopiques sont irrationnels en droit, ce qui veut dire qu'aucune théorie mathématique (accessible à l'esprit humain) ne peut rendre compte de ces processus. La question de savoir si on peut concevoir une théorie

Dans le monde des physiques quantiques, il y a plusieurs phénomènes incroyables et surprenants. Ces phénomènes bizarres sont souvent inexplicables. Des expériences comme l’intrication quantiques ou bien le chat de Schrödinger en sont des exemples. L’intrication quantique prouve qu’un électron, des années lumières plus loin qu’un deuxième électron, peut envoyer de l’information instantanément au deuxième électron. Ce phénomène est si étrange parce que l’information qui est envoyé, s’est rendu plus

industrielle à la fin du 19ème siècle, et la naissance de théories moléculaires permettant d’associer une formule chimique à un pigment ou un colorant. La physique classique est restée sans réponses. Il a fallu attendre la naissance de la mécanique quantique dans les années 1930 pour expliquer comment interagit la lumière avec les atomes et les molécules. Dans cette activité, nous allons chercher à comprendre et expliquer ce phénomène en utilisant le modèle corpusculaire de la lumière introduit par

l'intriquation l'un des phenomene observable uniquement a l'echelle quantique est le faite que une particule,est liée a une autre, peut importe la distance.Deux systemes ou deux particules peuvent etre intriques des qu'il existe une interaction entre eux. elles se comporte de la meme maniere en meme temps.Du fait de l'intrication, cette mesure aura un effet instantané sur l'état de l'autre particule.on se representer se pheonomene en imaginant q'une particule soit une piece de monnaie.liée a

Présentation: La physique repose aujourd'hui sur deux grandes théories. La relativité générale est une théorie de la gravitation qui décrit le monde à l'échelle des distances astronomiques, monde calme, prévisible. À l'opposé, la mécanique quantique décrit le monde des particules dites élémentaires qui, par comparaison avec le monde sensible, paraît agité et imprévisible. Chacune de ces deux théories a conduit à des succès impressionnants dans son propre domaine mais la différence profonde évoquée

permet de lever l'ambiguïté. 2.3. La délimitation du Champ cognitif. Dans sa défense du réalisme, un célèbre mathématicien contemporain affirme qu'il n'y a pas lieu de prendre en compte les fluctuations microscopiques postulées par la mécanique quantique, dans l'approche des phénomènes macroscopiques. Ce faisant, ce mathématicien délimite délibérément et subjectivement le champ de ses analyses cognitives. On peut à ce propos faire deux remarques qui agissent en sens contraire. - on a pu dire que

ce qui nous déplait – ces deux catégories sont donc purement humaines). La réalité brise constament nos catégories logiques et notre exigence de stabilité (exemple : le principe d´indétermination de l´électron de Heisenberg. Principe de mécanique quantique laissant entendre une indétermination de la matière.) Critique : “Dieu ne joue pas aux dés” Einstein. Si l´ordre, comme correspondance entre nos désirs et la réalité peut être anthropomorphique, le désordre, l´absurde, le sont tout autant. L´évocation

consiste dans le remplacement de certaines parties du système par des circuits électriques équivalents. Ainsi, un transistor, dont le fonctionnement interne est régi par des phénomènes très compliqués (qui nécessitent même le recours à la mécanique quantique), peut être modélisé par un circuit électrique équivalent (fig. 1.1), composé seulement d’éléments de circuit idéaux (résistances, condensateurs, sources), connectés entre eux par des conducteurs supposés idéaux. Fig.1.1 Transistor et son