Vieille ville de Jérusalem

doute un rôle plus important que ceux de la médecine dans la baisse de la mortalité. C’est finalement le développement de l’État qui permet de mieux limiter les épidémies : les quarantaines sont réellement appliquées, les travaux d’urbanisme aèrent la ville et l’assainissent avec le pavage des rues et le creusement d’égouts tout au long du XIXe siècle. En évitant la stagnation des eaux putrides et des déjections, la diffusion des microbes est freinée. Pages Pages184-185 28-29 étude Deux pays face à

le soir d'hiver où il était tombé sur le pavé, les poches vides, affamé, ayant toute une rage d'appétits à satisfaire. Ah ! cette première course à travers les rues, lorsque, avant même de défaire sa malle, il avait eu le besoin de se lancer par la ville, avec ses bottes éculées, son paletot graisseux, pour la conquérir ! Depuis cette soirée, il était souvent monté très haut, un fleuve de millions avait coulé entre ses mains, sans que jamais il eût possédé la fortune en esclave, ainsi qu'une chose

n’est pas un simple voyage, c’est un cheminement, une épreuve au vrai sens du mot. Les lieux vénérés ne manquent pas en Méditerranée. Rome, capitale historique, Saint-Jacques-de-Compostelle dans la péninsule ibérique, Lourdes et Lisieux en France, Jérusalem, capitale par excellence du monothéisme, Bethléem, lieu de la Nativité, Hebron, lieu supposé du tombeau d’Abraham, les sanctuaires deMoulay Idriss au Maroc, de Abu Madyan à Tlemcen, de Sidi Mehrez à Tunis, ceux de Ahmad el-Badaoui, de Saïda Zaynab

Jean-Paul Sartre est un philosophe et écrivain français (dramaturge, romancier et nouvelliste), né le 21 juin 1905 à Paris et mort le 15 avril 1980 dans sa ville natale. Sa vie d'intellectuel révolutionnaire a suscité polémiques et réticences. Prolifique et hyperactif, il est autant connu pour son œuvre, et notamment ses paradigmes philosophiques que l'on regroupe sous le nom d'existentialisme, que pour son engagement politique à l'extrême gauche[1]. L'œuvre de Jean-Paul Sartre est riche d'essais

Bonne lecture !RésuméChapitre I Le narrateur est Éliezer, un jeune adolescent juif, studieux et profondément pieux, dont la famille (son père, Chlomo, sa mère, ses sœurs, Hilda, Béa et Tsipora) appartenait à la communauté juive de la ville de Sighet, en Transylvanie, région de Roumanie, où elle vivait sans inquiétude. Il étudiait le Talmud chaque jour, et courait la nuit à la « synagogue hassidique » pour « pleurer sur la destruction du Temple

avait tricotée et sur laquelle il repliait sa manche. Après cinq jours de mer, plutôt mauvaise, il avait hâte, comme tous ses compagnons de voyage, de quitter le navire-hôpital qui les avait amenés de Bordeaux. Il reconnaissait les contours de la vieille forteresse portugaise qu’il avait quitté depuis bientôt deux ans et il avait le sentiment de rentrer à la maison. Ils étaient partis joyeux vers cette guerre sanglante qui les appelait. Il se souvenait, non sans amertume, ce plein bateau de soldats

terrorisme, les banques ont dû évoluer. Elles recrutent désormais des membres des forces de l’ordre pour mettre en place une surveillance financière aussi étendue que méconnue. GALERIE LELONG, PARIS N décembre 2009, le centre culturel français à Jérusalem est encerclé : la police israélienne cherche à interpeller des responsables palestiniens qui s’y trouvent. Le 22 juin 2009, la directrice du centre culturel français de Naplouse est extirpée de son véhicule diplomatique, jetée à terre et rouée de

(page 38). Bonne lecture ! Résumé Chapitre I Le narrateur est Éliezer, un jeune adolescent juif, studieux et profondément pieux, dont la famille (son père, Chlomo, sa mère, ses sœurs, Hilda, Béa et Tsipora) appartenait à la communauté juive de la ville de Sighet, en Transylvanie, région de Roumanie, où elle vivait sans inquiétude. Il étudiait le Talmud chaque jour, et courait la nuit à la «synagogue hassidique» pour «pleurer sur la destruction du Temple». Voulant qu’on le guide «dans l’étude de la

comptoirlitteraire.com/ 2 Résumé Chapitre I Le narrateur est Éliezer, un jeune adolescent juif, studieux et profondément pieux, dont la famille (son père, Chlomo, sa mère, ses sœurs, Hilda, Béa et Tsipora) appartenait à la communauté juive de la ville de Sighet, en Transylvanie, région de Roumanie, où elle vivait sans inquiétude. Il étudiait le Talmud chaque jour, et courait la nuit à la «synagogue hassidique» pour «pleurer sur la destruction du Temple». Voulant qu’on le guide «dans l’étude de

s’intéresser à la violence des sentiments exprimés par le héros. La pièce se passe en Espagne au XVIe siècle. Une jeune femme noble, Doña Sol, est aimée de trois hommes : le roi d’Espagne Don Carlos, un proscrit devenu chef de bande, Hernani, et son vieil oncle et gardien don Ruy Gomez de Silva à qui elle est promise en mariage. L’acte III coïncide avec le jour des noces. Hernani a réussi à s’introduire dans le château de don Ruy Gomez en se déguisant en pèlerin ; même après qu’il s’est fait connaître