Voyelle ouverte

Toutes les autres rimes s’appellent des rimes masculines. -Pour « e » en milieu de vers tout dépend de la lettre qui suit : il compte si c’est une consonne mais ne compte pas (élision) si c’est une voyelle : Exemple : « coule la seine » « comme l’espérance est » Les syllabes composés de deux voyelles (diphtongues) peuvent être lues ensembles (synérèse) ou séparément (diérèse). Exemple : violente >> vio (synérèse) ou vi(o) (diérèse) Les vers portent des noms différents selon leur nombre

les hémistiches *Acrostiche - pièce de vers composée de telle sorte que les premières lettres de chaque vers mises bout à bout forment un mot, un nom ou une expression. *Décasyllabe - Vers de dix syllabes. *Diérèse : Décomposition de deux voyelles consécutives en deux syllabes . ex : e mot " nation" fait en prose deux syllabes ( na –tion ), et en poésie trois : (na – ti - on.) *Octosyllabe - Vers de huit syllabes • Césure : repos effectué dans un vers après une syllabe accentuée

phonème (i)     -> rimes pauvres Diérèse et synérèse : On parle de diérèse et la synérèse en cas de diphtongue (collusion de deux voyelles distinctes). - On fait la diérèse lorsqu'on prononce distinctement les deux sons des voyelles, prononçant ainsi deux syllabes. - On fait la synérèse lorsqu'on ne prononce pas distinctement les deux sons des voyelles, ne prononçant ainsi qu'une seule syllabe.           Exemple : prononciation de "une liaison"                      En faisant la diérèse

tiré de Phèdre - « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes », la répétition du son [s] mime le bruit de l’animal évoqué et souligne ainsi le sens de la phrase. L’assonance est la répétition d’un même son vocalique (c’est-à-dire d’une voyelle) : la douleur de Phèdre dans la pièce éponyme de Racine « Tout m’afflige et m’ennuie et conspire à me nuire » est soulignée par la reprise du son aigu [i]. La rime est un écho sonore particulier : elle se situe à la fin d’un vers. Si dans la poésie

comme nos destins sont différents : je reste, Tu t’en vas. » (Victor Hugo) Alternance de 2 mètres (vers) : alexandrins et vers de 3 syllabes Décompte « e muet » ou « e caduc » → se prononce devant une consonne → s’élide devant une autre voyelle, en fin de vers ou parfois devant un « h » « Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercl(e) » (Baudelaire) « Je me dis seulement : A cette heure, en ce lieu » Diphtongue → diérèse : allongemement d’une syllabe → synérèse : contraction

compte pas pour une syllabe si le mot suivant commence par une voyelle. Exemple : L'aile aérienne. • le « e » muet à la fin d'un mot compte pour une syllabe si le mot suivant commence par une consonne. Exemple : L'aile meurtrie. • le « e » muet à la fin d'un vers ne compte pas pour une syllabe. Exemple : La beauté de l'île. Rappel : un « e » est dit muet lorsqu'il est placé devant un mot commençant par une voyelle ou par un « h » muet. La rime La rime est la répétition

est une ligne dans un poème. Un vers commence toujours par une majuscule. Savoir compter les syllabes dans un vers : 1) Comment procéder ? Un vers comporte un certain nombre de syllabes. La syllabe est un groupe formé de consonnes et de voyelles qui se prononcent d’une seule émission de voix. Pour repérer et comptabiliser les syllabes, on les sépare graphiquement à l’aide d’un tiret oblique : /. Trem/blant/, pi/quant/ des/ deux/, du/ cô/té/ qui/ des/cend. (Victor Hugo, La

modernes. Cependant il existe des affinités entre le vers, qui, dans sa forme métrique, repose sur un parallélisme de forme, et la forme sémantique du poème, le plus souvent construite comme une suite d'analogies. RYTHME. Syllabe: groupe de voyelles et de consonnes qui se prononce d’une seule émission de voix. Le vers français se construit principalement sur le nombre des syllabes plutôt que sur l’accent tonique, comme en anglais. Le vers classique est l’alexandrin, qui a 12 syllabes scandées

enfin , la pression sous glottique. Les cordes vocales se comportent comme une valve bloquant le passage de l’air. _ Hmmm tres instructif ! Et la langue ?? _ La langue , ben c’est une langue ! _ Oui mais c’est grâce à elle qu’on peut produire des voyelle et des consonnes. Bon Karène je te laisse , je suis crevé. Le lundi … Le lundi suivant, les filles se rendaient à l’église. Et la chef leur demanda de qu’elles voix elles étaient. Emilie n’en avait aucune idée. _ Je sais pas qu’elle voix je

dialogue au théâtre. Il n'est entendu que par le public, et plus rarement par un autre personnage. apologue : Texte court, souvent allégorique, qui cherche à donner une leçon de morale ou à illustrer une thèse. assonance : Répétition d'une même voyelle ou son vocalique, le plus souvent dans la syllabe accentuée de mots qui se suivent ou forment un ensemble. Cette figure de style était très utilisée dans la poésie du Moyen Age. césure : coupe principale de l'alexandrin connivence : complicité