Vladimir Cosma

relations entre les pouvoirs économiques et les pouvoirs financiers… Nous allons donc voir à travers ce rapport comment l’oligarchie Russe est apparue et s’est développée sous l’ère Eltsine, puis les changements qui sont intervenus avec l’arrivée de Vladimir Poutine au pouvoir et sa volonté de rupture. Enfin, nous aborderons les perspectives d’avenir, avec le gouvernement actuel de Dimitri Medvedev. Naissance de l’Oligarchie Russe : L’ère Boris Eltsine C’est en novembre 1996, suite à un entretien

l’activité humaine et pouvant se jouer comme d’un instrument. Puis, en France, il y eut Pierre Schaeffer, Pierre Henry et la musique concrète, en Allemagne Kœnig, Heimert, Stockhausen et la musique électronique, aux USA, la Tape Music avec Otto Luening et Vladimir Ussachevski puis le live electronic. Et apparurent petit à petit de nouvelles machines, les synthétiseurs dans les années 60, les magnétophones à bandes et plus récemment les ordinateurs et les samplers. Plus de cinquante ans de recherche, des

risques : la Russie et ses anciennes possessions sont parmi les régions du monde qui comptent le plus d’assassinats de journalistes, toujours impunis. La soumission des médias russes au pouvoir politique est dans l’ordre des choses. Le régime de Vladimir Poutine pratique un autoritarisme d’autant plus affirmé qu’il ne semble pas déplaire à la population. Les mesures restrictives qu’il vient de prendre contre la « société civile », associations ou organisations non gouvernementales soupçonnées d’avoir

Russie qui peuvent être qualifiées de « stratégiques ». Si les relations personnelles des chefs d’États sont très proches, elles peuvent être qualifiées de « spéciales », comme c’était le cas entre le chancelier Gerhard Schroeder et le président Vladimir Poutine. De toute façon, l’Allemagne bénéficie d’une grande confiance de la part de la Russie et la Russie trouve (encore) une certaine forme de compréhension auprès des élites politiques allemandes, malgré une méfiance croissante liée au système

est un Etat à un parti dominant - Russie Unie (parti centriste) qui se trouve au pouvoir. Les partis d'opposition sont autorisés mais ils n'ont pas vraiment de chance de remporter le pouvoir. * Dirigeants : Dmitri Medvedev (élu en avril 2008) Vladimir Poutine (1er ministre) * Prochaine élection: Présidentielles : Mars 2012 Parlementaires: Décembre 2011 * Réglementation des importations * La plupart des marchandises sont libres d'être importées, une harmonisation des procédures douanières

fédérale basée sur une démocratie parlementaire. C’est un Etat à un parti dominant : la Russie Unie (parti centriste) qui est au pouvoir. Chef de l’Etat : Dimitri MEDVEDEV, président de la Fédération de Russie (depuis 2008) Chef du gouvernement : Vladimir POUTINE, Premier Ministre depuis 2012 Prochaines elections presidentielle : 2012 Election à 70,2% des suffrages exprimés, le tandem Medvedev-Poutine fonctionne et n’a pas connu d’accroc majeur. Il reflète l’équilibre entre les différents groupes

Droite) - associé aux réformes allant vers l'économie de marché et la privatisation, soutien un capitalisme à l'occidentale. Les leaders politiques au pouvoir Président: Dmitri MEDVEDEV (élu en Mai 2008) – Indépendente Premier Ministre: Vladimir PUTIN (depuis Mai 2008) – Dernier président de la Russie, actuel président du parti Russie Unie. Les prochaines élections Présidentielles : Mars 2012 Parlamentaires: Décembre 2011 [pic]

risquerait de "déclencher une guerre civile". Le président russe Vladimir Poutine s'est engagé par avance à défendre "par tous les moyens" les populations russophones des républiques de l'ex-URSS en cas de violences. Et l'envoi, par Moscou, de jusqu'à 40.000 soldats aux frontières de l'Ukraine a fait craindre une invasion. Washington hausse le ton En réaction à ces nouvelles tensions, les Etats-Unis ont fait entendre leur voix, appelant Vladimir Poutine à cesser de "déstabiliser" l'Ukraine, tout en accusant

de Reporters sans frontières. Des prédateurs qui sont mis en scène sur la nouvelle campagne publicitaire de RSF. Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, le leader nord-coréen Kim jong Un, le président syrien Bachar Al-Assad, le président russe Vladimir Poutine et le nouveau président chinois, Xi Jinping sont représentés en faisant un bras d’honneur à la liberté d’expression. Un geste radical, accentué par le dédain dont ils font preuve en souriant. Des caricatures volontairement provocantes, se

fibre nationaliste. Au temps de son règne, toute la sphère publique est sous son contrôle. Il s’était donné pour mission de « soutenir l’autorité partout où elle existe, de la fortifier où elle faiblit, de la défendre où on l’attaque ouvertement ». Vladimir Poutine, ancienne figure du KGB et actuel président de la Russie, est ici comparée au « tsar de fer ». On lui reproche l’évolution de sa politique vers une forme autoritaire, facilitée par un texte constitutionnel privilégiant l’hégémonie de l’exécutif