Voute étoilée

La voûté étoilée, vaste sujet, mais si nous commencions par un premier voyage comme sait si bien nous y convié notre frère Alexandre. Je vous propose donc également et de façon pas très poétique de fermer les yeux et de vous projeter il y a 15 milliards d’années jusqu’au premier dix-milliardième de seconde. À cette époque, l’Univers était si dense et si chaud qu’il était opaque. Environ 1 million d’années plus tard, il a émis sa première lumière, que l’on capte aujourd’hui dans les radiotélescopes

la symbolique que ces deux couleurs peuvent apportées. Dans un second temps, je ferai un point sur la structure géométrique du pavé mosaïque, de son positionnement dans le temple, avec les trois piliers qui le bordent, son placement sous la voûte étoilée, et le fil à plomb. 1) Le pavé mosaïque, simple damier noir et blanc Ces deux couleurs représentent l’univers sous forme d’oppositions ou de complémentarités que l’on peut décliner à l’infini : ombre et lumière, masculin et féminin, ciel

tendu diagonalement pour renforcer les arêtes d’une voûte. C’est une invention de maçon, un procédé de construction et n’est pas la définition d’un style. *l’ogive a une valeur constructive, structurale et optique : -- par sa fonction constructive ou architectonique, elle permet la répartition des poussées aux 4 angles de la travée, et permet ainsi le jaillissement. --par sa fonction structurale, elle participe à la fragmentation de la voûte qui devient articulée ; --par sa fonction optique

se déploie sur trois niveaux d’horizontalité : en haut, la voute céleste et les vertus théologales (foi, charité et espérance), au registre médian, les vertus cardinales et au registre inférieur, la cité terrestre et son gouvernement. La lecture s’opère de haut en bas, selon une vision qui va des principes sacrés placés dans la voute céleste à leur diffusion dans le monde terrestre. Siège des principes qui doivent diriger le monde, la voûte céleste d’un bleu intense domine l’ensemble de la composition

rite extrêmement courant et essentiel Elle peut être offensive comme en mai 68 marquant cette vaste révolte spontanée, de nature à la fois culturelle, sociale et politique, dirigée contre la société Elle peut être bâtisseuse comme une clef de voûte, un élément unique qui permet de maintenir la cohésion des multiples éléments Mais cette pierre même à l’état brut, le moindre caillou peut se révéler utile à condition de trouver la place qui lui convient. Mais comme en Franc-maçonnerie tout

Toscane de la première époque médiévale et en même temps il évoque certains aspects du Panthéon. Le Baptistère a un plan octogonal avec une couverture pyramidale. Il est revêtu de marbre vert de Prato et de marbre blanc de Carrare. A l'intérieur, la voute est recouverte de mosaïques de style Byzantin, oeuvres de maitres Florentins et Vénitiens du XIIIème siècle. La Galerie des Offices qui, elle, est un édifice à arcades construit au XVIème siècle. La scénographie en perspective de la double colonnade

les colonnes et va au-delà, et tout comme l’espace, il est en cela universel. D’autre part, le Pavé est le reflet du Zénith sur le Nadir. En effet, si vous levez les yeux au ciel, vous voyez la Voûte Céleste. Si vous baissez les yeux au sol, vous voyez le Pavé. L’infinité contenue dans le symbole de la Voûte Céleste se projette sur le sol dans cette apparition duelle de couleurs dont on ne peut s’échapper. Pour le Maçon, le Pavé a donc une saveur de fatum à laquelle il doit se résigner malgré ses idéaux

porte sont montées par un linteau qui sert à soutenir les murs. Le linteau est un bloc monolithique (un seul bloc de pierre). Le linteau est surmonté par un triangle de décharge qui sert à alléger le poids de couverture. (Principe utilisé avant la voûte et l’arc de décharge.) La couverture de Tholos est une coupole. Le système utilisé est dit « en encorbellement » ce procédé consiste à donner à chaque assise (ranger de pierre) une saillit (> un diamètre de plus en plus inférieur.) Décoration :

essentiellement par la forme extérieure massive, la présence de voûtes en pierre, la forme arrondie des ouvertures (partie supérieure en demi-cercle), ses voûtes en berceau qui ne pouvaient pas être très hautes car le poids des pierres en haut de la voûte avaient seulement deux supports et par la construction de contreforts (un contrefort est un bloc de maçonnerie qui est élevé à l'extérieur d'un mur pour le soutenir) pour arrêter la poussée. Sur les chapiteaux, les colonnes et les tympans des portails

manque de personnel on fait appel aux femmes et on met au point des système de poussoir pour l’ouverture et la fermeture des portes permettant ainsi d’envoyer le maximum d’agent sur le front. Le métro ne souffre que légèrement des bombardements : une voute, pres de la station Belleville, est touchée par l’explosion d’une bombe dans la nuit du 29 au 30 janvier 1916 (PHOTO) ; en 1918, des bombes déteriorent les édicules d’accès à la station Saint-Paul, et une partie de la station Corvisard. Dès les premiers