Vishnou

catholique, qui fait référence à « Jésus » au vers suivant. « Natacha » : prénom slave, tsigane, qui fait référence aux persécutés. « Samuel » est d'origine juive. A l'époque de l'écriture de la chanson, Jéhovah est une branche de la religion juive. Vishnou est le dieu protecteur indou (avec une trompe d'éléphant). Ainsi tout le monde est concerné (il y avait très peu d'indiens dans les camps). Le rythme ternaire est utilisé: 3 / 3 / 3. L’auteur veut diversifier les noms et religions. La première

religion , ce texte est adressés a toutes sortes de population et Jean Ferrat veut le faire savoir .En effet dans la strophe 4 , des prénoms juif , "Natacha" , autant que catholique sont mentionnés . Différents dieux et prophètes sont évoqués comme Vishnou , qui est un dieu indien . L'absence de croyance est aussi envisagés . En mélangeant toute ces religions en une strophe l'auteur essaye de nous montrer que catholiques , juifs croyants ou non , la n'est pas la question : des individus ou été tués

Pour les nazis, ces hommes n’étaient plus que des nombres, des choses à qui l’ont peu choisir d’enlever la vie. Le pronom « ils » est très peu personnel. La quatrième strophe rend hommage à ces personnes de confessions religieuses différentes, (Vishnou, Jehova, jésus), aux opposants politiques, aux homosexuels, aux tziganes et aux communistes russes tués par les nazis. D’autres mots nous montrent que c’est une chanson sur la déportation (en train : tour de roue, arrêts, départ…) La 5ème nous parle

hâte du temps Survivre encore un jour, une heure, obstinément Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel Certains priaient Jésus, Jéhovah 1 ou Vishnou 2 D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge Les

esprit), la naissance du christ est annoncée par trois Rois mages, Pierre nie le Christ par trois fois, Jésus est mort à 33 ans, il ressuscite 3 jours après sa mort. Le trois est aussi le symbole du divin dans la religion hindousiste ( Brama, Vishnou, Shiva) et aussi en égypte (Osiris, Isis, Thot) Dans la tradition iranienne, le chiffre 3 apparaît le plus souvent doté d’un caractère magico-religieux. Dans la mythologie, Les maîtres de l’univers était divisé en 3, Zeus, le ciel et la terre

percu en Re [Il est Re devant], et son corps est Ptah. Leurs cités sur terre demeurent à jamais : Thèbes, Héliopolis et Menphis, pour l´éternité. (HYMNE À AMON DE LEYDE -1300 AVANT J.-C.)  On pourrait citer aussi :  - La trinité indienne: Brahma, Vishnou, Shiva .  - La trinité Perse : Ahura Mazda-Mithra-Anahita .  - La trinité primitive nordique : Odin, Loki et Hoenir .  La Triquetra  C´est un mot d´origine latine qui signifie triangle, la triquetra celtique est une représentation de la triple

avoir de réponse. L e bramin pense,que plus il s’instruit moins il pense savoir de choses, alors que la vieille femme : La seule chose qui compte pour elle c’est d’avoir un peu de l’eau du « Gange » pour se laver et de croire aux « métamorphoses de Vishnou » : « elle se croyait le plus heureuse des femmes.», elle ne se pose aucune question sur la conditions humaine ou sur ce qui l'entour elle est heureuse meme avec sont manque de connaissance. Ce sont des personnages typique du comte => par paire (

catholique, qui fait référence à « Jésus » au vers suivant. « Natacha » : prénom slave, tsigane, qui fait référence aux persécutés. « Samuel » est d'origine juive. A l'époque de l'écriture de la chanson, Jéhovah est une branche de la religion juive. Vishnou est le dieu protecteur indou (avec une trompe d'éléphant). Ainsi tout le monde est concerné (il y avait très peu d'indiens dans les camps).

La première strophe revient comme un refrain à la fin mais avec un changement grammatical : le poème est cyclique

qui fait référence à « Jésus » au vers suivant. « Natacha » est un prénom slave, tsigane, qui fait référence aux persécutés. « Samuel » est d'origine juive. A l'époque de l'écriture de la chanson, Jéhovah est une branche de la religion juive. « Vishnou » est le dieu protecteur indou (avec une trompe d'éléphant). Ainsi tout le monde est concerné. A la fin de la strophe 6, on trouve un crescendo pour souligner la brutalité et la cruauté des nazis, cet effet produit une forte tension. Des

sans hâte du temps Survivre encore un jour, une heure obstinément Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vishnou D'autres ne priaient pas mais qu'importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux Jean Ferrat Plaque commémorative à la mémoire des Français déportés à Hinzert suite au décret NN Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage