Virginie Gautron

déçue par la vie qui se refugie dans ses rêves -Paysage gothique allemand/anglais inspire de ses lectures (occurrences), cependant il y a aussi des éléments de paysage exotiques Conclusion partie: Ces exemples font penser a l’univers de Paul et Virginie mais il nous font prendre conscience du manque de réalisme dans ce monde imaginaire, effectivement ce lieu n’existe pas et n’est qu’un échappatoire au quotidien d’Emma qui est ennuyeux et banal. 2) La banalité de l’existence, univers plat et décevant :

La Virginie (Virginia en anglais) est un État (commonwealth) du Sud des États-Unis, qui porte traditionnellement le nom de Commonwealth of Virginia. Sa capitale actuelle est Richmond. Elle est limitrophe, au nord, du Maryland et du District de Columbia, au sud, de la Caroline du Nord et du Tennessee, à l'ouest, du Kentucky et de la Virginie-Occidentale, et est bordée à l'est par la baie de Chesapeake et l'océan Atlantique. Son nom vient de la reine Élisabeth Ire d'Angleterre (1533-1603), dite

celle du XIXe siècle. d. Les personnages 1. Qui est l'héroïne de ce récit ? L'héroïne est une servante nommée Félicité 2. Qui sont les autres personnages importants dans sa vie ? Les personnages importants sont Mme Aubain et ses enfants, Paul et Virginie, Victor, le neveu de Félicité, Loulou, le perroquet. 8. Dans quel ordre sont présentés les personnages ? Pour quelle raison ? On nomme d'abord Mme Aubain puis on présente sa servante. L'ordre hiérarchique est respecté. 9. Qui est le premier

décevante est la confrontation avec la réalité de l’existence. En outre Gustave Flaubert se moque de la littérature dont Emma se gorge. En effet les romans que Emma a lu au couvant sont extrêmement émouvants et irréalistes c’est le cas de Paul et virginie dans lesquels après la mort de l’un, l’autre amant se suicide. C’est cette collision qui a poussé Emma de rechercher du romantisme et de la passion qui va l’entrainer à nouer des liaisons amants-amante avec deux hommes qui la conduit finalement à

Théodore : est un fils de fermier dont Félicité est tombée amoureuse. Paul : est le fils de Mme Aubain. Virginie : est la fille de Mme Aubain, elle a une santé fragile ; elle meurt d’une fluxion de poitrine. Victor : est le neveu de Félicité, il meurt de la fièvre jaune.

Aigle Markhor ACCuEiL Lama Vigogne Chèvre Nandou EN TrAVAux Cerf axis cir cu la ir Loup Bouquetin Antilope Guanaco de Nubie cervicapre Chèvre naine Cerf de Dybowski Cerf de Duvaucel Cerf de bactriane Elan Zèbre de Grant Cerf de Virginie Pécari Hydropote Wallaby de Bennett Sambar Gaur Alpaga e Tigre Cerf Élaphe 

naïf, et surtout, fidèle à sa maîtresse. Logo s'accrochait aux enfants, Paul et Virginie et les aimait comme s'ils étaient ses enfants, ont souffert de l'interdiction de les embrasser et baiser. Son dévouement à la famille est tel qu'une fois venu à risquer sa propre vie, face à un taureau furieux, qui les a attaqués lors d'une promenade à travers les pâturages. Après le choc, la jeune fille est tombée nerfs Virginie malades, et la famille s'est rendue à elle pour prendre des bains de mer, suivant

Sujet BAC (P.156) Ce corpus de texte est composés d’extraits de romans, presque tous d’époque différente. Le premier est tiré de Paul et Virginie écrit en 1788 par Bernardin de Saint-Pierre, qui est un roman utopique et contestataire où Paul part sauver son amante qui est sur un bateau faisant naufrage. Le second texte est extrait Des trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas écrit en 1844 où d’Artagnan s’alliât aux trois mousquetaires. Le troisième extrait est écrit par Jean-Paul Sartre et figure

LES SENTIMENTS Le réalisme des personnages est mis en évidence par leurs sentiments que l’on ressent. Félicité, un peu sotte, est néanmoins capable d'apporter un amour désintéressé à ceux qu'elle côtoie : Théodore, Paul, Virginie, sa famille, Victor, les pauvres et surtout Loulou son perroquet, le seul amour partagé de sa vie. Elle se sacrifie pour eux, respecte les gens importants et suit les préceptes de la religion. Cette femme est presque une sainte. Elle fut orpheline

 Paul et Virginie, est un roman pastoral de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, publié en 1788 dans le quatrième tome de ses Études de la nature (comme illustration romanesque de ce vaste traité de philosophie), puis en volume séparé en 1789, avec des figures de Moreau le Jeune et de Claude Joseph Vernet. Publié en 1788, ce récit est la quatrième partie d’un ouvrage intitulé Études de la nature, déjà paru en 1784. Séparé de l’œuvre d’ensemble, ce court récit remporte aussitôt un vif succès