Ville nouvelle

comme les commerces, la mairie, la gare et les restaurants,… Les communes sont les territoires où s’exprime le pouvoir local. Ces territoires sont représentés par la mairie et le conseil municipal. B/ De nouvelles coopérations territoriales Depuis la fin des années 1990, il existe des nouvelles structures territoriales qu’on appelle donc : - Les établissements publics de coopération intercommunale ou les EPCI : Plus simplement, ce sont des regroupements de plusieurs communes pour élaborer des

industries se reconvertissent en fabriques d’armes. Armistice : Un armistice est une convention signée par plusieurs gouvernements mettant fin à des hostilités entre armées en temps de guerre. Mais il ne met pas fin officiellement à la guerre. Une nouvelle Europe. Population vieillie : beaucoup de jeunes sont morts aux combats. Diktat ou paix dictée : les vaincus ne participent pas aux négociations. La République. République : du latin « res publica », la chose publique, c’est un régime

Introduction Chaque année, Montréal accueille des milliers de nouveaux arrivants venus des quatre coins du monde dans le but de s'installer dans la métropole. Plus de 80 communautés culturelles cohabitent ensemble dans une ville où s'entremêlent plusieurs traditions, ce qui donne lieu à une diversité hors du commun dotant la cité de nombreux attraits gastronomiques, artistiques et architecturaux. Dans un milieu urbain aussi multiethnique, de nombreux événements visant à célébrer les communautés

« savants » La genèse de la proximité peut se résume à trois niveaux : 1er niveau : crise des banlieues et politique de la ville. 2e niveau : décentralisation, déjacobiniser (autoritaire et centralisé). Dès 1980, volonté de décentralisé la France. 3e niveau : désaffection des citoyens par la politique dans les années 80 par des taux d'abstention énorme. Politique de la ville réponse institutionnelle à cette crise des banlieues. Art. 1 Existence de zone qu'on appel les banlieues situés dans la

la région parisienne de 1960 (PADOG) », p. 69-74  2. ↑ a, b et c Vincent Fouchier, « La politique des villes nouvelles (1965-2000) [archive] » sur Programme interministériel d'histoire et d'évaluation des villes nouvelles françaises, déc 1999. Consulté le 1er mars 2010 3. ↑ Loïc Vadelorge, « Généalogie d'un mythe : les établissements publics d'aménagement des villes nouvelles », dans Espaces et sociétés, vol. 1, no 119, 2005, p. 37-54 [texte intégral [archive] (page consultée le 1er mars

allons étudier, le jeune la Rochefoucauld se livre à la description de la ville de Bordeaux, capitale de la généralité et de la province de Guyenne, qui s'étale sous ses yeux et qu'il découvre. Avant même de débuter le commentaire et l'analyse du texte, il convient de rappeler quelques généralités sur la ville du XVIIIe ainsi que sur Bordeaux. Au XVIIIe, la population française est rurale. Seule 18 % de la population vit en ville à la fin du siècle, c'est peu, mais c'est plus que ça n'était. Il n'y

s’intéressait pas au paysage en général, que ce soit urbain ou encore rural… Jusqu’au jour ou les différents projets ont aboutit, la création du boulevard urbain, le réaménagement du site lui-même, et les rénovations des diverses connexions reliant au centre ville. En effet, le cœur d’Annemasse s’agrandissait, en facilitant les déplacements piétons vis-à-vis des voitures. Mais pour ca, la création du boulevard urbain avait entraîné sur le site, une augmentation du trafic routier en journée mais aussi la nuit

150,5 habitants au km² en 1997, soit plus de quatre fois celle enregistrée au niveau national. Composée de deux provinces: Safi et El Jadida, son encadrement territorial est assuré par une armature administrative constituée d'une communauté urbaine (ville de Safi), douze communes urbaines et de soixante- dix-sept communes rurales regroupées au sein de neuf cercles. La population de la région Doukkala-Abda a atteint le chiffre de 1.883.000 habitants selon les estimations de 1998, contre 900.000 habitants

120 kilomètres dans un centre régional entouré de zones rurales peu peuplées; 7. 150 kilomètres et plus pour les collectivités très petites et éloignées. En revanche, l’estimation du rayon peut être une perspective simpliste. Les secteurs d’une ville ou d’une municipalité se distinguent par leurs frontières naturelles, les différents quartiers socio-économiques, leur diversité démographique, des éléments d’identité psychologique, comme les frontières municipales, et la facilité de se déplacer d’une

Dans l'histoire de l'urbanisation, la seconde moitié du XXe siècle se distingue par l'émergence de grandes agglomérations au sein desquelles se développent de nouvelles dynamiques urbaines. Au Nord comme au Sud les métropoles ne forment pas des ensembles homogènes, un éventail de situations très variées s'inscrit dans des contextes locaux spécifiques et inédits. Afin de mieux comprendre les dynamiques contemporaines, une quarantaine de chercheurs, français et étrangers, apportent, sur dix-neuf métropoles