Voyage Au Bout De La Nuit

| |terrible) | | | |Cette nuit là (Une jeune fille se réveille un matin, chez elle, et toute sa famille a disparu…Un peu perturbée par tout ça, elle finit par se marier et avoir une|Lindwood Barclay |16 | |fille… avant de retrouver

la surface de l’abime, et l’Esprit de Dieu planait sur les eaux. Dieux dit :« Que la lumière soit ! » Et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière de ténèbres. Dieu appela la lumière Jour, et appela les ténèbres Nuit. Il y eut un matin, il ce fut le premier jour. Dieu créa la mer le 2 ème jour, les arbres et les plantes le 3 ème jour, le soleil et la lune le 4 ème jour, les oiseaux et les poissons le 5 -ème jour, les créatures terrestres le 6-ème jour, dont

habite maintenant plus de 5 000 personnes alors qu’il y a 5 ans, il n’y en avait que 3 000. Le problème est que tout le monde veut toucher ces belles statues, alors au bout d’un moment, les statues s’effritent et se détruisent. Cette île est maintenant organisée avec un Pass que les autorités locales gèrent avec les agences de voyages, pour réduire les séjours et leur durée sur l’île. Le danger avec ce Pass c’est que seulement les riches peuvent y aller. La solution serait qu’il faudrait réservé quelque

fraternité qui empêche d’aller de l’avant  Une utopie abandonnée  Collier de perles que Jamal donne à Soleiman. « C’est alors que Jamal enlève de son cou un collier et me le tent » « Je serre, du bout des doigts, le collier de perles vertes de mon frère »  Soleiman repense à son frère qu’il a laissé derrière lui ; il pense à lui dans la voiture. « Je ne peux penser qu’à ce que je laisse », ici Soleiman parle à la fois du pays, mais également

que c’est un chevalier inexistant. Jean Herbillon et Claude Maury, sont les héros collectifs de “L’équipage” de Kessel (texte 5). Ils agissent ensemble malgré leur différent personnel dans un but commun : leur survie. Bardamu le héros de “Voyage au bout de la nuit” de Celine (texte 6) est un soldat animé par la lâcheté. Il est arrogant sur le fait qu’une seule bombe ait pu faire autant de dégât. Quelle évolution subit le personnage de roman entre le texte 1 (CHRETIEN DE TROYES) et texte 2 (CERVANTES)

Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front

déduire que brodeck est peut être juif, tzigane, révolutionnaire ou homosexuel (même si celui-ci est mariée) puisque durant la seconde guerre mondiale c’est ce type de personnes qui était déporté. Nous en avons un exemple p74 : brodeck parle durant le voyage avec Moshe kelmar qui lui était sûrement juif. Brodeck tout au long appellera la déportation « Fratergekeime » p49 "[...] chacun regardait vers l'est, tendait l'oreille pour écouter les bruits de bottes que pouvaient bien faire les « Fratergekeime »

laisse prendre au jeu du lyrisme, se laissant entraîner vers une certaine modernité. Et même si l’amour est le thème principal, beaucoup d’autres se côtoient et donnent naissance à un riche mélange. Ainsi se termine le long et doux voyage à travers l’univers de la poésie lyrique, en laissant place à la réflexion, au rêve et l’imagination. A ma Mère

si folle Que mon cœur, tour à tour, brûlait comme le temple d’Éphèse ou comme la Place Rouge de Moscou Quand le soleil se couche. Et mes yeux éclairaient des voies anciennes. Et j’étais déjà si mauvais poète Que je ne savais pas aller jusqu’au bout. Le Kremlin était comme un immense gâteau tartare Croustillé d’or, Avec les grandes amandes des cathédrales toutes blanches Et l’or mielleux des cloches… Un vieux moine me lisait la légende de Novgorode J’avais soif Et je déchiffrais des caractères

objet qui charme ou rêveTient des femmes sa clarté ;La perle blanche, sans Ève,Sans toi, ma fière beauté,Ressemblant, tout enlaidie,A mon amour qui te fuit,N'est plus que la maladieD'une bête dans la nuit. Victor Hugo (1802-1885), extrait de « Les Contemplations », 1856 Invitation au voyage Mon enfant, ma soeur,Songe à la douceurD'aller là-bas vivre ensemble !Aimer à loisir,Aimer et mourirAu pays qui te ressemble !Les soleils mouillésDe ces ciels brouillésPour mon esprit ont les charmesSi