Virginal

place un autre motif qui connaitra une grande postérité : celui de la lettre. Elle est ici déchirée entre les mains d’une femme dont il exploite la solitude à des fins expressives. Il est intéressant de voir que Dirck Pieter Codde avec sa Femme au virginal tenant une lettre (vers 1630, collection particulière, Berlin) semble répondre à la même commande : représenter une jeune femme sur le coup de la lecture annonçant une mauvaise nouvelle. Codde varie ici la composition en plaçant la jeune femme

blank, ce qui signifiait « brillant, clair, sans tache », mais il a également donné un second sens, « nu ». Il poursuit son monologue en donnant l'explication de nombreuses significations. Dans notre civilisation, le blanc signifie pureté, état virginal, innocence, sérénité, paix. Il est également porté par les rois, les prêtres. C'est un symbole de puissance. Couleur de joie, le blanc est associé au baptême, au mariage. Couleur de peine également, les linceuls ne sont-ils pas fait de tissus blanc

la fin du 19ème siècle en réaction à la libéralisation du protestantisme modernisé (examen critique de la Bible, remise en cause du récit de la Création…), le fondamentalisme repose sur la croyance en l’infaillibilité de la Bible, en la naissance virginale de Jésus-Christ, en sa mort expiatoire, et en son retour imminent sur Terre, incarné parmi les Hommes. Dans cette perspective, les fondamentalistes refusent la thèse évolutionniste, et croient à la création du monde par Dieu en sept jours, comme

profite plus pleinement de la clarté d’un ciel bleu et lumineux, qui perce parmi les nuages qui semblent s’écarter. Le centre supérieur du tableau est complètement dégagé du voile nuageux, annonciateur d’une journée radieuse. Mais cette lumière virginale éclaire également la paume de la main que Rebecca pose délicatement sur sa poitrine. La lumière confirme ainsi ce moment particulier du don de l’annonce après l’élection. Elle témoigne de l’impression de douceur et de bonheur qui doit accompagner

terrestre est à la rose qui se distille, et non à celle qui, se flétrissant sur son épine vierge, croît, vit et meurt dans une solitaire béatitude »[4]. Hermia, passionnée, réplique qu’elle préfère « croître, vivre et mourir, plutôt que d’accorder [ses] virginales faveurs à ce seigneur dont le joug [lui] répugne »[5]. Thésée lui laisse encore quatre jours, jusqu’à son mariage, pour réfléchir. Démétrius essaye de convaincre Hermia de suivre les injonctions de son père en faisant valoir son « droit évident »

l'enchantement des frissons amoureux, A l'âge où l'on s'égare au fond des rêves bleus, Sans songer à demain et ce qu'il nous destine, Sous les érables du grand parc, à la sourdine, Nous nous cachions, loin des oreilles et des yeux, Et, son front virginal penché sur mes cheveux, Ensemble nous lisions le divin Lamartine. Oui ! nous avons vécu l'âge de nos seize ans Où le coeur entend mieux ce que la lyre exprime, Parmi les vers d'amour frappés au coin sublime. Oui ! nous avons connu les baisers

Larthomas, Le Théâtre en France au XVIIIe siècle, Paris : Presses universitaires de France, Que sais-je ? 1989 6. ↑ « Tandis que la tragédie rougissait les rues, la bergerie florissait au théâtre; il n'était question que d'innocents pasteurs et de virginales pastourelles. », François René de Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe(1848), Partie 1, Livre 9, Chap.2 7. ↑ « Le roman moderne naît au xviiie siècle. Méprisé et discuté encore pendant les deux tiers du siècle, le genre romanesque finit par

nos cœurs, Entends notre prière, Notre Dame des éclaireurs. 2- O douce dame aux étoiles, jette un regard sur ce camp Où tes fils sous leurs frêles toiles vont dormir en t'invoquant. 3- O toi plus blanche que neige dans ton manteau virginal, Ta beauté, Vierge, nous protège contre la laideur du mal. 4- Fais-nous quitter l'existence joyeux et pleins d'abandon, Comme un scout après les vacances s'en retourne à la maison. Nathalie mon amour des JMJ Tu étais venue

avoir respiré l'air de la Grèce[3]. Parce que notre goût et nos moeurs ne sont point du tout pareils aux leurs. Le caractère d’Hippolyte est la clé de ce drame. Il montre, dans la plupart des scènes, son dédain pour l’autel de Vénus, et sa pudeur virginale s’explique par son amour de la chasteté et de la déesse chasseresse. Par exemple, au début de la scène, Je l'adore de loin, pour conserver ma pureté.[4] Je n'aime pas les divinités dont le culte a besoin des ombres de la nuit.[5]

moderne des compositions de Puvis de Chavannes, dont il est très admiratif. Il allie l’esprit décoratif de l’Art nouveau avec une iconographie souvent classique et très religieuse comme, par exemple, le Triple portrait de Marthe fiancée (1892) ou Virginal printemps (1899). Le Triple portrait de Marthe fiancée (1892) / Huile sur toile / Musée départemental Maurice Denis Sa peinture du début possède un caractère simplifié et archaïsant. Elle en réfère plus aux peintres primitifs italiens, particulièrement