Ville Imaginaire Ou Utopique

Horla de Maupassant. Ce jeu avec un cadre en apparence réaliste est capital. Le merveilleux, au contraire, nous plonge dans une atmosphère complètement surnaturelle où les événements arrivent parfois par magie, où les personnages sont totalement imaginaires. Ces récits merveilleux offrent donc aux lecteurs de nombreux personnages « extraordinaires »... Réalisme et naturalisme Au XIXe siècle, les romanciers réalistes cherchent à représenter le monde qui les entoure sans l’idéaliser. Balzac et Flaubert

mille  Introduction Appréhender, penser et définir la ville L’hypothèse de H. Lefebvre  [1], qui envisageait une urbanisation totale de la planète, se vérifie de plus en plus. En un siècle, le nombre de citadins au niveau planétaire a en effet été multiplié par 12. En 2009, pour la première fois de son histoire, la population mondiale est devenue majoritairement urbaine : plus de 3,7 milliards d’individus résident désormais dans une ville, soit plus de 50 % de la population mondiale. Chaque année

ou de Gavroche, héros des Misérables de Victor Hugo. Jean Valjean, par ses multiples évasions, ses efforts pour échapper au policier Javert qui le poursuit et son parcours exemplaire : le forçat devenu le bon M. Madeleine, bienfaiteur de la petite ville dont il est le maire et des « misérables » qui croisent sa route comme Fantine ou Cosette, figure magnifiquement le sursaut salutaire de tous les damnés de la Terre. Moins positif mais particulièrement représentatif du héros entreprenant de roman d’apprentissage

mémorable du commandant Gérard et se taire sur la prise d'Ambike, une ville qui, à vrai dire, n'avait jamais songé à se défendre : « Les tirailleurs n'avaient ordre de tuer que les hommes, mais on ne les retint pas ; énivrés de l'odeur du sang, ils n'épargnèrent pas une femme, pas un enfant... A la fin de l'après-midi, sous l'action de la chaleur, un petit brouillard s'éleva : c'était le sang des cinq mille victimes, l'ombre de la ville, qui s'évaporait au soleil couchant. » Oui ou non, ces faits sont-ils

inadéquat………………………………43 2.2. Une formation au rabais : un public vulnérable…………………………………57 CHAPITRE 3 : IMPASSES URBAINES……………………….……….……………68 1. La ville : un espace cinématographique…………….….……….……………..……74 2. Du caractère latitudinaire de la ville à une pernicieuse quête d’affirmation et de soi ……………………………………………….….…………..………………103 iv CHAPITRE 4 : ONIRISME, IMAGINAIRE ET IDENTIFICATION : LES RESSORTS DE LA TRANSMUTATION……………...……….126 1. L’illusion tragique d’Ignace Kambeya (dans Rêves portatifs)………

précédent à travers le langage, le mythe et le rituel.[1] Des fossés se sont creusés entre des pans déclarés antinomiques de la société et dont l’un des deux est généralement seul porteur des valeurs positives. Entre les deux, il faut choisir :: ville ou campagne, jeunesse ou vieillesse, économique ou social, politique, environnemental, moral…, tradition ou modernité… L’homme est alors économique car travailleur ou consommateur (producteur de richesse), car l’économie semble être le seul moyen

serait le résultat? L'histoire perdrait elle son essence dans une telle expérience? Après tout nous nous basons bien sur l'art pour nous aider à entre apercevoir le passé, pourquoi ne pas inclure dans une étude la musique d'une époque? Ceci semble utopique d'autant plus que nous vivons dans une société où chaque discipline a sa place et ne doit pas empiéter sur celle des autres. Ceci se reflète au sien de nos écoles Chaque domaine est cloisonné et souvent les liens qui nous paraissent évidents entre

sujet. On retrouve en effet des traces de cette acceptation chez Malraux qui voyait dans son projet de Musée imaginaire l’opportunité de montrer l’universalité de l’humain par la force d’expression d’œuvres culturellement hétérogènes. 4 Cicéron, Tusculanes,1 ,13 cité par R. Amirou, Imaginaire du tourisme culturel 5 Kant, Qu’est-ce que les Lumières ? cité par R. Amirou, Imaginaire du tourisme culturel 14 3.1.1 Les critiques de la notion de culture Les plus virulentes critiques quant

mémorable du commandant Gérard et se taire sur la prise d'Ambike, une ville qui, à vrai dire, n'avait jamais songé à se défendre : « Les tirailleurs n'avaient ordre de tuer que les hommes, mais on ne les retint pas ; énivrés de l'odeur du sang, ils n'épargnèrent pas une femme, pas un enfant... A la fin de l'après-midi, sous l'action de la chaleur, un petit brouillard s'éleva : c'était le sang des cinq mille victimes, l'ombre de la ville, qui s'évaporait au soleil couchant. » Oui ou non, ces faits sont-ils

mémorable du commandant Gérard et se taire sur la prise d’Ambike, une ville qui, à vrai dire, n’avait jamais songé à se défendre : «  Les tirailleurs n’avaient ordre de tuer que les hommes, mais on ne les retint pas ; énivrés de l’odeur du sang, ils n’épargnèrent pas une femme, pas un enfant… À la fin de l’après-midi, sous l’action de la chaleur, un petit brouillard s’éleva : c’était le sang des cinq mille victimes, l’ombre de la ville, qui s’évaporait au soleil couchant. » Oui ou non, ces faits sont-ils