Voyage Au Bout De La Nuit Réaliste

TDC n°6 Céline – Voyage au bout de la nuit Céline écrivain du XXème. Le voyage au bout de la nuit est son premier roman (années 30), qui a connu un immense succès populaire. Ce roman raconte l’itinéraire d’un personnage narrateur Louis Ferdinand Bardamu ,un antihéros qui est successivement entrainé dans la guerre de 1914, en Afrique coloniale, puis à New-York, puis il fait des études de médecine et se retrouve médecin dans la banlieue parisienne. Il fait la connaissance d’un couple de petit

Pistes bibliographiques : Ouvrages critiques très synthétiques Voyage au bout de la nuit, Céline, analyse de Christine Combessie-Savy, Nathan. Étude sur Voyage au bout de la nuit, Marcelle Bilon, collection « Résonnances », édition Ellipses, 2006. Henri Godard commente Voyage au bout de la nuit, collection « Foliothèque », édition Gallimard.1991. Articles critiques « Critiques face à Céline », Pierre-Antoine Durand, dans la revue Mauvais Temps, n°4 (avril 1999), Éditions Syllepse

pour une ou deux rêveries, ils s'imprègnent de nos pensées. S'il est vrai que l'on puisse avoir la même conception du personnage que Sylvie Germain, il est aussi vrai que certains romanciers utilisent leurs personnages afin d'émettre une vision plus réaliste de la société, et bien plus, qu'il est nécessaire d'avoir cette vision pour ensuite accéder à une évasion qui ne serait pas "nocive".   On retrouve dans la citation de Sylvie Germain, sa conception du personnage. On y comprend que les personnages

but de créer des histoires et des personnages de manière la plus réaliste possible. Cependant, le réalisme dans la littérature ne se restreint pas seulement à cette époque-là: les éléments réalistes sont identifiables dans les oeuvres des autres auteurs aussi, que ce soient ceux qui vivaient avant ou après l'époque réaliste. Dans son oeuvre Pour un nouveau roman, Alain Robbe-Grillet affirme que « tous les écrivains pensent être réalistes » et que « le réalisme n'est pas une théorie, définie sans ambiguïté

Voyage au bout de la nuit Voyage au bout de la nuit, d’où est issu l’extrait, est l’œuvre de Louis-Ferdinand Destouches, appelé Céline, né  le 27 mai 1894 à Courbevoie, et est mort  le1er juillet 1961 à Meudon. Ex-soldat, il participera à la 1GM, dont il s’inspirera pour ses écrits. Céline n’appartient à aucun mouvement littéraire précis : c’est un grand auteur, mais à partir des années trente, il commence à développer une pensée extrémiste outrancière, voire du collaborationnisme durant la 2GM

Ainsi dans l’ incipit de Voyage au bout de la nuit de Céline : Ça a débuté comme ça. Moi, j’avais jamais rien dit. C’est Arthur Ganate qui m’a fait parler. Arthur, un carabin lui aussi, un camarade. On se rencontre donc, place Clichy. C’était après le déjeuner. Il veut

Dissertation En quoi le personnage de roman reflète-t-il la société ? Les auteurs de romans du courant réaliste, puis naturaliste veulent des œuvres qui se rapprochent le plus possible de la réalité. Nous savons que le héros aide grandement à représenter la société contemporaine de ces écrivains. La question que nous pouvons donc nous poser est : en quoi le héros de roman reflète t’il la société ? Pour répondre à cette interrogation, nous traiterons trois points : tout d’abord la description

illustre bien ce registre. Mais au sein d’un même texte, l’auteur peut également utiliser plusieurs registres. Dans son roman La Peste parue en 1947, Albert Camus oscille entre chronique et tragédie. Dans L’Assommoir, Emile Zola utilise le registre réaliste mais lui associe le registre épique pour décrire la mort pathétique de Gervaise. Outre le choix de registres et de genres différents, le roman donne à rêver. Ainsi le roman se caractérise par son contenu fictionnel : il s'agit de raconter

et infâme. Dans Voyage au bout de la nuit, Louis Ferdinand Céline s'inspirant de sa propre expérience de la guerre, la première guerre mondiale l'horrifie à jamais. Dans cette dernière partie du roman, il sera intéressant d'étudier comment présentant une vision réaliste de la guerre, Céline décrit un personnage plus anti-héros que héros. 1. Une vision réaliste de la guerre Comme tout témoignage, Céline décrit à travers son personnage, Ferdinand Bardamu, la guerre comme le bout de toute souffrance

guerres picrocholines. Le deuxième, de Victor Hugo, qui est un auteur romantique, est un extrait de Les Misérables, 1862, il raconte l'insurrection en 1832 à Paris. Et le dernier, un texte du pamphlétaire Louis-Ferdinand Céline est extrait de Voyage au bout de la nuit, publié en 1932, il nous décrit la première guerre mondiale selon Bardamu. Ces trois textes traitent de combats, cependant Rabelais et Céline racontent la guerre, tandis que Hugo évoque l'insurrection. Tous trois emploient pourtant des