Violence Régimes Totalitaires

l’individualisme et prétendent transformer radicalement la société pour créer un homme nouveau… Au-delà des points communs, d’importantes différences séparent les régimes italien, allemand et soviétique. D’où le débat qui a entouré l’usage de la notion de totalitarisme parmi les politologues et les historiens… 1. Historique du terme. Le mot « totalitaire » a été créé par des opposants au fascisme italien. A partir de 1925, les fascistes eux-mêmes utilisent et revendiquent le mot. Mussolini explique que

1914-1918: PREMIERE GUERRE MONDIALE Guerre caractérisée par la violence de masse : guerre de tranchées, violence contre les civils (génocide des Arméniens) 1916: VERDUN Attaque allemande sur le front de l’ouest. Verdun est le symbole de la guerre totale : guerre totale, guerre industrielle, mobilisation de l’arrière, très lourdes pertes. 1918: 11 NOV, ARMISTICE Armistice signé par la France et l’Allemagne, qui met fin aux combats et à la Grande Guerre. 1917:REVOLUTION

démocratie fragile. En 1918, la révolution Allemande entraine le départ de l’Empereur. Janvier 1919, élimination des communistes. Juillet 1919, mise en place d’un régime démocratique, la République de Weimar. Ce régime est combattu car : -la droite refuse le diktat de Versailles. -le NSDAP -l’extrême-gauche car le régime s’est opposé au parti communiste. Avec la crise de 1929, l’explosion du nombre de chômeurs, le NSDAP obtient la majorité aux élections entre 1928 et 1932.

Les origines du conceptBien souvent, la genèse du concept de totalitarisme est attribuée à la philosophe Hannah Arendt, alors qu'elle a lieu bien avant, dans l'entre-deux-guerres. L'adjectif « totalitaire » (« totalitario ») apparut en Italie dès le mois de mai 1923 (on prête parfois son invention à Giovanni Amendola, opposant et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de lutte politique. Son emploi se répandit de manière péjorative dans les milieux antifascistes italiens. En

le système totalitaire .docxle système totalitaire -H. Arendt  L’introduction présente d’abord le contexte dans lequel l'œuvre a été écrite : du début, à la �n de la 2nde guerre mondiale. L’auteure aurait ainsi connu l’apogée, mais aussi le déclin de l’Allemagne nazie. Arendt se demande ainsi ce qu’il s’est “réellement” passé durant cette période. Elle critique les nouvelles archives peu nombreuses qui manquent selon elle d’analyse, d’argumentation et de �abilité, freinant l’analyse des modèles totalitaires

l’Etat = construction d’autoroutes, grands travaux (« travail par la joie ») à buts militaires. Violence comme mode de gouvernement : répression menée par les SA, les SS et la Gestapo contre les opposants. Politique raciale contre les juifs, les handicapés mentaux (euthanasie) et les « asociaux ». Développement des camps de concentration où sont déportées les personnes non souhaitables par le régime. II/ Le stalinisme Parti unique (depuis 1918) qui repose sur « le petit père des peuples » : Staline

moyens l’expression artistique permet-elle de dénoncer les systèmes totalitaires ? (Question = problématique ; ici une seule) Afin de répondre à cette question, nous montrerons d’abord que l’artiste peut passer par le biais de l’humour, ensuite qu’il peut mettre en scène un univers fictif qui serait le reflet d’un système totalitaire, et enfin qu’il peut représenter directement les atrocités commises par un État totalitaire. (Annonce de plan : j’annonce les arguments des trois paragraphes argumentés

Genèse et affirmation des régimes totalitaires (5) Introduction : Un régime totalitaire asservit une société à un Etat régnant par l’idéologie et la terreur. Utilisé dans les années 1920 par Mussolini pour caractériser le régime qu’il venait de créer en Italie, le terme « totalitaire » a progressivement englobé de nouveaux types de régimes, nés dans l’entre-deux-guerres : d’abord l’Allemagne nazie, puis l’URSS stalinienne. Pour autant, ces régimes sont-ils comparables dans leur monde d’accession

la vengeance. La justice n'est-elle pas une manière légale de se venger? La vengeance n'est-elle pas une manière de se faire justice soi-même? Étude du texte extrait des Principes de la philosophie du droit § 102 de F. Hegel La force et la violence sont d'autant plus menaçantes qu'elles s'appuient sur la passion spontanée de la justice. Tel est le cas du sentiment de vengeance qui, même quand il se donne l'allure de la justice (œil pour œil, dent pour dent) est, dans sa logique, négation de

Les origines du concept [modifier] Bien souvent, la genèse du concept de totalitarisme est attribuée à la philosophe Hannah Arendt, alors qu'elle a lieu dans l'entre-deux-guerres. L'adjectif « totalitaire » (« totalitario ») apparut en Italie dès le mois de mai 1923 (on prête parfois son invention à Giovanni Amendola[2],[3], opposant et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de lutte politique. Son emploi se répandit de manière péjorative dans les milieux antifascistes italiens