Vitesse De Circulation De La Monnaie

sépare l'Autriche, de l'Italie sur accessible toute l’année * 1237 Pont du Gothard premier pont suspendu entre l’Allemagne et l’Italie * Fluvial pour profiter des affluents pour faciliter la circulation (Seine, Tamise, Rhin, Elbe, Pô ; Venise essaie d’imposer une libre circulation sur l’Adige). * Maritime pour les pondéreux Globalement lent (10 km/h par la terre, 25-30 km/h par la mer. * Un réseau commercial dense polarisé par deux foyers économiques majeurs (interface)

l’économie monétaire La monnaie est un bien qui n’a pas d’utilité en soi, son utilité n’apparaît que dans le cadre d’une économie marchande (économie caractérisée par le développement de l’échange –l’opposé est une économie de subsistance (forte autoconsommation et faible renouvellement de biens)) La monnaie est un phénomène social puisque son utilisation repose sur la confiance des agents économiques dans le système qui la crée : le système bancaire. La monnaie est un moyen de paiement accepté

..................................................................................... 9 Transport ................................................................................................................................................ 10 Monnaie ................................................................................................................................................... 10 Economie.......................................................................................

atteindre cet objectif, la politique budgétaire jongle entre les dépenses de l’État (une des injections du circuit économique) et les impôts et les taxes (une des fuites). La politique monétaire s’exprime, quant à elle, par le choix de l’offre de monnaie ou du taux d’intérêt. Une diminution du taux d’intérêt encourage les investissements et augmente ainsi la demande globale. Les deux sections de ce chapitre examinent tour à tour la politique budgétaire et monétaire en détaillant leurs effets et leur

les condi tions qui r´alisent les niveaux e a e e ´quilibr´s de la production d’une part, de la consommation et des investissements d’autre part. A ces e e niveaux, mesur´s en quantit´s, il convient d’ajouter le niveau de la masse mon´taire en circulation qui e e e conditionne le niveau g´n´ral des prix. e e Cette m´thode d’analyse repose sur un certain nombre d’hypoth`ses : e e – au niveau macro-´conomique, on ne distingue pas les diff´rentes sortes de biens fabriqu´s; toute e e e production donne

I.2- La politique monétaire : objet, objectifs, instruments et canaux de transmission Chapitre II : LA MONNAIE, LE SYSTEME BANCAIRE ET LA POLITIQUE MONETAIRE DURANT LA PERIODE 1962/63 – 1989 : UN APERÇU HISTORIQUE II.1- La sous période 1962/63 – 1970 II.2- La monnaie, le système bancaire et la politique monétaire en économie planifiée : 1970-1989 Chapitre III : LA MONNAIE, LE SYSTEME BANCAIRE ET LA POLITIQUE MONETAIRE DURANT LA DECENNIE 1990–2000 : L’AVENEMENT DE LA LOI 90–10 III

et mesure de la monnaie 1. Les fonctions de la monnaie Pour F. PERROUX, une monnaie est un instrument de paiement indéterminé, général et immédiat. Cet instrument de paiement doit permettre de payer à n’importe quelle date, et d’acquérir n’importe quel bien ou service. Il doit être admissible en tout lieu et par tout le monde. Son transfert doit permettre de régler instantanément et de manière définitive les achats ou les dettes. 1.1. La monnaie comme unité de compte La monnaie apparaît comme

extérieur & intérieur => L'ignorance => Justice => La santé => souveraineté économique (monnaie, bq, centrale …) => La pauvreté => Chômage

boursières/bancaires. Sous Napoléon 3, on invente la banque centrale. C’est une institution privée. Elle assure un rôle très important. La valeur de la monnaie est associée à la confiance. La banque centrale assure les particuliers qu’ils arriveront toujours à récupérer leur épargne à n’importe quelle banque commerciale. Cette banque centrale fournit la monnaie et assure qu’elle sera fournie. P= C+I+G (dépenses publiques) = Y + transferts = C + S + T (imports). Production

entre les banques elles-mêmes de leurs déficits et excédents de liquidités Nous avons vu, lorsque nous avons étudié les mécanismes microéconomiques de la création monétaire, que lorsqu’une banque distribuait du crédit ex nihilo, une partie de la monnaie qu’elle créait s’échappait de son « circuit » (la « fuite » hors de son réseau) pour être captée par les autres banques sous forme de nouveaux dépôts. La banque à l’origine de la création monétaire accroît donc ses besoins de liquidités et allège