Voyage Au Bout De La Nuit Fantastique

style pour l'écrivain, aussi bien que la couleur pour le peintre, est une question non de technique, mais de vision.'' Proust, Le Temps retrouvé. 1 Pour un art poétique ''Prenez un mot prenez en deux faites les cuirs comme des œufs prenez un bout de sens puis un grand morceau d’innocence faites chauffer un petit feu au petit feu de la technique versez la sauce énigmatique saupoudrez de quelques étoiles poivrez et mettez les voiles Où allez vous donc en venir? À écrire. Vraiment? À

leurs promenades dans les vergers et les forêts ; il immortalisa les moments de bonheur (“Hier au soir”, “Mon bras pressait sa taille frêle”) et les épreuves vécues en commun, les désaccords, les réconciliations ; note pour elle des impressions de voyage (“Lettre”), lui écrit qu'il a rêvé d'elle (“Billet du matin”). ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Livre III : “Les luttes et les

leurs promenades dans les vergers et les forêts ; il immortalisa les moments de bonheur (“Hier au soir”, “Mon bras pressait sa taille frêle”) et les épreuves vécues en commun, les désaccords, les réconciliations ; note pour elle des impressions de voyage (“Lettre”), lui écrit qu’il a rêvé d’elle (“Billet du matin”). _________________________________________________________________________________ Livre III : “Les luttes et les rêves” Dans ces trente poèmes, Hugo dénonça la misère sociale et morale

relations maîtres /valets (acte 1- Sganarelle /Dom Juan ; Done Elvire /Gusman) - réflexion sur le mélange des registres : comique, tragique, "fantastique" dans la pièce étudiée. - L’originalité d’une mise en scène moderne au XX ème siècle : Daniel Mesguish - caractérisation du personnage de Dom Juan : complexité et contradictions - Connaissance de La nuit de Valognes, d’Éric Emmanuel SCHMITT - Dom Juan : un mythe littéraire ? Texte 1 de la séquence Dom Juan Acte 1 scène 1 2 axes de

‘’Saltimbanques’’ (page 24), ‘’Le vent nocturne’’ (page 25), ‘’Lul de Faltenin’’ (page 25), ‘’La tzigane’’ (page 27), ‘’L’ermite’’ (page 27), ‘’Automne’’ (page 30), ‘’L’émigrant de Landor Road’’ (page 30), ‘’Rosemonde’’ (page 34), ‘’Le brasier’’ (page 34), ‘’Nuit rhénane’’ (page 38), ‘’Mai’’ (page 40), ‘’La synagogue’’ (page 41), ‘’Les cloches’’ (page 43), ‘’Schinderhannes’’ (page 43), ‘’Rhénane d’automne’’ (page 44), ‘’Les sapins’’ (page 46), ‘’Les femmes’’ (page 47), ‘’Signe’’ (page 49), ‘’Les fiançailles’’

enfermées dans les clichés. Adèle est confrontée à des ptérodactyles sanguinaires, des savants fous et des pithécanthropes (definition) ressuscités, le tout dans un Paris d’avant la Première Guerre mondiale. Tardi a enfin trouvé son style : un mix de fantastique, de clins d’œil au roman populaire et de second degré, dans un Paris disparu. Paris, une ville que Tardi, en passionné de la capitale, veut faire revivre sur ses dessins. Il aborde surtout le sujet qui l’obsède : la guerre de 14-18, métaphore de

‘’Saltimbanques’’ (page 24), ‘’Le vent nocturne’’ (page 25), ‘’Lul de Faltenin’’ (page 25), ‘’La tzigane’’ (page 27), ‘’L’ermite’’ (page 27), ‘’Automne’’ (page 30), ‘’L’émigrant de Landor Road’’ (page 30), ‘’Rosemonde’’ (page 34), ‘’Le brasier’’ (page 34), ‘’Nuit rhénane’’ (page 38), ‘’Mai’’ (page 40), ‘’La synagogue’’ (page 42), ‘’Les cloches’’ (page 43), ‘’Schinderhannes’’ (page 43), ‘’Rhénane d’automne’’ (page 44), ‘’Les sapins’’ (page 46), ‘’Les femmes’’ (page 47), ‘’Signe’’ (page 49), ‘’Les fiançailles’’

Gérard, le Caravagisme de Géricault et la passion pour Rubens qui anima à la fois Gros et Delacroix ont leurs sources dans les visites de ces peintres au musée, dont l'effet se révéla, même pour eux, plus puissant et plus durable que celui de leurs voyages en Italie, en Angleterre ou en Flandre. Napoléon contribua également à donner du monde une vision plus large que celle qu'offrait le XVIIIe s. Ses campagnes au Moyen-Orient stimulèrent l'intérêt pour les civilisations arabe et juive, et des peintres

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leurs promenades dans les vergers et les forêts ; il immortalisa les moments de bonheur (“Hier au soir”, “Mon bras pressait sa taille frêle”) et les épreuves vécues en commun, les désaccords, les réconciliations ; note pour elle des impressions de voyage (“Lettre”), lui écrit qu’il a rêvé d’elle (“Billet du matin”). ____________________________________________________________ _____________________ Livre III : “Les luttes et les rêves” Dans ces trente poèmes, Hugo dénonça la misère sociale