Virginie-Occidentale

Anthony Fortin Sciences Humaines Groupe 3109 La différence entre la démocratie athénienne et celle d’aujourd’hui Travail présenté à M.Jean Lafleur Histoire de la civilisation occidentale Département Cégep de Sherbrooke 14 septembre 2010 La différence entre la démocratie athénienne et celle d’aujourd’hui La démocratie, en son sens éthymologique, signifie une politique qui est gouvernée par le peuple. À travers le temps, la démocratie se sculpte et est sujet à changements. La démocratie

indépendance. La Constitution française de 1958 regroupa toutes les colonies et possessions françaises sous l'appellation de Communauté française et chacune d'elles obtient son statut de "République autonome". 2. L’Afrique occidentale française L’AOF (Afrique occidentale française) se distingue de l'Afrique équatoriale française. L’AOF correspond à un autre gouvernement colonial créé en 1895 et groupant en une fédération les territoires du Sénégal, de la Mauritanie, du Soudan français (aujourd'hui

L’Afrique Occidentale française ou encore L’AOF fût crée par décret en 1895 soit un an après que le ministère des colonies eut été établit afin de centraliser la gestion des colonies françaises sur le continent africain. A la base, l’AOF était composée de quatre colonies : le Sénégal, le Soudan, La Cote d’Ivoire ainsi que la Guinée . Ces pays étaient tous placé sous l’autorité du gouverneur du Sénégal qui n’est autre que le général Jean-Baptiste Chaudié et à qui on avait assigné la coordination

médée William Merlaud-Ponty (né le 4 février 1866 à Rochefort, décédé le 13 juin 1915 à Dakar, Sénégal) est un administrateur colonial français qui fut gouverneur général de l’Afrique-Occidentale française (AOF) de 1908 jusqu’à sa mort en 1915. On le présente souvent comme un républicain idéaliste1 et paternaliste, mais des travaux récents2 dressent le portrait d'un politicien habile, avant tout pragmatique. Ses années à la tête de l'AOF ont marqué l'histoire de l'enseignement et de la justice

son époque et un savant réputé mais il jouissait également d’une grande estime auprès de l’administration coloniale et de ses compatriotes. Il reçut la légion d’honneur en 1930. Choisi comme porte-parole de tous les marabouts de l’AOF (Afrique occidentale Française) lors de l’inauguration de la cathédrale du Souvenir africain dans la capitale fédérale, Dakar, en 1935, Cheikh Moussa Kamara prône l’unité des religions du Livre. Il fut encouragé dans sa démarche d’historien et d’anthropologue par

Ecole Doctorale Sciences de la Matière, de l’Information et de la Santé (ED SMIS 0373) Année 2007 THESE présentée à L’Université de Bretagne Occidentale pour l’obtention du Doctorat en Electronique Vincent LAUR 14 Novembre 2007 Contribution à la réalisation de circuits hyperfréquences reconfigurables à partir de couches minces ferroélectriques : des matériaux aux dispositifs Rapporteurs : • M. Serge TOUTAIN, Professeur, IREENA, Ecole Polytechnique de Nantes. • Mme Valérie MADRANGEAS, Professeur

forestière à 11h33 Guide : Mrs Zrehon Michel L’école forestière située à l’intérieur du parc a été construite en 1937 sous la colonisation donc construite à l’image des écoles forestière française pour les étudiants des pays de l’AOF (Afrique Occidentale Française) tels que la Côte d’Ivoire, le Cap Vert, le Burkina Faso, Togo, Guinée, Bénin etc… A l’école forestière les cours sont reparties sur quatre groupes : -Sylviculture : Elevage des arbres -La chasse -La protection des arbres -La législation

 David Diop Biographie : David Mandessi DIOP est né le 9 Juillet 1927 à Bordeaux. De mère camerounaise et de père sénégalais, il vit entre la France, le Sénégal et le Cameroun. Il est très tôt (à 8ans) orphelin de père et est élevé ainsi que ses cinq frères et sœurs par sa mère Maria DIOP. D’une santé fragile, il passe une partie de son enfance dans les hôpitaux en France où il vit pendant la période d’occupation et de guerre. Pendant ses périodes de convalescence, il se passionne très

En effet, face aux pertes massives, il fallait toujours plus de soldats, par conséquent, de nombreux appels à l’engagement ont été faits (en Afrique occidentale française par exemple) ou de nombreuses campagnes de recrutement ont été mises en place (en Afrique Noire en 1917). Ces troupes coloniales apportaient donc une aide considérable au front (en Champagne, 10 bataillons de tirailleurs sénégalais et

Hamani DIORI Je le répète, ces textes sont « universellement propres » à tout l’univers africain francophone du pré carré français, pour les deux groupes ou zones qui constituent les colonies françaises d’Afrique, à savoir : l’ancienne Afrique Occidentale Française (AOF) et l’ancienne Afrique Equatoriale Française (AEF). Le texte de ces accords prétendus soumis à signature est le même. Il suffit de remplacer le nom de l’Etat africain (ancienne colonie), le nom de son chef d’État et la date de signature