Vision De La Société Dans La Princesse De Clèves

entre les fictions réalistes et les récits basés sur l’idéalisation des héros. XVIème Déclin du roman (société voulait rupture avec le passé) Le roman est jugé trop fictif et dangereux car il est basé sur l’illusion romanesque. XVII Production romanesque intensifié. Sa forme permet libertés par rapport á les règles du classicisme. Mme de Lafayette crée roman d’analyse La princesse de Clèves (1678) Roman comique veine grotesque inspiré de Don Quichotte écrit par Cervantès XVIII Émergence du

transforme le lecteur dans un monde irréel Le roman héroïque : Transporte la vie du 17ème dans l’antiquité. Ces deux genres de romans sont des romans précieux. Vers 1660, roman classique (en réaction au excès de la période précédente). La Princesse de Clèves est le 1er roman psychologique. Roman comique (Opposition au héro héroïque) Picaro (aventurier du roman espagnol qui vit d’expédients) Roman picaresque (Montre le monde à travers le regard du picaro dont le point de vue contredit les vérités

les titres de romans qui sont des noms de personnage : Madame Bovary, Don Quichotte, Manon Lescault, La Princesse de Clèves, Le Père Goriot, Aurélien. - Rappel de l’étymologie de personnage. Persona en grec = masque < un personnage c’est l’invention d’une fiction comme on met un masque au théâtre. La réflexion sur le personnage est au croisement de techniques d’écriture et d’une vision de l’homme. Il s’agit de comprendre comment un romancier parvient à créer un personnage et quelles significations

Objet d’étude : Le roman et ses personnages : vision de l’homme et du monde. Trois aspects dominent : 1. L’écriture romanesque en tant que telle (une écriture différente de l’écriture théâtrale ou poétique) a des outils spécifiques : le récit au passé ou au présent, les descriptions, les dialogues. Le roman est un genre protéiforme : roman épistolaire, roman à la première personne, roman polyphonique –à plusieurs voix narratives-… 2. Les personnages que le roman met en

romans pour montrer que ce sont souvent les personnages favoris ou d’exception des lecteurs. Dans un second temps, nous verrons que la conception de héros a évolué jusqu’à aujourd’hui pour montrer que les héros ne sont plus aussi présents dans notre société. Enfin, nous ferons le lien des deux parties précédentes en montrant que certains romans ont des héros différents des autres romans. Dans les romans comme dans les films, les héros sont souvent des personnages qui nous fascinent et nous permettent

l’intérêt que suscite la présentation des personnages sur le lecteur ; le deuxième sera la narration de l’histoire et la représentation d’un monde social ; puis le troisième sera la principale source d’intérêt du roman pour un lecteur afin de découvrir la vision du monde de l’auteur, à laquelle participe bien sûr, la représentation des personnages. S’intéresser aux personnages présentés permet de faire travailler l’imagination du lecteur. Ce dernier peut très bien imaginer le physique du personnage comme

2 : Une figure d'exception. ( vocabulaire mélioratif ) 3 : Une beauté fragile. II : Mais une héroïne fragile dans l'environnement de la cour : le portrait comme spectre d'une vision du monde. 1 : La figure de la mère, porte-parole des idées de l'auteur ? 2 : Une démystification de la société de la cour. 3 : Une écriture à double visage : un romanesque soucieux de réalisme. 3 : Rédaction du commentaire. Le portrait qui présente l'héroïne est souvent assuré dans le

II- Deux cultures distinctes ? A-   La culture savante • Incarnée au Moyen-âge par l’idéal de l’humaniste : homme qui connaît les textes anciens et qui est capable de les lire en version originale (grec, latin, hébreu…), qui sait vivre en société, qui voyage et est ouvert aux autres… Idéal qui se développe avec la Sorbonne, les couvents, ou encore sous l’impulsion de François Premier (création des collèges royaux). Au 17ème siècle, honnête homme (individu qui va dans les salons et qui développe

"matière de France", le roman se nourrit de la "matière antique" (la "triade classique") et de la "matière de Bretagne" (Tristan, les romans de Chrétien de Troyes). La naissance de ce nouveau genre est à mettre en rapport avec une évolution de la société, caractérisée notamment par l'influence grandissante des femmes et le développement de l'éthique courtoise. Il incarne un rêve de bonheur, un sentiment de force, la volonté de triompher d'un mal. Il a pour fonction sociale de sceller, par le moyen

sujet: “autrui à l’épreuve du portrait” nous amène à nous interroger en quoi autrui serait mis à l'épreuve de sa représentation par le portrait. Quelles sont les difficultés rencontrées par le peintre ou le sculpteur pour retranscrire sa vision d’autrui ? Dans quelle mesure l’évolution du portrait dans l’histoire des arts permet d’appréhender cette perception d’autrui de l’époque ? Et à quel niveau la relation entre le sujet peint et le spectateur, entre autrui et moi, est- elle diminuée