Voyage Au Bout De La Nuit Chapitre 5

Fiche de lecture : Romans policiers Classe de 5ème Présentation sommaire du livreTitre : La mémoire en miettesAuteur :Thierry AlquierEditeur et année d’édition : Castor poche Flammarion, 1994.Collection : Castor pocheGenre : Roman policier (14 chapitres ; 178 p.) | Fiche détailléeCadre spatio-temporel :L’action se déroule de nos jours, dans plusieurs lieux différents : * Un commissariat d’Ile-de-France, un vendredi soir (chap. 1) (et chap. 4). * La maison en Bretagne de l’inspecteur Lemarchand

Mohamed Passage 2008- W.S².F.I -Chapitre 1 La nuit est un sombre palais ou s’éclaircit des joies éternelles, où se jouent des symphonies inouies, où se trouve des rêveurs plutôt rêveurs, là où seuls moi est quelques-uns d’entre vous assistent. C’est en la nuit que je me réveille, c’est en la nuit que la vie existe, c’est dans le noir qu’on apprécie le blanc, pas dans le blanc lui-même. Je ne peux me contrôler de se soumettre à mon imagination la nuit. Je contemple des objets ahurissants

représente la tentation de l’adultère. Antoine est le mari de Alice. On ne fait qu’allusion à lui dans le roman, il n’exerce aucune action. Sa femme ne l’aime plus et le trompe avec Marc Marronnier. Elle finira par le quitter pour son amant. Chapitre 1 : Avec le temps, on aime plus L’auteur nous annonce d’embler de jeu le thème principal de son livre. Il affirme que « l’amour est un combat perdu d’avance ». Cette affirmation pessimiste est exposée au contraste avec le paragraphe suivant.

vitrine d'un grand magasin, "Le Bonheur des dames": Denise était venue à pied de la gare Saint-lazare, où un train de Cherbourg l'avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait la main de Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais comme

 les forces  sociétales mystérieuses mais implacables régnant sur son existence, ainsi que sa vaine quête de réponses dans  un monde incompréhensible. Juif de  langue allemande, habitant Prague, Kafka dut  se  contenter  d’écrire  généralement  la  nuit,  devant  s’acquitter d’un travail de bureau le jour. Restés

Prologue 3.2 Chapitre 1 : Mors - Pour toutes les nuits à venir 3.3 Chapitre 2 : Alester - Pour tous les jours passés 3.4 Chapitre 3 : Mors - Entre un chasseur et sa proie 3.5 Chapitre 4 : Alester - La volonté du lion 3.6 Chapitre 5 : Mors - La belle et la bête 3.7 Chapitre 6 : Alester - Les chiens de la couronne 3.8 Chapitre 7 : Mors - Chien errant 3.9 Chapitre 8 : Alester - Un nouvel espoir 3.10 Chapitre 8 : Alester - Héritage 3.11 Chapitre 9 : Mors - Promesse 3.12 Chapitre 10 : Alester

ligne Chapitre 1 > Comment débutent les romans A B .......................................................... 85 Bonjour, Gervaise Autres débuts de romans ...................... Chapitre 2 > Thérèse Raquin, Étude générale du roman Introduction A 94 Le narrateur Lecture analytique n°1 : « Les réceptions du jeudi » (ch.IV) Le temps romanesque L’espace romanesque Lecture analytique n°2 : « La mercerie » (ch. I) Les personnages romanesques B C D Chapitre 3 > À

essaimait dans les journaux et dont les sujets, voire la forme même, apparaissent comme des « brouillons » de chapitres d’’’Une vie’’ : ‘’Par un soir de printemps’’ (7 mai 1881 dans ‘’Le Gaulois’’, repris dans ‘’Le père Milon’’, 1899) évoque la promenade de Jeanne et de Julien au chapitre 4 ; ‘’Histoire corse’’, (1er décembre 1881 dans ‘’Le Gaulois’’) contracte le récit de Paoli Palabretti au chapitre 5 ; ‘’Le saut du berger’’ (9 mars 1882 dans ‘’Gil Blas’’, repris dans ‘’Le père Milon’’) présente « un jeune

Daragane, dans la chambre qu’il appelait le « bureau ». Il s’était assoupi sur le canapé du fond, à l’abri du soleil. Et ces sonneries qu’il n’avait plus l’habitude d’entendre depuis longtemps ne s’interrompaient pas. Pourquoi cette insistance ? À l’autre bout du fil, on avait peut-être oublié de raccrocher. Enfin, il se leva et se dirigea vers la partie de la pièce près des fenêtres, là où le soleil tapait trop fort. « J’aimerais parler à M. Jean Daragane. » Une voix molle et menaçante. Ce fut sa première

Chapitre 1 de la fiche de Pierre et Jean   Un après-midi, M. et Mme Roland, leurs deux fils et Mme Rosémilly pêchaient sur leur bateau : La Perle. M. Roland était un ancien bijoutier, qui était venu s'installer au Havre pour vivre sa passion : la pêche. Il avait deux fils : Pierre, l'aîné, trentenaire brun, diplômé de médecine et Jean, le cadet, blond et diplômé en droit. Jaloux l'un de l'autre, ils se battaient souvent pour être les meilleurs. Mme Rosémilly, jeune et belle veuve de capitaine,