La lumiere naturelle
En effet, la lumière a un impact direct sur la santé. Des études ont montrées que des niveaux d’éclairement supérieur à 1000 lux influencent l’horloge biologique des êtres humains pour les cycles journaliers et annuels avec leurs périodes de veille et de sommeil, et peuvent donc perturber l’activité du cerveau, le bien-être, et la santé.
Ainsi, le manque de lumière naturelle génère des conséquences physiologiques et psychologiques importantes sur les rythmes biologiques de l’organisme.
En plus, la lumière naturelle a un rôle énergétique, bien sûr, par le rayonnement solaire. Elle peut cependant être génératrice de surchauffe si l’on y prend garde.
Afin de ne pas nuire à l’éclairage naturel, on définit les besoins minimums pour les protections solaires et les niveaux d’isolation nécessaires en été afin d’éviter ces températures intérieures trop élevées ou limiter les charges de climatisation.
Compte tenu des avancées récentes sur l’impact biologique de la lumière, ces dimensionnements deviennent de vrais enjeux pour la définition des ouvrants, de façon à limiter la pénétration solaire directe tout en souhaitant des niveaux d’éclairement importants.
A la vue de ces critères d’architecture, de santé et d’énergie gratuite, la lumière naturelle devient un véritable enjeu dans une démarche environnementale – de projets de réhabilitation à de l’urbanisme durable, autrement dit d’une conception architecturale cohérente et responsable, digne de ce nom.
L’étude de la lumière dans un bâtiment donne recours à plusieurs caractères tels les indices d’ouverture, la notion de mesures et de quantité comme le facteur de lumière du jour ou le niveau d’éclairement. Les valeurs en résultant peuvent donc être utilisées dans la conception de tel ou tel type d’espace recevant telle ou