Waffen-SS

témoignage de Pelagia Lewinska[49] relate les exactions des SS et de leurs exécutants en mettant en lumière les fournées successives qui doivent disparaître. Elle explique qu'il faut éliminer au plus vite les plus faibles en ajoutant aux « appels » meurtriers des scènes de sport imposées à celles qui chancelaient[50]. On retrouve les mêmes considérations sur le sadisme des bourreaux dans le récit de Moshé Garbarz[51]. Il y décrit l'habitude des SS consistant à tuer systématiquement celui qui ne se relevait

firent effacer. Par ailleurs, les soldats de la Waffen-SS étaient aussi tatoués ; ils faisaient écrire leur groupe sanguin(Blutgruppentätowierung) sur la face intérieure du biceps du bras gauche35,36. Ce tatouage était surnommé « Kainsmal »(« la Marque de Caïn »)Note 1 et ne comportait qu'une seule lettre. Aucune autre inscription, matricule ou unité militaire n'étaient tatoués. Après la guerre, ces marques facilitèrent l'identification de certains ex-SS. Contemporain : le tatouage criminel[modifier | modifier

Ernst Röhm, qu’il avait mis lui-même sur la touche en 1925 : ce dernier reprend leur tête et rétablit en partie l’ordre dans leurs rangs. Mais pour permettre à Hitler d’équilibrer la puissance des SA, c’est dès 1925 qu’Heinrich Himmler crée pour lui la SS : chargée de sa garde personnelle, cet « ordre noir », futur instrument de la terreur policière et génocidaire, est une élite beaucoup plus dévouée à la personne même du Führer que les SA. Hitler a toute confiance dans « le fidèle Heinrich », comme

Hermann Göring, Schutzstaffeln ou SS, Stosstruppe, Heinrich Himmler, Jungdeutscher Orden ou Jungdo, Arthur Mahraun) - A droite se trouve le « Stahlhelm » ou casque d’acier, fondé en 1918 ; il est politiquement près du DNVP et parfois du NSDAP ; ses actions sont paramilitaires et para politiques. - A côté du Stahlhelm il y a la SA (=Sturmabteilung), fondée en 1921 par Ernst Röhm, pour assurer la propagande du parti nazi et pour assurer le service d’ordre. - La SS (=Schutzstaffeln), créée en 1923

chef de famille, de l’entreprise, de la nation. Il y a également le Congrès du Parti Nazi (= grandes manifestations) à Nuremberg (ville très importante au Moyen-âge) qui fut prise comme symbole. Toutes les composantes du Parti sont réunies là : les SS, les jeunesses hitlériennes,… Ils ont construit le complexe de Nuremberg pour accueillir ces manifestations (jusqu’à un million de personnes). La construction de ce complexe a commencé en 1934. Le stade olympique de Berlin a accueilli les Jeux Olympiques

Ernst Röhm, qu’il avait mis lui-même sur la touche en 1925 : ce dernier reprend leur tête et rétablit en partie l’ordre dans leurs rangs. Mais pour permettre à Hitler d’équilibrer la puissance des SA, c’est dès 1925 qu’Heinrich Himmler crée pour lui la SS : chargée de sa garde personnelle, cet « ordre noir », futur instrument de la terreur policière et génocidaire, est une élite beaucoup plus dévouée à la personne même du Führer que les SA. Hitler a toute confiance dans « le fidèle Heinrich », comme

d'une idéologie fasciste et ceux qui s'y opposaient. Elle ne fut pas une lutte entre nations, mais des Français, des Belges, des Hollandais, des Norvégiens, ... ont combattu aux côtés de l'armée nazie. Des affiches appelant à s'engager dans la Waffen SS ont été apposées dans de nombreux pays. Ils y ont vu un rempart contre l'avancée du communisme, c'est "l'Europe unie contre le bolchevisme". Au combat contre le communiste, se greffe celui contre le capitaliste, l'anarchiste, le francmaçon. Mais

Maine-et-Loire. => rétablir l’ordre républicain ap. 4 années occupation. * Fr. libérée totalement => nov. 1944 avc Strasbourg. * Evacuation progressive allemands => massacres de villes * Oradour-sur-Glane & Tulle par « Das Reich » (waffen-ss) 2) Epuration légale & spontanée. * Gvnmt provisoire : tribunaux d’exception => juger collabo. * Cour de Justice de la rép. : procès Pétain/Laval. * Pétain : condamné à mort => détention à perpétuité (DG) exil île d’Yeu

l’armée allemande et dans les unités d’élite de la Waffen SS puis envoyés sur le front de l’Est. Les déserteurs étaient fusillés, les insoumis internés dans des camps de concentration et les biens de leur famille confisqués. En France, le 10 juin 1944, 13 « Malgré -nous » de la Division Das Reich participent au massacre de 644 villageois d’Oradour -surGlane (20 km de Limoges). En 1953, le procès de Bordeaux les condamne, en même temps que les SS présents à Oradour, mais l’Etat les amnistie, à la

distance à l’égard du programme initial. Staline, de son côté, doit opérer le découplage d’avec le léninisme révolutionnaire pour faire de sapensée le « Ligne générale » à laquelle on doit une obéissance totale. C’est le « Mon honneur est ma loyauté » des SS de HIMMLER ! De son côté, Mussolini pratique le refus de tout programme au nom de l’inspiration du moment ; c’est plus « l’actualisme » de GENTILE (l’idéologue du PNF) que les « Mythes » de G.SOREL (théoricien français de la violence révolutionnaire