Vitre

doit de rester vigilante quand à l’évolution des matériaux dans le milieu du bâtiment. On voit en effet de plus en plus de structures vitrées, de la pailles, des ardoises pour les toits ou du zinc, ainsi que du bois ( matériaux plus écologiques). Ce phénomène de mode pourrait très bien se propager et on pourrait par exemple voir apparaître d’importantes surfaces vitrées sur des immeubles ou habitations plus communs. Dans ce cas, Gely se devrait de continuer à innover pour répondre à une demande inhabituelle

contemporains ; le peintre britannique Bernard Cohen (1933) et les peintures abstraites du français Jean Dubuffet (1901-1985). Mais aussi et surtout par Fra Angelico et Piero della Francesca dont il cite : « Comme l’atmosphère des maisons ; les baies, les vitrées, les patios, etc. me rappelait l’Italie, j’ai emprunté pour mon tableau quelques uns de leurs éléments artistiques. » Des locaux il ajoute : « j’ai rendu visite à quelques collectionneurs. Je n’avais jamais vu de maisons pareilles. C’est incroyable

de bienfaisant. Ce rose n'est pas celui des fleurs, ni d'un corps surpris dans son sommeil, ni d'un pelage de gibier; plutôt celui d'un ciel d'hiver, celui d'une lampe dans son manteau de soie, d'un feu de braise que l'on verrait à travers une vitre épaisse, enfumée; et ce vert tout à côté, c'est l'herbe dont se repaissent encore une fois mes yeux, l'herbe nouvelle bien que l'on soit au déclin de l'année, c'est l'herbe grave et gaie, rieuse et taciturne, tendre et drue, éternelle et vivante

surchauffe et d’éblouissement dès la mi- saison, d’où la nécessité fréquente de dispositifs de protections solaires ou de ventilations renforcées. Le niveau d’éclairage naturel du bâtiment est fonction de la nature et de la quantité des surfaces vitrées ainsi que de la profondeur des pièces en façades. Il s’exprime suivant deux indices : - L’indice d’ouverture qui correspond au rapport de la surface de la baie à la surface utile. -L’indice de profondeur qui correspond au rapport de la profondeur

derrière la pupille, (gros truc gris sur le schéma =) le cristallin. Il y a aussi, des substances gélatineuses auxquelles on donne le nom «d’humeurs ». Entre l’iris et la cornée, l’humeur aqueuse, la rétine, avec l’humeur vitrée derrière. Cristallin+Humeur aqueuse+Humeur vitrée = milieux transparents de l’œil. La rétine, a, sur elle, deux sortes de cellules photo réceptrices, qui captent la lumière et qui donnent naissance à des messages nerveux : les cônes et les bâtonnets. Les bâtonnets sont

seulement dû aux hommes mais a tout ce qu'il entoure. De plus, le son v présent dans givre et dans vent va revenir de facon constante comme le ferai le vvv du vent violent et glacé : vitre, devant, ouvris, civile. Plus tard il sera décrit comme grelotant de froidet poratnt des habits mouillés. Ses vêtements Puis le mot «vitre» vient créer une sorte de barrière entre nous, lecteurs, symbolisées par Victor Hugo, et ce monde en quelque sorte à part, oû vit le «pauvre». Cependant le fait que ce matériaux

variation règle la distance focale de la loupe biconvexe. On a un système irigo moteur pour rétrécir ou dilater la pupille. Il y a donc dans l’œil des milieux transparents qui permettent le passage de la lumière (hublot cornéen, cristallin, et l’humeur vitrée). c) la rétine Elle constitue la tunique interne, mais n’occupe que la partie située en arrière des corps ciliaires. C’est au niveau de la rétine que sont perçues les stimulations lumineuses. La rétine est formée d’une couche pigmentaire

les quatre travées, une petite ouverture est ajoutée aux extrémités de l’immeuble. L’ouverture de la porte est cintrée et surplombée d’une marquise, permettant de descendre de voiture à couvert. Cette marquise à une forme d’éventail de ferronnerie vitrée. Au-dessus de la marquise, un bow-window, en arrondi, divise la façade en deux parties et renforce la verticalité. Ce bow-window est plus fin au premier étage qu’au trois étages supérieur : il doit s’agir de l’entresol. coupe 2 Chaque étage

la rue et de la piazza. Depuis l’entrée, le visiteur trouve à sa gauche un jardin clos, d’où une partie de l’atelier est visible à travers une paroi vitrée. Cet espace vert favorise une transition entre l’espace public et le passage couvert qui entoure l’atelier et que le visiteur peut parcourir. Dans ce passage sont aménagées de grandes baies vitrées qui permettent la découverte des œuvres. La lumière, essentielle à la réalisation comme à la perception de l’œuvre de Brancusi, est ici repensée et

constitue une contrainte au recours à l’endettement bancaire. Opportunités Dans la réalisation de notre projet plusieurs opportunité s’offrent à nous, nous pouvons par exemple citer le fait que la ville de Kinshasa on vend plein de sorte de verre et vitre, c’est-à-dire notre matière première. Mais aussi le fait qu’il existe plus de 1000 hôtels et restaurants qui peuvent être intéressé par nos services. Durée de vie du projet En se basant sur le critère d’horizon économiquement raisonnable